sérieux ? Serais je entrain de rêver ? Serais je mort ? Ce monde serait il le paradis ?
Le ciel de ce monde autre, ivre d'étoiles, peint en rose se fait reflet du sol cristallisé miroir de son voisin du haut . Les arbres, hôtes des papillons qui se comptaient par millier se font donateurs du frais vent mentholé. Du ciel vaste, venaient de douces mélodies lesquelles lâchées par de petits oiseaux au nom inconnu. Telles de minuscules, dans le miroir du lac, des parasites marrains aux têtes de joujoux et à la couleur de baby régnaient dans le vaste aquarium qui jouxtait le sol de cristal. c'était un monde autre. La magie de mon enfance s'était entrain de se réaliser sous mes paupières d'ego. Les routes nul part existées favorisaient le déplacement sur d'invisibles engins . Les anges eux, avec leur ailes multi colorées habitaient parmi les Hommes semblables aux terriens dont les femmes de véritables flammes reflétaient vénus et étaient vénus . Les murs roses gardaient secret des roses de mer. Les adonis, nains géant faisaient lecture de la beauté des lieux .
Tous s'affolaient. C'était le procès à en croire les dires des cristaliens. Le tribunal véritable palais, grandement ouvert dessinait un coeur dont les murs roses hebergeaient des croquis de balance en équilibre entre deux coeurs. La salle d'audience peint de rose paraissait plus haut de l'intérieur que de l'extérieur. Les bancs, suspendus dans l'air, flottaient.
-On se lève ! Se cria une voix venue de nul part et l'assistance dans un mouvement coordonné s'exécuta. Du haut, s'ouvrit une porte donnant passage à une horde de papillons qui précédait le grand maître, le juge suprême du royaume du cristal. Il était tout en blanc. Ces cheveux blancs comme la neige, ramifiés les uns avec les autres étaient ornés d'une couronne de roses blanches sertie de diamant. De son dos, venaient deux grands ailes blanches dont les centres sont colorés en rose. Ses mains dont la couleur ne peut être identifiée étaient supports d'un setre. Ses pieds de règne se déplaçaient dans une maille de nuage qui les enveloppaient. De son visage, jaillissaient une lumière aveuglante empêchant de distinguer sa face. De l'autre côté de la porte donnant accès à la salle, jaillissaient des voix mielleuses chantant le panégyrique du maître des lieux. On pouvait entendre : << Fils de lumière, né de lumière, enfant de sagesse, de bonté et de beauté, prince du royaume des nés beau, enfant rose né de la passion qui est passion et qui lègue la rose passion dans les coeur cadenassés et
assoiffés. Honneur et règne éternel... >>
Le juge suprême dans toute sa splendeur fît signe de la main et les griottes cristaliennes se turent. Les anges reprirent les éloges, cette fois ci avec une hymne exécutée à la trompette. Le grand maître s'assit. Au dessus de sa tête, les papillons formaient une auréole. Tous se turent pendant un long moment. Du côté droit du juge, jusqu'à là voilé, apparut une petite assemblée composée d'anges dont les âges sont avancés. Ils constituaient le conseil des sages.
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Au pays de la rose passion
ParanormalTémoin des scènes fantastiques dans un monde autre que celui où il a toujours vécu, un terrien conte dans un récit voilé de poèmes son incroyable séjour