Jeff The Killer est le méchant titulaire des histoires de creepypasta du même nom.
Il était à l'origine un jeune psychopathe latent qui a brutalement battu un trio qui se sont avaient pris à lui et à son frère Liu dans la ville où ils venaient de déménager.
Liu se fit arrêter, ce qui a poussé Jeff dans une dépression.
Plus tard, les agresseurs ont de nouveau attaqué Jeff lors d'une fête, et Jeff les a tués tous les trois, mais pendant son acte, il se pris de l'eau de Javel et a accidentellement allumé un feu, endommageant ainsi gravement son corps et son visage.
Au cours de cette lutte, l'esprit de Jeff fut définitivement tourmenté. Quand Jeff se réveilla, il était dans un hôpital. Quand les bandages ont été enlevés, son visage était devenu livide et défiguré par les brûlures, les lèvres rouge vif et d'une texture coriace.
Jeff dit qu'il aimait son visage de cette façon et se mit à rire hystériquement, mais le médecin pensait bêtement que cette folie n'était que le résultat des analgésiques et a laisser Jeff et sa famille (y compris Liu, qui a été libéré) rentrer à la maison.
Plus tard cette nuit-là, la mère de Jeff a constaté qu'il avait sculpté sur son visage un sourire permanent, de sorte qu'il n'aurait plus à exercer d'effort pour sourire, et a brûlé ses paupières, afin qu'il puisse toujours voir son visage.
La mère de Jeff est allé voir son mari pour lui dire que son fils était devenu complètement fou et avait besoin d'être soigné, mais Jeff les a attrapés et les a poignardé à mort.
La mort des parents réveilla Liu, qui dû affronté son frère, en vain. Liu se trouvait à terre, avec Jeff qui se dressait au-dessus de son frère, lui disant qu'il était sur le point d'enfoncer le couteau dans son corps, "Il faut que tu ailles dormir, et tout ira bien."
Quelque temps plus tard, un "tueur inconnu" a émergé et a fait une série de meurtres. Un garçon qui eu la chance de survivre aux attaques du tueur a décrit l'homme comme ayant une peau inhumainement pâle, un sourire hideux, et des yeux sombres, menaçants, ouvert en permanence. Quand il a essayé de tuer le garçon, il lui a dit:
"Il faut que tu dormes."