LE DÉSIRE DE L'AMOUR ET DE LA TRAHISON( ÉPISODE 24)

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<< L'amour qui ne ravage pas n'est pas l'amour >> Omar Khayyam

Bachir descendait de son 4×4 marque Ranger Rover et Claqua la portière. Il était un homme jovial et avait un léger embonpoint. Élégamment vêtu, il se dirigea chez Laila et sonna.

La bonne lui ouvrit la porte . Après quelques salamalecs, il salua la maman de Laila et s'installa dans le salon. On lui appprta des rafraîchissements. Bachir était de bonne humeur , tres content quand soudain il vit s'approcher de lui LAILA. Il se leva de son fauteuilet alla vers celle qui faisait battre son cœur en Tambour.
Ils firent l'accolade.

BACHIR : Comment va la plus belle des Femmes ?
LAILA : Elle va bien Bachir didon ce là fais un bail !
BACHIR : C'est vraie Laila . Je viens tout juste de rentrer de voyage.
LAILA : Tu passe plus de temps à l'étranger qu'au Sénégal ?
BACHIR : Hé , oui je suis un homme d'affaires et pour prospérer je dois sillonné le monde en quête de partenaires. À part cela Laila , je dois te dire que tu m'as énormément manqué. Je n'ai jamais cessé de penser à toi.
LAILA : Pareille pour moi.
BACHIR : Ah , au faite je t'ai apporté des cadeaux.
LAILA : Bachir toi aussi ,j'ai pas demandé à ce que tu me couves de cadeaux.
BACHIR : C'est un plaisir pour moi de te donner des cadeaux. Ouvre cette boite.

LAILA s'exécuta. La boite dévoila une magnifique collier en or assortit d'une bague incrusté de diamant.  Laila était béat d'administration devant la beauté des bijoux.
Cependant, subitement ses yeux s'assombrirent.

Elle fit face à Bachir.

LAILA : Bachir je ne peux pas accepter ce cadeau.
BACHIR : Pourquoi? C'est pour toi . Je t'ai offert tout ceci parce que je t'aime.
LAILA : C'est là le problème Bachir, il se trouve que je suis éprise d'un autre homme.
BACHIR : Quoi ? Je n'ai pas bien entendu...
LAILA : Bachir je suis amoureuse d'un autre homme , je l'aime et ....
BACHIR : Comment peut tu me faire celà LAILA ? Depuis que nous étions tout petits nos parents nous avaient destinés l'une pour l'autre . Ce qui fait que pour moi tu étais ma future femme, j'ai grandi avec l'idée que je t'epouserai. J'ai était fidèle durant toutes ces années. Je ne me suis jamais intéressé à aucune autre femme car pour moi tu étais celle qui m'est destiné. J'ai travaillé durant toutes ces années à fin de te mettre à l'abri du besoin lorsque nous serons mari et femme. Je n'ai jamais cessé de t'aimer depuis notre enfance.
Je me souviens de nos jeux ...
LAILA : Je suis sincèrement et vraiment désolais et je sais que nous étions destiné l'une pour l'autre. Moi aussi j'ai grandi avec l'idée selon laquelle je suis ta future épouse. Ce pendant l'amour m'est tombé dessus au moment je m'y attendais le moins et sache que je n'ai rien programmé ni voulu. L'amour m'est tombé dessus avec une telle force que je ne me sens pas capable de lutter contre ça volonté. Oui je suis amoureuse d'un autre homme. Maodo, il s'appelle et ...
BACHIR : Tu m'a trahie.

Bachir sanglota.

LAILA : Bachir s'il te plaît ne double pas ma peine , cesse de pleurer. Cette situation est vraiment pénible pour moi. Mon cœur à choisi !
Peut t'on contrôler son cœur , ses émotions et ses sentiments ?
BACHIR : Tu ma brisé le cœur...
LAILA : Je suis vraiment navrée de cette situation . Tu es un homme bien avec beaucoup de qualités qui frais le bonheur de n'importe quelle femme au monde. J'ai beaucoups de tendresses pour toi.
BACHIR : Épargne moi ces déclarations , je ne quémande pas ta tendresse.
LAILA : Je te jure que Bachir je n'ai rien contre toi. Mon seul tort est d'aimer profondément un autre homme qui ne m'était pas destiné.Je crois que c'est le destin qui a voulu cette situation. J'aime Maodo et je ne crois pas que je serai capable d'en aimé un autre à ce point.
BACHIR : Je ne veux plus t'entendre parler Laila tes paroles augmente ma peine. Laisse moi.

Bachir sortit de la maison précipitamment et démarra ça voiture qui partit en crissant les pneus.

La Maman de Laila trouva cette dernière en train de pleurer. Elle avait beaucoup de compassion vis à vis de ça fille . Elle le trouva donc en sanglot.

Maman : Cesse de pleurer ma fille.
LAILA : Oh maman j'ai mal , je viens de briser le cœur de Bachir .
Maman : Ce n'est pas de ta faute ma fille.
LAILA : Bachir est un homme formidable c'est comme si je l'avais trahie.
Maman : Je comprend ta peine ma chérie.
LAILA : Pourquoi Maman ? Pourquoi à t'il fallu que j'en aime un autre homme !
Maman : Je ne peux répondre à cette question ,ma fille.
LAILA : Il aurait été tellement plus facile si je tombais amoureuse de Bachir .
Maman : Je te dis que ce n'était pas t'a faute. On dit que le cœur à ses raisons que la raison ignore.
LAILA : Je sais que Bachir est un homme loyal , bon , généreux , pieux et respectueux. Il a toutes le qualités qui feraient le bonheur de n'importe quel femme au monde. Mais il a fallu que je sois éprise d'Maodo et je l'aime de toute mon âme. Mon cœur ne bat que pour lui. Il m'est devenu indispensable. Oh Maman je l'aime tellement sans Maodo ma vie n'a plus de sens.

La Maman de LAILA était très peinée de voir ça fille dans cette situation. Oui elle était peinée, elle comprenait les sentiments qui animaient ça fille ; elle entoura de ses mains ça fille tout en tapotant son dos. Ah l'amour restera toujours un mystère.

Pendant ce temps sur les falaises surplombant l'océan Atlantique , un homme souriait de satisfaction. Il était comme un papillon , qui ,leger voltigeait de fleurs en fleurs. Il était euphorique , qui était donc cette homme qui souriait tout seul ?

Était-il fou?
Oui il l'était , fou amoureux. Cupidon avait fait des ravages dans son cœur.

L'homme se remémorait cette nuit inoubliable. Où il avait butiné une délicieuse fleurs. Il était en extase rien qu'en se souvenant cette folle soirée où il avait fusionné avec l'élu de son cœur. Ça déesse à lui , se nommait LAILA.
Maodo ,devant l'immensité de l'océan, contemplait avec admiration les flots qui se déversaient sur la falaise. Au loin, le crépuscule qui s'annonçait , dessinait à l'horizon une couleur en rouge et or au dessus de l'océan.
La vu était magnifique.
Maodo enfonça ses écouteurs dans ses oreilles et dégringola la falaise. Il était en tenue de sport. Il courut pendant une trentaines de minutes au bord de la plage. Alors qu'il logeait une petite d'une de Sable, il entendit des rires joyeux, écarquilla les yeux et aperçut un couple qui jouaient au bord de l'océan.

L'homme poursuivant la femme qui courait en se parvenant tel un paon. Bientôt il attrapa la femme ,  se jeta sur elle et l'embrassa passionnément.

Ah l'amour est encore à l'œuvre par ici pensa Maodo . Il contempla le couple qui s'aimaient pendant un instant puis se mit à courir. Ce pendant , à peine eut le dos tourné qu'il entendit une voix hélait son prénom. Il se retourna surprise.

Le couple main dans la main se dirigeait vers lui,  Maodo se tient immobile l'homme lui adresser la parole :

- Maodo mon ami comptent de te rencontrer ça fait un bail.
MAODO : KHALIPHA  ? Est ce toi ? Diable que fais- tu ici?
KHALIPHA :Bon comme tu le vois je suis accompagné de Coumba ,ma petite amie.
MAODO : Coumba tu vas bien?
COUMBA : Sa va Maodo, comment va LAILA ?
MAODO : Elle va bien. En tout cas vous deux vous prennez du bon temps.
KHALIPHA : La vie ne vaut pas la peine d'être vécue Maodo si on n'est pas amoureux.
MAODO : Je confirme , bon je vous laisse à plus .
COUMBA : Ok bye.

Maodo se mit à courir il fit un centaines de pas puis se retourna. Il apperçut KHALIPHA et COUMBA s'embrassaient sous un magnifique coucher du Soleil.

Je vous invite à ne surtout pas ratée l'épisode suivant .
Des moments de folies vont y passer.

PS: Veuillez notée l'épisode s'il vous plaît et suis ouvert aux critiques .
Je vous remercie.

LE DÉSIRE DE L'AMOUR ET DE LA TRAHISON Où les histoires vivent. Découvrez maintenant