Tu m'as appris à avancer malgrès le passé,
Mais maintenant il va falloir me laisser pleurer...
Toute la douleur que j'ai dû taire,
Pour te satisfaire et essayer de croire à tes "ce n'est que temporaire tout va disparaitre!"Alors j'ai fermé ma gueule, me disant que je n'avais pas le droit de souffrir puisque tant d'autres ont vécu bien pire!
Mes cicatrices ouvertes devant toi,
Le coeur à nu,
Mais je n'avais pas le droit,
Me plaindre était mal venu.Alors j'ai fermé ma gueule,
Les larmes ruisselaient le long de mon fébril coeur...
Marre des costumes qui font bien habillé; marre de me cacher derrière quelqu'un de maquillé par un sourire plus truqué que les dès!
Parce qu'aujourd'hui je mets mon coeur, mes mots et mon âme à nu.Parce qu'aujourd'hui,
Pour la première et dernière fois je me plaindrai...
Un déchirement aux tripes,
Là où est née ma rage.
Le passé me laisse un goût amer,
Que j'ai envie de complaire!Alors j'hurle.
Face aux miens;
Mes erreurs en solitaire,
L'envie d'un parrain,
La profondeur masquée de mes coups de sang,
Parce que je l'aime à sang pour sans.
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MAUX D'ENCRE
PoetryUne lame glisse dans un léger frottement sur le vieux papier, abîmé par le temps. L'encre se deverse peu à peu et laisse deviner au fur et à mesure des vas-et-viens incessants de la plume, des lettres... Discrètes dans un premier temps. Puis toujour...