Tout à commencer lorsque quelqu'un à laisser la fenêtre ouverte. Au début, je pensais que c'était ma mère, qui est au petit soins depuis que mon petit frère est gravement malade, et nettoie sa chambre tout les jours. Alors quand je suis rentrée du lycée, et que j'ai trouvé cette fenêtre ouverte, je me suis dit qu'elle avait simplement oublié de la fermer. Mais très vite, je me suis rendue compte qu'il ne s'agissais pas de ça. A chaque fois que je rentrais du lycée, la fenêtre était toujours ouverte, et ma mère me disait qu'elle était sure de l'avoir fermée. Mon petit frère, qui passait la plus part de son temps dans son lit, croyais que quelqu'un venait l'ouvrir quand il dormais.
Mon petit frère avait depuis sa naissance un jolie papier peins, recouvert d'oiseaux alignés, tous identiques, blancs, avec les ailes ouvertes, comme si ils étaient en train de voler. Un soirs, pendant qu'il dormais, je suis venue dans sa chambre et j'ai fermer la fenêtre. C'était devenu une habitude. Mais lorsque je me suis retournée, j'ai remarqué qu'un des oiseaux ne figurait plus sur le mur. Le lendemain, un autre oiseau avait disparu, et le jours d'après aussi. Tout les jours, je réfléchissais à des suppositions qui pourrait expliquer cela, mais je n'ai rien trouvé de bien crédible. Je fouillait partout dans sa chambre et dans la maison comme si je cherchais à résoudre des énigmes, je cherchais des objets, des traces qui pourrait donner des explication à ces phénomènes. De jours en jours, l'état de mon frère s'empirais. Il ne mangeais presque rien et dormais la plus part du temps malgré les doses de médicament de plus en plus forte prescrites par les médecins. Mes parents étaient morts d'inquiétude.
Quelque semaines plus tard, un samedi soir, je suis venue dans sa chambre, mais cette fois ci, je n'ai pas fermer la fenêtre. Je me suis plantée devant son lit, et je l'ai regardé pendant une vingtaine de minutes. Il était la, allongé les mains sur le ventre, son corps maigre et son teint pale me donnaient des frissons. Je me remémorais le sourire qu'il avait il y'a quelque mois, quand il avait encore la capacité de sortir, d'aller à l'école ou au parc ... Toute ces choses banales qui me manquaient tellement. Je regardais autour de lui, les larmes aux yeux, dans sa chambre intacte si peux utilisée. Pratiquement tout les oiseaux étaient partis ces derniers jours, il n'en restait plus qu'un. Et alors, en quelque secondes, j'ai compris. J'ai compris que si chaque jours un oiseau partait, alors les oiseaux n'étaient que le temps qui lui restait à vivre. Chaque jours lui était compté, pendant tout ce temps ou je réfléchissais. Et alors, je suis allée m'assoir à côté de lui, mes larmes tombaient sur ses joues. J'étais si proche que j'ai entendu son souffle se couper, et là, j'ai vu le dernier oiseau s'envoler.
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Les oiseaux
Short StoryCeci est une nouvelle (une courte histoire), bonne lecture et pensez à dire ce que vous en pensez en commentaire car ça m'aide beaucoup !