Jang-mi a vingt ans. Elle vit seule avec son père, sa mère a été vendue comme esclave pour pouvoir payer les dettes du foyer. Elle déteste les riches de la Corée du Sud, ils les exploitent tous, cependant, ils ne peuvent pas se rebeller. Son père bo...
Jang-mi est la plus belle femme que j'ai jamais vu. Ses yeux sont vraiment splendides. Il y a quelque chose chez cette fille qui me touche en plein coeur. C'est pour cette raison que je ne peux pas la toucher, et pourtant, j'ai vraiment envie d'elle. Elle semble délicate, et à son attitude, je ressens qu'elle ne connaît pas l'amour. Elle a peur de moi également.
J'appelle une ancienne conquête pour ce soir. Je n'ai pas envie de finir la soirée seul. J'ai réussi à trouver de la compagnie, pas aussi ravissante que la jeune femme qui se trouve dans la chambre d'à côté, mais cela me divertira un peu. Je frappe à sa porte, je ne suis pas obligé de frapper. Elle est mon esclave, mais, je la respecte. Je n'ai pas de réponse. J'ouvre lentement, elle s'est assoupie. Elle est magnifique. Mon cœur s'emballe dans ma poitrine. Je m'assois près d'elle et je caresse ses cheveux. Je suis conquis, elle est adorable.
Puis je me ressaisis. "Mais qu'est-ce qu'il me prend !", je songe. Je me relève brusquement et je sors. Je ne peux pas éprouver des sentiments pour elle. Cela n'est pas du tout envisageable, elle est mon esclave. Je suis malheureux de cette situation, mais elle est pourtant réelle. Jang-mi ne pourra jamais être une compagne pour moi.
J'ai passé une agréable soirée, mais mon esprit était constamment occupé par Jang-mi. J'avais cette image d'elle allongée, magnifique dans son lit. Oui, cela m'a hanté à chaque seconde, je n'ai pas pu toucher mon ex-petite amie. Je sais que je l'ai vexée. Je suis rentré immédiatement après le dîner. Et, j'ajoute, ce n'est pas du tout dans mes habitudes.
Je soupire en ouvrant la porte de ma chambre. J'ai une envie irrésistible de la regarder une dernière fois avant de m'endormir. J'ouvre la porte, elle dort encore. Elle a dû bouger parce que son corps est presque à découvert. J'admire ses formes très harmonieuses. Je referme immédiatement la porte. Je me fais du mal pour rien. Je pourrais l'obliger à être ma maîtresse. Mon intimité se secoue. Non, ce ne serait pas raisonnable. Je m'attacherais davantage à elle, c'est interdit. Je ne peux pas aller contre les lois que mon propre père a instaurées. Je dois me montrer plus dur pour qu'elle ne se rapproche pas trop de moi parce qu'elle est dangereuse. Demain sera un autre jour.
Je suis réveillé, je cherche Jang-mi. Je ne la trouve pas dans ma chambre, je me lève et j'ouvre brusquement la porte de sa chambre. Elle sursaute dans son lit. Elle me regarde à moitié endormie et je lui ordonne :
"- Tu te lèves immédiatement, tu vas me chercher un petit déjeuner, et tu me prépares mes vêtements pour la journée. J'ai entraînement aujourd'hui, donc un survêtement fera l'affaire. Et dépêche toi ! Tu n'es pas mon esclave pour fainéanter au lit."
Elle se lève rapidement, et se précipite dans la salle de bain. Elle me regarde incrédule, je crois qu'elle ne comprend pas trop le contraste entre hier et aujourd'hui. Elle ressort rapidement de la salle de bain. Elle me prépare un survêtement, et descend me chercher un petit déjeuner. Elle a remis ses lunettes, et je pense qu'en fin de compte, je préfère la voir avec ses lunettes. Elle me trouble moins ainsi. Et je lui dis :
"- Je retire ce que j'ai dit hier. En fin de compte, il vaut mieux que tu gardes tes lunettes, cela m'évite de voir ton visage. Tu es mieux avec !".
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Elle lève des yeux pleins de larmes vers moi. Je regrette immédiatement ce que je viens de lui dire, mais c'est mieux ainsi. Elle sort. Je souffle et je souffre d'être aussi cruel avec elle. Je me prépare lentement, elle revient avec un plateau qu'elle dépose sur la table à côté de mon lit. Je m'assois pour manger et je l'ignore. Elle tourne les talons et retourne dans sa chambre.
Je baisse ma tête, la cruauté me permettra d'oublier qu'elle est belle et qu'elle me plaît. Je le fais également pour sa survie à elle. Si mon père était au courant d'une relation particulière entre elle et moi, elle serait punie sur le champ, c'est à dire exécutée. Et cela, je ne peux le concevoir.
J'ai fini de déjeuner, je suis fin prêt. Je dois partir, je vais dans sa chambre. J'ouvre la porte sans frapper, je la surprend assise sur son lit, la tête baissée, les mains de chaque côté de sa tête sur ses tempes. Elle a remis ses lunettes. C'est une idée de génie qu'elle a eu de se cacher derrière ses lunettes. Elle tourne la tête, elle attend les ordres. J'ai envie de la prendre dans mes bras et de l'embrasser. Je secoue ma tête pour chasser cette idée, et je lui ordonne :
"- Tu me suis. Prend une serviette et de l'eau."
Mon ton est sec. Elle s'exécute en tremblant. Je la terrorise. Je souris, elle m'excite quand elle a peur de moi. Elle revient avec tout ce que je lui ai demandé. Elle marche devant moi, j'admire à loisir ses magnifiques jambes. Je souffle de désespoir. Elle est à tomber. Je m'approche d'elle. Je dois me conduire comme un goujat avec elle pour qu'elle me déteste. Je pose mes mains sur ses hanches et au passage je caresse ses fesses. Elle se tend, et moi également. Elle n'ose pas répliquer ou se défendre.
Elle est encore sous le choc de mon changement d'humeur. Je lui montre une chaise où elle doit s'asseoir et m'attendre, en compagnie des autres esclaves. Je sais que chacun des membres de mon groupe a eu des relations sexuelles avec son esclave. Je vais faire en sorte qu'ils croient que moi également. C'est aussi pour maintenir Sehun loin d'elle, j'ai bien remarqué comment il admire ses jambes. Il la dévore. S'il sait qu'il n'y a rien entre elle et moi, il s'empressera de la faire sienne. Je dois montrer qu'elle est ma maîtresse. Alors, je m'avance vers elle. Elle rentre sa tête dans ses épaules. Je me penche vers elle, et je pose mes lèvres sur les siennes sous le regard curieux de tout le monde.
Nous nous mettons en place pour la répétition de la chorégraphie. Je plonge mes yeux dans ceux de Jang-mi, je suis troublé de l'avoir embrassée. Elle baisse immédiatement ses yeux. Elle a les joues rose par l'émotion, et elle est extrêmement embarrassée et j'ajoute hyper jolie. Puis, l'entraînement commence.
