Brouillard•Prologue

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Dans le calme, on passe vite à la tempête.
La température augmente pour laisser place à une forte chaleur, la boule au ventre les yeux rouge, la douleur prend le bonheur.
On empêche la vie de suivre son cours, on chuchote des mots incompréhensibles pour certains signifiant le brouillard,pour d'autres cela signifie rien que des cris, des cris très fort a en perdre l'ouïe.
On marche, jusqu'à arriver devant un grand mur de soie noir, troublant nos pensées, te faisant remarquer que les rêves ne deviennent pas toujours réalité.
Aveugle, c'est le mot qui définira ta vision des choses après avoir passé ce beau mur noir, passe par le chemin fleuris, pendant que les autres périssent dans le chemin empruntant une cave silencieuse et non éclairé, juste pour une minute, le temps d'une mort, et encore, une seconde serait parfait pour ne pas souffrir.
Le chat que tu trouves au bout de ton beau chemin fleuri, regarde le, tu ne peux pas ?
J'avais oublié, la tempête c'est arrêté, un grand champs de fleurs violette, elles sentent bon mais t'es paupières sont lourdes, tu te sent bientôt parti.
Trou noir.
Une brise de vent chaud, puis d'un coup une bouffée de chaleur, on ouvre les yeux et on sourit.
Un sourire vide et un regard identifié à la tristesse, pourquoi mentir ?
La vie est facilement accessible mais est-ce que le bonheur l'est aussi?
Des tas de questions traversent, des histoires s'écrivent puis s'efface laissant une page vierge.
L'eau qui ruisselle dans les ruisseaux les mers les rivières les lacs et les océans, ne sera jamais coupé de la vie.
Cette nuit on ne vois aucune étoile, seulement le bleus nuit presque noir et une douce lune formant une forme incompréhensible, comme l'esprit qui entoure les gens ayant subit les dégâts de cette tempête, un noir complet et un point blanc, inaccessible de tous.
Une peinture dessinée par une enfant de 5 ans,
Un bâtiment vide, aucun habitants, juste ce tableau.
On ferme les portes pour ce retrouver dans l'obscurité, se sentir observer et obliger d'être aveugle.
On respire un grand coup et on commence quand même à paniquer, puis on détruit tout, dès vies des objets, des objectifs et des cris de peur.
Des cris de peur, on cris à s'en Tuer la voix et c'est la que l'ont comprends enfin les cris signifiant brouillard, caché du monde mais maintenant compréhensible.
Signifiant un simple appel à l'aide, un brouillard devenu S.O.S après la tempête.
Pourquoi mentir ?

Ohayō !
Je reviens après une longue absence.
Je fais une petite pause à ma fanfiction pour commencer cette fiction là.
Elle parle du coup d'un sujet + délicat, plus sensible je dirais même...
Encore vraiment désolé pour les fautes j'écris rapidement et j'ai pas mon ordinateur pour corriger :/
Voilà bonne lecture mes pommes de terre 🥔❤️💫 xD

Bipolarité d'une rêveuse ordinaire]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant