Il faisait très froid, mes mains étaient attachées très serrer dans mon dos. J'essayais de me déprendre, mais en vain, je réussi juste à m'éccorcher les mains qui commençaient à saigner. Je ne pouvais pas ouvrir mes deux yeux bleus, mais qu'un seul. Je peux apercevoir une pièce à quartes murs gris foncés et une porte fermer à clé. L'air était sec. J'avais du sang dans ma bouche, avec ma langue je touchais mes lèvres et senti une fissure. Je me sentais vraiment pas à l'aise, ici. J'avais horriblement mal au cou. Une mèche de cheveux blond me tomba devant la figure. Je pense aussi que j'avais une ou deux côtes de fracturées. Mes vêtements déchirés et sales ne ressemblais pas du tout à mes vêtements habituels. J'esseya de me rappeler de ce qui a pu ce produire pour que j'atterrisse dans un endroit lugubre comme celui-ci. J'avais aucun souvenir de ce qui m'étais arriver. La seule chose qui me viens à l'esprit c'est quand je rentrais chez moi après une longue journée de travail. C'était tout. J'avais plus aucun souvenir du reste... J'ai vraiment peur de se qui pourrais m'arriver si je reste trop longtemps ici. Si je ne voit pas un médecin bientôt.
J'entendis la porte se déverrouiller. J'entrevis une femme au cheveux noir attaché par un élastique. Son air sévère me donna un frison qui parcouru tout mon corps. Elle était vêtu d'un une pièce moulant noire. Ces talons hauts fessaient du bruit à chacun de ces pas. Je ne voulais pas montrer que j'avais peur, alors je pris un air hautain. La fille était jeune, elle devait avoir environ 30 ans et elle paraissait musclée. Elle me regarda d'un air supérieur et fit un signe de main dans ma direction. Deux hommes derniere moi mon détaché les mains. Je n'avais même pas remarquer qu'ils étaient là pour me surveiller. Les deux hommes géants et très musclés avaient fini de me détacher de cette chaise. Ils me tenaient les mains très fort de sorte que je ne puisse pas m'enfuir. J'avais de plus en plus peur et là, j'étais sure qu'on pouvait percevoir ma peur. Ils pouvaient me contrôler comme un petit chien et son maître. La femme, les deux hommes et moi sortons de cette pièce horrible. Je ne pouvais pas trop me réjouir d'être sorti de cet endroit, car j'avais aucune idée où que j'allais. J'avais aucune idée si un jour je sortirais d'ici vivante. J'avais aucune idée s'ils allaient me torturer ou s'ils allaient me vendre. Là en se moment précis j'avais peur très peur comme je ne l'avais jamais eu.