Le Passé d'Haru

Chapitre 14: J'en suis incapable..

Salut les amis, je reprends les chapitres en gardant le rythme de la pause indéterminée! (Un chapitre toutes les 2 semaines environ)

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Je me baladais dans les différents couloirs, accompagnée par le Capitaine Yamato qui se faisait un plaisir de me faire la visite..
Sans que je m'y attende, il se retourna vers moi et me fixa!

"Laisse-moi deviner, tu n'as plus parler avec Seïji depuis votre combat, n'est-ce pas ?" Me demanda-t-il.

Seïji et moi, c'est compliqué, même très compliqué depuis qu'on s'est battu hier..

- Oui.. Répondis-je doucement.

"Écoute Seïji me considère comme son senseï, je le connais.. Il ne t'en veut pas..!" Affirma-t-il.

- Comment pouvez-vous en être aussi sûr? Lui demandais-je.

"Car tu comptes à ses yeux.." Hésita-t-il.

- Comment ça?

Un homme apparut devant moi et murmura quelque chose dans l'oreille du Capitaine Yamato, ce dernier se retourna et commença à marcher d'un pas pressé avec le messager.

- Capitaine Yamato! Je crois que vous m'oubliez..! Lui fais-je comprendre à l'aide d'un signe de main.

"C'est une urgence Haru, tu trouveras sûrement quelqu'un pour t'éviter de te perdre..!" Dit-il d'une voix très rapide avant de disparaître.

《Une urgence? Quelle genre d'urgence?》

Je me baladais dans les grands couloirs des forces spéciales, j'ai l'impression d'être dans un labyrinthe qui possède des murs qui bougent et qui modifient les chemins.
Comme par miracle, j'entendis des voix, je me dirigea vers ces dernières..

"Oui, quelqu'un refuse d'aller à l'infirmerie alors qu'il en a besoin.."

"C'est pour ça que pleins de personnes sont aller dans le bureau du chef?" Demanda une voix qui m'était maintenant familière.

Chûgo..

"Oui, le patron doit être en rage!"

"J'imagine.."

- J'ai entendu votre discution, qu'est-ce qui se passe exactement? Dis-je en arrivant.

Les deux jeunes hommes qui se trouvent être dans le même dortoir que moi me regardèrent bizarrement, je compris qu'ils ne me reconnaissaient pas avec mon masque sur ma tête, je l'enleva et laissa donc apparaître mon visage et mes cheveux qui m'arrivèrent derrière mon dos..