James Jones-McKill 1

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Je m'appelle James McKill-Jones. Le fils du célèbre couple d'assassin. J'aurais 22 ans la semaine prochaine. Oui, je suis né le 24 décembre à minuit et alors ? Je me lève de mon lit douillet, ce qui est une torturés pour moi vu la froideur de ma chambre. Je me dirige vers la salle de bain et me lave le visage. Je me regarde dans la glace. Je ne dirais pas que je suis l'un des plus beaux hommes de la planète, mais je dois avouer que j'ai quand même du charme ! Mon père fair parti des plus beaux hommes de la planète. Je me coiffe rapidement et passe une heure à me préparer, comme tout les matins. Je descends et vois mes parents en train de manger des pancakes où du sirop d'érable dégouline, à côté de mon assiette de succulents pancakes, se trouvent une assiette de chauds œufs brouillés et une assiette de croustillants bacon fumés. Quelqu'un toque à la porte. On a même pas le temps d'aller répondre qu'une vague bleue de poils mange tout, accompagné de sa femme qui engloutit tout le bacon. Ma marraine Lusia et mon parrain Hank ont une fille, Aurore. Elle est d'une beauté scandaleuse, ses yeux sont d'un bleu saphir, son teint blanc comme neige et ses cheveux blonds comme les blés. Enfin c'est que m'a dit mes parents. Le matin, je n'ai pas cours et je reste donc au manoir, cloîtré dans ma chambre. L'après-midi, j'ai entraînement avec l'une des plus grandes assassin, à savoir ma mère. Enfin, elle devait m'entraîner mais elle a d'autres priorités. Donc je reste toute la journée dans le manoir tandis que les parents sont à l'étage, à faire Dieu sait quoi. Je regarde un film d'horreur, ils me font plus rire qu'autre chose. Je prends une poignée de pop-corn et mange. Je pose le paquet sur la table et continue de rire à cette bonne blague qu'est Paranormal Activity. Je me lève et entends toquer à la porte. Je me dirige vers la porte et vois une belle jeune femme blonde. Il pleut des cordes, elle porte un sweat-shirt et a rabattu sa capuche sur ses cheveux raides. Elle plaque sa main sur une plaie sanguinolente.
      « Où est Charles Jones ? dit-elle en enlevant sa main. »
Je la prend dans mes bras et l'emmène à l'intérieur. Je monte dans la chambre de mes parents. Ma mère et mon père sont nus comme des vers et ma mère est sur mon père. Ma mère pousse un cri d'effroi et elle les cache. Je ferme la porte et soupire. Mon père arrive, accompagné de ma mère habillée d'une chemise blanche sous une robe noire et chaussée d'une paire de talons.

HOW LONG // BEAUTY FROM PAINWhere stories live. Discover now