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Mais ce n'était pas les seuls à profiter des bonheurs de l'amour physique. En effet, dans une maison avoisinante, une jeune fille et son petit ami, réunis dans une même maison avec le père de la fille, descendaient l'escalier menant à la cave pour y pratiquer leurs ébats amoureux dans la voiture dormant dans le garage depuis bien des années. Ils entrèrent dans la voiture, s'installèrent sur la banquette arrière, et ils scellèrent leur amitié par l'acte sexuel. Mais leurs cris de plaisir attirèrent le père qui descendit à la cave pour voir ce qui pouvait bien s'y passer, sa surprise fut énorme quand il vit sa propre fille se faire dépuceler, surtout dans ces temps incertains ou quelqu'un assassinait toutes les personnes trouvées sur son chemin. C'en fut trop pour le père déjà ébranler par les événements. Il ouvrit la portière, tira sa fille par les cheveux et l'attacha aux chaînes qui servaient en temps normal à soulever le moteur de la voiture. Puis, il s'intéressa au garçon resté dans la voiture; il le sortit aussi, lui coinça la tête dans un étau qu'il resserra pour qu'il ne puisse plus bouger puis prit un bras de sa victime le posa sur une table adjacente, pris un marteau et l'abatis sur la main de l'amant de sa fille. La main éclata en mille morceaux er du sang gicla. Le malheureux et la fille crièrent, l'un parce qu'il avait plus de main et l'autre de peur de se voir infliger le même sort que son amant. Puis le tueur fit de même avec l'autre main, qui se brisa dans un fracas d'os broyés. Le père alla ensuite chercher sa perceuse, changea la mèche pour en mettre une plus grosse et plus longue, changea la vitesse de rotation de la mèche puis considéra son appareil ainsi modifié. Il changea la tête de sa victime de position de manière à ce qu'une trempe soit en face de lui. Il posa sa perceuse sur la trempe et mit en marche son engin de mort. La mèche rentra tout doucement dans le cerveau du garçon qui cria tant qu'il put avant de rendre l'âme. La mèche s'enfonça sans rencontrer de résistance, répandant toujours plus de sang sur l'établi qui ne contenait déjà plus tout ce liquide rougeâtre qui commençait à couler sur le sol couvert de sciure de bois qui absorba une partie du sang. Mais le liquide poisseux coulait toujours, d'autant plus que le père fou avait commencé à attaquer une partie du cou du jeune homme à la scie non sans difficultés; quand il rencontra la colonne vertébrale qu'il entama dans un bruit horrible et répugnant de scie qui dérape et revient à la charge pour accomplir son sinistre travail, lequel bruit faisait pleurer la fille dont les pieds commençaient à tremper dans le sang de son ex-amant

Le père jugeant que son travail était suffisant pour ce jeune, s'intéressa à sa fille qu'il détacha et rattacha sur la table de coupe ayant en son centre une grosse scie circulaire. Il écarta les jambes de sa fille et, jugeant qu'elle n'avait pas encore assez goûté aux joies du sexe, alla chercher un marteau dont il enfonça le manche dans le vagin de sa fille jusqu'à ce qu'elle crie de douleur. Mais il ne s'arrêta pas et enfonça bien d'autres objets dont une ampoule: il écarta les lèvres vaginales de sa fille, enfonça l'ampoule dans son vagin en faisant attention à ce qu'elle ne se brise pas et une fois l'ampoule complètement rentrée, il donna un coup de coude sur le bas ventre si-bien que l'ampoule se brisa dans le vagin de sa fille en plusieurs petits morceaux de verre acérés qui rentrèrent dans sa chair la faisant crier encore plus fort qu'auparavant. Il alluma ensuite la scie circulaire,détacha sa fille en état de choc et la poussa sous la lame. Elle mourut sur le coup en ayant le ventre ouvert et déchiqueté par une scie. Son père repassa encore plusieurs fois sa fille sur la lame jusqu'à ce que le cadavre soit coupé en deux partie.Il sortit les entrailles de sa fille et se les passa autour du cou en rigolant puis il éclata en sanglots devant le massacre qu'il avait orchestré. Attiré par tout ces cris, le véritable tueur arriva dans ce garage et constata le massacre qu'il y avait déjà eu. Le père se retourna, hurla en voyant ce zombie s'avançant vers lui d'un pas lent. Le tueur saisit le père qui pleurait encore, le remit sur ses pieds pour mieux traverser sa main d'un tournevis, lequel se planta dans la table en bois immobilisant le père. Le tueur saisit la tronçonneuse qui était posée sur une étagère, la mit en marche dans un ronronnement bien réjouissant du moteur puis il découpa le bras de sa victime. Le sang gicla sur les murs du garage. Puis le tueur attaqua l'autre bras qui se détacha aisément dans un bruit qui n'était pas sans rappeler celui que fit la scie découpant la colonne vertébrale du pauvre garçon. Le tueur découpa ensuite les jambes du pauvre homme qui hurla de plus belle avant qu'il ne fut tué de manière atroce. Le tueur leva haut sa tronçonneuse pour l'abattre sur la tête de sa victime. La tronçonneuse attaqua le crâne puis le cerveau dont des petits bouts giclèrent un peu partout pour que finalement  la tête s'ouvre en deux parties ruisselantes de sang et de cervelle. Le tueur emporta avec lui le haut du corps de la fille ainsi que celui de son père. Mais alors qu'il sortait dans la rue, quelqu'un le vit à travers une fenêtre et hurla. Il décida d'abandonner le corps du père dans la rue et de s'en aller ce qui fit pendant que de la cervelle et du sang s'écoulaient sur le trottoir pour finir dans les égouts, de petits asticots blancs s'enfonçaient dans le cerveau du mort.

Ces nouveaux cadavres furent découverts peu après que la voisine ait hurlé. Tous ces meurtres commencèrent à peser lourdement sur la conscience générale et ils avaient tous peur d'en venir aux moyens extrêmes comme ce père qui avait massacré sa fille et son petit ami. De plus, l'hiver qui arrivait était annoncé comme étant l'un des plus froid que la ville ait connue depuis très longtemps. Il était possible qu'il y ait de la neige mais cette année, personne n'en profiterait tant que le tueur serait toujours en liberté. L'hiver arriva et, fidèle aux prédictions, fut extrêmement froid et démoralisant. Cet hiver ainsi que le tueur toujours en liberté firent que certaines personnes crurent bon de quitter la ville au plus vite. Un couple de jeunes mariés considéra cette décision comme la meilleure étant donné qu'ils voulaient vivre encore de longues années. A cet effet, ils se réveillèrent tôt, chargèrent la voiture alors que le soleil se levait sur une ville encore silencieuse, couverte d'une neige blanche et immaculée. L'homme décida de fumer une cigarette pendant que sa femme faisait le tour de la maison pour voir s'ils n'avaient rien oublié. La femme commença à regarder partout au rez-de-chaussée, puis elle monta au premier étage. Elle redescendit et vit une ombre passer rapidement sur le sol. Elle attendit quelques instants, ne fit aucun geste, puis elle continue à descendre les marches une par une. Elle était arrivée en bas de l'escalier quand une main jaillit au-dessus de l'escalier et plaqua aussitôt sa tête contre le mur, la main placée de telle sorte qu'elle ne puisse hurler. Le tueur sortit un couteau qu'il avait emprunté dans la cuisine et l'égorgea. Il repassa plusieurs fois sur le cou faisant gicler plus de sang à mesure que la lame progressait dans la tendre chair. Une fois la femme morte, vidée de son sang, le tueur saisit la tête de ses deux mains et la tourna jusqu'à ce qu'elle se décroche de la colonne vertébrale. Il laissa ce corps ensanglanté s'effondrer et partit. L'homme en ayant assez de rester assis sur le rebord du coffre se leva, fit quelques pas tête baissée pour se retrouver nez à nez avec sa femme ou plutôt la tête de sa femme que tenait le tueur d'une main tandis que dans l'autre, il tenait un couteau qu'il se hâta d'enfoncer dans le ventre du pauvre homme dont le cri de douleur réveilla tous ces voisins. Le sang coula sur la neige, tâchant ce blanc immaculé de traces rouges. Le tueur tourna plusieurs fois le couteau dans la plaie faisant jaillir encore plus de sang. Une fois le pauvre homme complètement mort, il retira son couteau et le cadavre s'effondra, n'ayant plus de points d'appuis. Le tueur partit et jeta la tête de la pauvre femme, un rictus de mort figé sur ce beau visage.

L'horreur est dans le lyceeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant