Chapitre I: Meurtres au café

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.- HAAAAAAAAA
- Que se passe t-il cocotte, en se dirigeant vers la chambre de Jeanne.
-Arrête de m'appeler comme sa tante Sylvie.
- Mais pourquoi a-tu crié?
- J'ai fait un cauchemar en baissant la tête.
- Ho ça va bien aller, regarde ce pendentif, en pointant celui que ma mère m'avait offert, quand j'avais 9 ans avant qu'elle parte avec mon père chasser.
- Merci Sylvie.
- De rien.

Journal Intime de Jeanne Vendredi 7 avril 2017 2:14 am

Bonjour cher Journal, tu es maintenant le plus beau cadeau de mes parents. Ils t'ont offert quand j'avais l'âge de 9 ans.

Un jour, ils sont, on décider de partir chasser pour une journée. Ils sont partis à 7:30 et s'ils arrivaient quelque chose, j'appelle chez tante Sylvie ou sur le portable à mon père. Malheureusement, ils ne sont jamais revenus. À 21:30, j'ai appelé sur le portable de mon père, mais il n'y eu aucune réponse. Le lendemain matin, dès mon réveil , je me suis précipité dans leur chambre pour voir s'ils étaient revenus. Ils n'y avaient personne. À 19:23, j'ai appelé tante Sylvie pour qu'elle s'occupe de moi le temps que mes parents reviennent. Quand elle est arrivée, nous avons sorti le jeu de Clue . J'ai gagné la partie, puis par la suite, je suis parti me coucher. Le lendemain, ma tante m'a emmenée chez elle et je n'ai jamais revu ma maison, ni mes parents. Les seules choses que je me rappelle de mes parents sont que mon père avant de partir m'a donné un bisou sur le front et m'as dit, on se revoit ce soir tandis que pour ma mère était super belle avec ses yeux marron et ses cheveux châtain et qu'avant de partir elle m'as dit cinq petit mots: je t'aime ma cocotte ! J'ai des larmes juste à y penser, mes parents. Savoir qu'ils sont probablement mort et que je ne les reverrais jamais. Tout t'expliquer ma vie d'il y a 5 ans me fait tout un choc tout comme mon cauchemar qui était pour le pire bien réel.

Tout a commencer avec mon ami Adam et moi à la fin des cours, nous, nous rendons toujours au café du coin, à côté de l'école. C'est là que nous sommes le plus concentré pour faire notre travail. Nous allons nous asseoir à la même table que les autres jours. Tout était normal. Ou enfin presque tout. Je venais de demander un chocolat chaud.

Lorsque soudain, les lumières du café se ferment. Pendant 5 secondes, je croyais que c'était une panne d'électricité, mais je devinai rapidement que j'avais tort. Les lumières étaient fermées, ils faisaient noir et nous ne voyons rien. Je pouvais à peine voir la silhouette de mon compagnon. Nous entendions des pas, des gens qui murmuraient toujours un peu plus fort et puis soudain, POOOW!!! Des cris se font entendre, mon cœur allait à une vitesse incroyable que je n'arrivai plus à respirer, c'est Adam qui m'a montrer à aller sous la table. Rendus en dessous de la table Adam s'assis sur le plancher et me tira contre lui. Il voyait que j'étais paniquée. Je me rendis compte que de moins en moins de cris se faisaient entendre. Adam me murmura de le suivre en rampant vers l'entrée. Quand nous nous levions pour ouvrir la porte, de grosses mains nous attrapèrent et nous tirèrent sur le côté de la porte Adam était du côté opposé. Adam et moi, nous, débattions soudain, l'ombre d'Adam disparut et une autre silhouette réapparut, mais beaucoup plus près de moi. Je sais maintenant que ma fin est proche. Tout d'un coup, je ne peux plus ouvrir la bouche. Je suis bâillonné!!! Ensuite, la silhouette me tourna le dos et se dirige vers Adam. Les petites secondes que je prends pour regarder mon ami, je sens mes mains ce serré. Cela me prend quelques secondes pour comprendre ce qui se passe. Mes mains étaient prises dans mon dos et commencer a serrer. Ho Mon Dieu ! Je suis ligotée, pensais-je. Que dois-je faire. Que va t-il m'arriver. Je tremblais, j'avais peur. Allais-je revoir ma famille. Nul ne savait, ni moi, ni Adam et malheureusement le pire arriva, l'homme qui me tenait m'emprisonna dans un sac. Il souleva le sac et me transporta. Soudain, j'entendis un bruit comme si quelqu'un qui ouvrait des portes. Hi, lançais-je. L'homme venait juste de me lancer dans une valise d'une camionnette qui par la suite se referma bruyamment. Adam aussi est pris au piège. Mon corps frissonna d'un grand coup. Réfléchi Jeanne, réfléchi. Rien ne me vint à l'esprit. Pour moi, on avait l'air d'avoir été emmené loin, très loin. Après avoir l'air d'avoir duré une éternité, la camionnette se stationna. Je me suis demandé quelle heure, il était et je commençais à respirer de plus en plus mal à cause du sac qui dans lequel mon corps étais prisonnier. Je me rappelai que j'avais une montre sur moi. Avec peine et misère je finis par voir l'heure sur ma montre. Il était 17:34. D'habitude, je reviens à la maison à cette heure-là. Ma tante va s'inquiéter, mais... Mais je ne reverrai peut-être même pas Adam, ma tante et mon oncle me disais-je. Aie!!! Un mal de tête me sortit de mes pensées. On venait tout juste de me jeter sur un sol en ciment froid. Ensuite ces parfaits inconnus nous ont sortis tous les deux du sac et nous ont pousser contre le mur. Trois hommes masqués étaient debout devant nous. Deux des hommes étaient en arrière. Ils étaient géants et très musclés. Le troisième claqua des doigts. Il s'avança vers nous suivi de ces deux complices. Les complices nous amenèrent dans un endroit sombre et obscure. Il y avait deux chaises. Ils nous poussèrent en nous obligeant de nous asseoir sur les chaises en nous mettant une autre corde ou les mains pour les attacher à la chaise. Ils partirent en barrant la porte. Qu'allons-nous faire... J'entendis des voix au travers de la porte.
1er homme : nous allons nous en débarrasser assez vite vous allez voir et parlant de ça, Colin, tu les tueras vendredi prochain nous ne voudrions pas être recherché, n'est ce pas...
Colin[ enfin, je crois.] : bien sûr boss.
2e Hommes : cette fille, est-elle celle que nous recherchons depuis 5 ans.
1er homme: j'en suis certain dominum potentiel m'a donné une photo de leur fille, là-voici, c'est donc leur fille, puisqu'elle ressemble étrangement à la fille sur la photo. Colin, j'aimerais que pour leur dernière semaine, tu les fasses souffrir.
Colin : vous voulez dire les faire souffrir avant leur mort.
1er homme : oui, pourquoi me répète tu ce que je viens de dire ?
3e hommes : car il fait de l'Alzheimer, en pouffant de rire fier de lui.
Les trois hommes ensemble : pouhaaaaa ha ha ha ha ha ha t'aurait pu nous le dire Colin ont t'aurait tuer ou peut être apporté à l'hôpital.
1er homme : bon, retournons à nos moutons, Colin vas leur souhaiter la bienvenue, ils vont en avoir besoin, pendant que j'appelle dominum potentiel pour qu'ils puissent les tués tout les quatre en même temps vendredi.
Ho non ! Il va venir nous voir. NOOOOOOOOOOOOOOOON!!!
Je regarde Adam qui fait de même. Une larme coule sur ma joue. Je vois bien qu'il voudrait me consoler, mais qu'il ne peut m'aider, donc il baisse la tête. Il a toujours été protecteur envers moi et il sait que malgré lui, il ne pourrait pas me réconforter ou du moins pas maintenant.
POC...
Une porte qui vient d'en arrière nous fait sursauter. Ho non un homme vient de rentrer dans la pièce par une porte qui était derrière nous.
Colin : mouha ha ha ha ha. Bienvenue à vous chèrent, enfants. Comment vous sentez vous ? Aimez-vous votre environnement ? Vous y resterez seulement une semaine. Je dois avouer que c'est bien dommage de partir vendredi prochain on aurait vraiment beaucoup aimé vous garder. Passons aux choses sérieuses. À quoi voulez-vous jouer ? Nous avons serpent échelle. C'est mon préféré. On jouera à votre jeu demain. Bonne chance, je suis très dur à battre, en enlevant notre bandeau de la bouche d'Adam et moi et en allant chercher le jeu.
Adam : nous aurions aussi besoin de nos mains pour jouer avec vous.
Colin : non, moi, je joue d'une façon beaucoup plus facile et spéciale, vous allez voir, bon, j'ai du travail à faire, je vous souhaite bonne chance.
Moi : vous vouliez jouer à ce jeu n'est ce pas donc apporté le jeu et venez nous expliquer votre façon de jouer et partir une partie avec nous.
Colin : je n'ai plus trop le goût de jouer et je vous l'ai déjà apporter votre jeu. Bonne partie, dit-il en claquant la porte.
Adam : quel homme bizarre.
Moi : je ne peux pas te contredire.
Tout à coup, je sentis quelque chose frotter ma cheville en regardant par en bas, je vis l'horreur.
Moi : haaaa, enlevé moi ça et vite, il est dangereux et je ne suis pas capable. N'importe quoi d'autre, mais pas ça. .
Adam : ha merde, faut se grouiller et vite.
Je débattais mes jambes du mieux que je pouvais pendant qu'Adam avait son briquet entre les mains et l'allumait pour se détacher.
Moi[ pleure] : en.. En...Enfuis toi Adam.
Adam : je ne pars pas sans ma meilleure amie.
Le cobra se rendait à mon cou.
Moi : tu ne peux plus rien faire pour moi. Vas t'en et... et oublie moi.
Adam : ce que tu dis là fait mal. Comment veux tu que je t'oublie avec tout ce qu'on a vécu ensemble au secondaire...
Moi : vas t'en Adaaaaaaam.

Jeanne xxx



Quand il eut fini de se détacher il se mit à marmonner.
Adam : non s'il te plaît, pas aujourd'hui. Jeanne s'il te plaît répond, en s'agenouillant devant elle en larmes.
Il sortit son couteau de poche et l'enfonça dans le serpent, par la suite, il le poussa du cou de son amie.
Adam : je ne peux pas la laisser ici, je dois l'apporter avec moi à l'hôpital, mais comment.
Adam s'approcha doucement de la porte arrière avec Jeanne dans ses bras et s'assura qu'il n'y aille personne avant d'ouvrir la porte et de traverser le bâtiment.
Il déposa Jeanne dans la camionnette sur le siège passager. Au même moment, qu'il ferma la portière...
-Hé toi là, que fait tu là? N'es-tu pas supposé être en train de jouer avec Colin.
Adam se dirigea vers la portière du chauffeur, l'homme se mit à courir vers ce jeune homme.
Adam rentre dans la camionnette. Une chance les clés y sont aussi. Il ferma la portière, partit la camionnette et verrouilla les portes. Le jeune homme remarque rapidement que 3 autres hommes sortent de la maison.

Le voilà sur la route en train de conduire.


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