Une larme de sang

Prologue

Ça a commencé par une voix qui m'appelait par mon prénom. J'avais environ 13 ans. Ensuite cette voix s'est amplifiée et est partie d'un simple bonjour, à des cris d'insulte et de méchanceté. Ensuite se fût une simple image quand je fermais les yeux, d'un visage recouvert de sang, recouvert de cendres. Cela me faisais très peur au début, mais a force de voir toujours le même visage, je fût habituée. Ensuite je vis une silhouette d'un homme portant un masque de médecin de la peste, il ressemblait a un bec de corbeau, et un long manteau noir à boutons dorés. Quelques mois passèrent et j'entendais de plus en plus de voix différentes, m'appelant de tout les cotés en hurlant mon nom et certaines choses comme "t'es moche !","crève!!"et d'innombrables choses dans cet ordre. Puis se fût d'autres silhouettes, des fines, des rondelettes, des grandes, des petites, et cetera. Et j'en suis arrivée a aujourd'hui, triste, distante des autres, comme détachée de la société a cause de ce "disfonctionnement" comme les chercheurs aiment l'appeler.

J'avais du mal à me trouver des amis, et des amours je vous le fais pas dire! J'étais seul avec ces voix et ces personnes. Et mes parents dans tous ça ? Il ne comprennaient rien. Seulement que j'avais des prôblèmes a m'intergrer sans se poser plus de questions. Je changais d'école et me preparais a entrer en 2ème année de lycée. A mes 15 ans mes parents m'avais offert deux chats, Ziko et Boulette. C'étais mes deux seuls amis vraiment vivant. Maintenant je suis perdue entre l'auto-mutilation quotidienne, et ma solitude, toujours accompagnée de Ziko et Boulettes mes fidèles serviteurs. Je vais peut être rencontrer des amis, ou des confidents dans ma nouvelle école. Mais ça m'étonnerais. Les gens ne me parlais pas parce que je voyais ces choses, car ils ne savaient pas se que je vivais, mais plutôt parce que je ne voulais pas qu'il m'abandonnent a cause de ma difference. Les choses n'étaient vraiment pas simple. Et je me tennait, debout devant ce lycée. Il y avait un grands panneau avec inscrit "Lycée Grandson" en grand et une allée entourée d'arbres menant à l'entrée principale. Il comportait deux ailes principale et une petite partant du centre du bâtiment a environ 100 mètres plus loin. Les gens me regardaient de manière interogatrice. J'entendis quelque chuchotement a l'exérieur de ma tête ressemblant à "Oh tiens une nouvelle, elle est plustot belle cette coquine" ou encore d'autre "regardre moi cette petasse habillée en noir , elle a cru être a un enterrement ou quoi?" Accompagné de rires moqueurs et d'un cris d'un éducateur. Un homme habillé en costar noir se dirigea vers moi en souriant;

-Bonjour, je suis monsieur Fernandez, l'éducateur assigné a ta classe, je vais tout d'abbord te faire le tour de l'établissement ensuite je te montrerai ta classe. Suis-moi s'il te plaît.

Nous passâmes devant des rangées de centaines de casiers bleu-marine. Les élèves prenaient leurs affaires et une sonnette retentit.