S'essayer soi même

Le bonheur, texte n°1

Je me souviens quand j'étais encore petite je définissais le bonheur comme n'importe quel enfant: jouer, rigoler, être avec mes amis, manger du chocolat, être avec mes parents... Tous les parents le disaient, j'étais l'enfant la plus joyeuse de ma petite école. Je souriais sans cesse, disait bonjour à tout les passants, courait dans les champs de blé l'été, jouais avec les animaux. J'avais la joie de vivre. Aujourd'hui lorsque je recroise ces personnes qui m'ont vu grandir, elles me demandent toutes ce qui s'est passé, pourquoi je ne souris plus avec la pureté d'autre fois, pourquoi je ne saute plus, ne danse plus, ne chante plus, ne cours plus. Tout ce que j'arrive à leur répondre c'est que j'ai grandit, j'ai mûris, je me responsabilise.

Soyons francs, pensez vous vraiment que grandir c'est perdre tout les petits bonheurs passés? Les petits bonheurs simples que l'homme cherche désespérément d'atteindre entièrement. Pourquoi les enfants sont ils les plus heureux ? Tout simplement car ils ne se soucient pas du monde à leur âge, de la politique ou même de l'écologie. Tout ce qui les intéressent à leur âge c'est leurs jouets et les copains. Les enfants sont l'exemple simple d'une vie heureuse: pas de soucis et profiter de la vie. Ils profitent des plaisirs simples de la vie. Donnez leur une glace par exemple ou même une fraise, ils seront heureux. Lancez leur un ballon ils vont courir après dans l'espoir de le rattraper en premier. Encore mieux, proposez un tour de vélo ils vont accourir de toutes leurs forces. Ce sont des actions banales mais qui nous procure un si grand bien.

Tous ces adultes n'ont pas une vie malheureuse, ils ne regardent simplement pas au bon endroit pour trouver le bonheur. Dans chaque situation de la vie on peut tirer profit des bonnes choses si on s'est regarder de l'avant et rester optimiste.