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Allonger sur ce lit d'hôpital, je fermais les yeux petit à petit à cause de la fatigue, tout comme mon coeur commence à s'éteindre à petit feu.
Une vie normale comme les autres c'est tout ce que je demandais, des parents, des frères et soeurs avoir des moment joyeux, triste, heureux et surtout des parents qui pouvaient m'apprendre cette malheureuse vie c'est tout ce que je demandais, une famille c'est tout.
Je me retrouve seul contre le monde, cette pauvre vie c'est acharné sur moi et je n'ai pas la force de l'affronter, je ne l'ai plus cette force...
J'ai toujours voulu savoir c'est quoi l'amour mais malheureusement je n'y gouterais jamais. Qui voudrais d'une fille de mon genre ?
C'est sous ses pensées que je m'endort dans un sommeil profond.
Le lendemain, je fut réveillé par des cris, hurlement ainsi que des insultes.
Je pense qu'une personne est encore décédé et que la famille est plongé dans un chagrin profond.
Que puis-je dire il y a des humains qui naissent et meurs tous les jours.
[...]
La nuit s'installe tout doucement, le froid glaciale me frappait aux visage et ma chevelure bougeait au mouvement du vent.
Assise sur un banc avec Aïda et son neveux, je regardais le ciel briller pendant qu'elle me raconter sa vie, je l'écouter attentivement.Aïda: Non mais tu te rend compte comment il ramène trop sa gueule! dit-elle soulé
Moi: Dit lui que tu peux pas t'occuper de ton neveu tout seul et sa petite copine est parti au bled.
Aïda: Non mais c'est trop de responsabilité pour moi la il soul je vais l'appeler.
Moi: si tu veux je peux t'aider à m'occuper de cet petit ange! Dis-je en faisant un bisous à Tarek
Aïda: Sérieux sa te dérangerais pas?
Moi: Mais non sa me dérange pas. En placent une mèche rebelle derrière mon oreille
Voilà à quoi ressembler mes journées banales la plus part du temps quand je ne travaillais pas, une vie assez calme sans problème.
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Ancrée dans ton âme
ActionJ'étais loin d'imaginer son quotidien des larmes séchées sur ses poèmes qu'elle m'écrivait.