Je ne crois pas à la chance, mais seulement aux évidences. Notre destin a été écrit sur la même page de cartable d'un livre de cours. Peut-être que nos mots sont née sur des coins différents, mais nos mots sont devenus des phrases qui se sont transcrites l'une sur les autres. Ce n'est pas par hasard ou de la chance de t'avoir vu, de t'avoir toucher, de t'avoir parler, d'avoir reçu ton amitié et de t'avoir aimer...
Ton visage me manque, il est fraît dans mon esprit, mais si plausible d'être éphémère dans mes souvenirs. Malgré nos vies, je suis encore capable de me rappeler de toi. Ce qui n'est pareil dans ton cas, c'est ton sourire. Évidement, celui que tu me lançais au loin. T'es clins d'œil imprévisibles, comme j'ai rougie, malgré que tout cela n'était pas ce que je voulais réellement entendre. Ces petites choses si superflues, mais qui sont des souvenirs que je suis incapable d'oublier.
Peut-être est-ce de la chance d'avoir tombé sur toi, mon fanatique de My Heart is a radio ?
Comme je pourrais passer des heures à décrire ton visage qui m'a charmé, m'a enlacé, m'a envahie, et m'a fait succombé à ta personne. Quel Kryptonite!
Je me sens dramatique d'écrire les évocations de mon amour envers toi, qui n'existe plus, dès maintenant. Comme c'est fou que tout me reviens à cet instant! Je me sens lâche, depuis trop longtemps, d'écrire mon affection sur du papier plutôt que de te l'avoir murmuré. Je me sens vide et endommager comme une machine prête à la décharge, car je n'ai sue te plaire comme d'autres l'ont si bien réussi.
Tes yeux m'ont parlé de ce qu'il arriverait. Ces doubles miroirs m'ont avertis de la tristesse. Ils espéraient qu'ainsi j'oublierai mes rêveries d'âges naïfs. J'avais espoir de ne pas connaître cette vérité. Pourtant, elle m'a plaquée au mur, comme un coup à la figure, mais j'ai cicatrisé.
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