16 : Une amie ?

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PDV : Hez

Je n'avais tout à fait compris ce qui c'était passé avec cette louve, ni pourquoi elle allait me servir . Le loup autoritaire me tenait toujours par les épaules et m'entraîna à sa suite dans la maison. J'occupais mes méninge à chercher un moyens de me faire pardonner d'avoir étrangler une louve.

Qu'est ce qui ferait plaisir au grand Loup ? Je me souvins de la première chose qu'il m'avait demandé : un baiser. Peut_être est-ce la solution, si je l'embrassais je ne serais pas gronder.

Je me résolu à le faire, alors je stoppais notre marche, me mit devant lui sous ses yeux interrogatifs, hissais sur la pointe des pieds je déposer un petit bisous sur ses lèvres.

_Je suis désolée d'avoir blesser des Louves je ne voulais pas, dis-je en retombant sur mes talons.

Ce n'est que quand j'entendis les applaudissements alentours que je pris conscience qu'on était au milieux de la salle de réception où j'avais pris mon petit déjeuner. Je regardais interloquer ces gens applaudirent. D'habitude on me félicitait quand j'avais tué un monstre et ramené sa carcasse au camps, je fus surprise de me souvenir de la signification des applaudissements et surtout d'un moment joyeux de ma vie sur l'île, tiens je me souvenais de l'île aussi ? C'était sûrement parce que je n'avais pas pris de médicament depuis quelques jours.

Je sentis soudain un éclair traverser mon crâne et je hurlais de douleur, mes paupières papillonnèrent, le visage de l'alpha fut recouvert d'une tâche sombre et mes oreilles bourdonnèrent, alors que je me sentais chuté dans un puits remplit de nuit.

Quand je me réveillais il faisait encore jours. Je n'avais plus mal mais ma gorge était sèche, et ma langue s'était transformé en morceau de bois.

_Ah tu te réveille enfin, m'aborda Anissa n me tendant un verre que je m'empressais d'avaler.

_Eh doucement Luna, ça fait plus de 24 heures que tu es évanouie, tu ne devrais pas te précipiter comme ça.

_Merci, lui dis-je en reposant le verre sur la table de nuit, j'avais été confortablement installé dans un lit.

_C'est l'Alpha qui va être content, pile au moment ou il se décide enfin à quitter ton chevet pour aller interrogé les médecins chelous de l'hôpital de fou où tu vivais, te voilà que ouvre un œil.

_Il est partis ?

_Oh ça va ne joue pas l'amoureuse transit, il va revenir j'ai déjà ordonner à Zac de le prévenir de ton réveil.

_Zac ? le messager de l'alpha ?

_Oui, qui d'autre ! c'est pas le messager de l'alpha pour rien, ils peuvent parler télépathiquement entre eux, murmura t-elle avant de reprendre d'une voix normale, bon enfin pense pas que je te dis ça parce que je suis ton amie, je te déteste tu m'as volé mon amant. Mais bon comme je suis obligé de m'occuper de toi je dois bien faire la conversation, vu que t'es muette comme une carpe.

_Une carpe ? comme celle du bassin où je t'ai poussé ?

_Chut tait-toi, me rappelle pas ce mauvais souvenir ou je vais avoir envie de t'arracher la tête. Lève toi plus tôt ! J'ai profité de ton sommeille pour faire un peu de rangement dans tes placard et je t'ai sélectionner quelque tenue , que je sais d'expérience vont plaire à l'Alpha. je dis pas ça parce que je veux que tu lui plaise.

Je m'exécutais et continuer de l'écouter, Anissa parlait beaucoup et ces paroles semblait receler un sens cacher, que je tentais de percer en l'écoutant attentivement. D'ailleurs sa voix légèrement grave m'empêcher de m'inquiéter de la forme noir qui se mouvait dans mon champs de vision.

Sans réfléchir et parce que je voulais remercier Anissa de sa présence rassurante, je la pris dans mes bras.

_Ah ! mais lâche moi espèce de folle, on ne prend pas les gens dans ces bras quand on est toute nue et encore moins quelqu'un qu'on a faillit tuer quelque temps auparavant !

Loup garou [ titre provisoire ] Pause Et RéécritureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant