« The choice. »

XXVII

Le 24 décembre 2012,
Ville de Lyon.

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David,

Durant tout mon trajet jusqu'à Lyon, je ne cessais de repenser à ce séjour qui fut une réussite. Je remercie le Seigneur, car il a permit à ce que je puisse être un instrument pour une mission qu'il m'a confié. J'ai honorer cette mission en obéissant, et la réussite à suivi. Je rends gloire à l'Eternel car deux âmes se sont repentis et ont acceptés Christ.

Ceci ne peut qu'être une joie immense pour l'Eternel.

Alors que je ne cessais de repenser au succès du Saint-Esprit, j'arrivais enfin à mon domicile, à l'aide des transports en commun. Je n'ai pas réellement besoins d'emmener ma voiture partout avec moi, la marche et les transports ne mordent pas. De temps à autres sa fait du bien au moral mais également au porte-feuille, faire rempli le réservoir d'essence chaque jour, sa coute.

Je déposais mon sac qui comportait toutes mes affaires et cherchaient mes clés dans le fond de ma poche de jeans. Une fois trouvé, je saisis les clés et les enfonça dans la serrure afin d'entrer dans mon domicile et me reposer avant de pouvoir aller revoir Yolaine, Ursula ainsi que Nathanaël. Je claquais la porte de la maison juste derrière moi et déposait mon sac à l'entrée, tout ce que je voulais, c'était dormir dans ma chambre paisiblement.

Je montais les marches de l'escalier paisiblement mais légèrement pris de fatigue. Je baillais comme pas possible, alors que je baillais en fermant les yeux, je sentis une présence me heurter. Subitement, j'ouvris les yeux et vit une scène assez atypique.

Ma femme, presque nue.

Mon jeune cousin, nommé Steven, affolé et paniqué. Il avait dans ses mains ses propres vêtements ainsi que ses chaussures. Son coeur pouvait sortir de sa cage thoracique, c'était incroyablement peinant.

Les deux tremblants, ne savant que faire restent estomaqués face à la présence. Je pense les avoir indisposé dans leur ambiance, je souriais simplement en tapant légèrement sur l'épaule de mon cher cousin en disant:

― Ne paniquez pas, je vais simplement dormir.

Je passais le cadre de ma chambre afin de simplement prendre quelques vêtements à moi, un drap propre suivi d'un coussin afin d'aller me retirer et me reposer dans la chambre d'amis. Hors de questions de dormir dans un endroit souillé. A mon retour, personne n'avait bouger,

  ― Ne soyez pas effrayés, je ne vais rien faire. Simplement, j'aimerais vous dire que l'Eternel vous aime énormément vous deux. Repentez-vous et cessez vos péchés afin de vivre totalement ce que je vis.

Je pris mes deux jambes et allait donc m'installer dans la chambre d'ami. Je retirais mes baskets en chantonnant et me dirigeait vers la salle de bain inclut dans cette chambre.

Décidément, la journée restera aussi mouvementé que au départ.

[...]

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Ville de Colombes,
Appartement de la famille KASSEM.
Le 24 décembre 2012.