Mon cœur était en miette lors des adieux je me sentais tellement malle et triste que j'ai pas le bon mot pour expliquer ce qui se passe à l'intérieur de moi, je quittais ma famille, mon père pour une durée indéterminée mais mon acte empêcherait que mon père soit humilié et je ne regrette rien.
Père: Faite attention à toi ma famille, n'oublie pas les principes d'une demoiselle.
Moi: Oui père ne vous inquiétez pas vous avez fait tout votre possible pour que j'aie une bonne éducation.
Père: Je suis très fier de toi ma fille et fais qu'en sorte je le sois toujours.
Jacques: Je suis vraiment désolé mais on doit partir j'ai pour devoir de donner les dernières nouvelles à mon oncle le roi.
Tout le monde ici sait que vous êtes le neveu du roi pas la peine de le répéter merci.
Moi: Je suis prête Monseigneur.
Jacques: Alors je vous prie de nous excuser on doit laisser votre humble demeure.
À la suite de ces mots il me fait signe de le suivre et ce que je fais.
Après une éternité, on arriva au
Cap-Français devant un Fort où le roi mit à la disponibilité de son neveu pendant son séjour.Il y avait beaucoup de blanc habillé d'une façon et ils étaient debout sans bouger et regardaient tous un point fixe, après que tous mes affaires soient à l'intérieur du Fort je décida de rentrer puisque Jacques lui était déjà à l'intérieur.
Pas joli du tout certes c'était grand,
spacieux mais terne aucune couleur, aucune décoration et obliger c'est ici que je vais vivre une bonne partie de ma vie que je sens, sera pas belle à voir mais mon père m'a appris que la vie est faite ainsi il y a de bon ainsi que des mauvais moments, la force on le retrouvera dans la prière et aussi dans le cœur.Jacques: Suis ce domestique, elle te montrera ta chambre.
Moi: Oui Monseigneur.
Je sais que c'est court mais en ces moments la fatigue me consomme à petite cuillère et je suis un peu malade désolé et merci pour votre compréhension😇😇😇🙏🙏🙏
Allez bisous et bonne lecture!!!!!!

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Esclave amoureuse
RomanceC'est une histoire qui se déroule en Haïti dans les années 1779 à 1856, grâce aux sacrifices de son père Catherine n'eut pas la vie qu'elle aurait du avoir mais elle n'en profita pas pourtant à cause la vie que menait ses semblables "les esclaves"...