nouvelle demeure,
comment prendre ses repères,
dans ses pièces immenses qui me sont encore poussières,
j'ai du mal à réaliser que c'est la réalité,
de donner une suite à mon histoire dans une autre maison,
faut que je me sente chez moi sinon je vais me sentir isolé,
j'ai voulu déménager pour pouvoir obtenir plus de libertés,
mais ce sont à cause de mes caprices que mes souhaits se retournent contre ma personne.
est ce que c'est en cédant à la privation des plaisirs que je vais enfin me perdre ou est-ce que je vais retrouver enfin le sens qui m'échappait depuis tant de funestes moments,
tu sais perdre tout ce que j'avais en moins de quelques heures m'a quand même détruit.
et résultat je suis contraint de penser,
que ces 2 relations ne sont plus que du passé,
comment vouloir s'expliquer avec des personnes qui sont dans l'incapacité d'apercevoir ces maladies qui me traîne et qui viendront hurler leur douleur et dire que j'étais un putain de mec bien.
la vérité est bien plus hypocrite, arrête de mélanger, alexandre tu n'es qu'un putain d'égocentrique, antipathique qui se retrouve dans l'impossibilité de ressentir une simple empathie pour le plus pauvre des malheureux,
je me demande si ce n'est qu'une illusion de mon âme que les gens peuvent apprécier. en vérité je suis honnête qu'avec ma plume car presque personne est au courant de ce futur texte.
pourquoi s'efforcer à aimer quelqu'un quand on ne peut pas se rendre notre propre amour,
pourquoi avoir été aussi crédule sur l'identité d'un jeune impulsif en quête de créativité qui ne cesse d'impressionner les salles par ces opinons à contre courant et son vocabulaire tellement vaste et élargi. cette facilité me rattrape au fil des années et on se demande pourquoi je me sens de plus en plus mal mais c'est parce que les gens autour de moi valorisent les illettrés en soif de reconnaissance qui essayent désespérément de sortir de leurs contextes sociaux pour se fabriquer une nouvelle identité au sein d'une communauté qui s'est mieux intégrée à la société dans laquelle nous vivons.
arg, je ne peux pas croire ça si c'est ce manque d'idéalisation que se font les jeunes d'aujourd'hui avec un sujet comme faut-il dénoncer l'apologie de ceux qui perturbent le système? ces lettres déposés au pas des portes où ces bambins étaient terrifiés de déclarer leurs flammes à leurs bien aimées qui se cultivaient à la bibliothèque du collège, toujours souriantes et prônant la propreté, la sagesse et la politesse.
today, j'analyse toujours cette figure vraiment typique de la femme qui vit dans un milieu relativement confortable et qui cherche continuellement les frissons passant par ce sexe stéréotypé et l'apologie de toutes ces drogues et alcools. c'est vraiment barbant de voir qu'une de ces deux filles que je considérais comme étant une des filles les plus importantes se comporte aujourd'hui comme juste quelqu'un qui a lâché son meilleur ami pour un garçon qui veut juste tirer du bénéfice d'elle, alors oui on dira que mes antécédents diront que je ne suis pas en posture de parler de cela mais les sentiments modernes sont éphémères et non pas perpétuels.
et puis une autre traumatisée par des banalités vraiment exubérantes et ne pas passer à autres choses relèvent une sacrée dose de moments qui deviennent presque obsessionnels, mais alexandre pourquoi tu t'exprimes sur wattpad?
le seul endroit où je me sens bien, dans mes tripes chaque jours me pétrifient au fond de ma couette, toujours avoir cette putain de bonne humeur que les gens raffolent avant de se lasser de toi, tu sais ce sont ces moment où on se dit que tout va s'écrouler et que le monde est contre nous patati patata.
putain soyez plus fort que ça si j'écris ce texte c'est bêtement parce que j'ai aussi des fragilités, je ne peux pas tout contrôler, surtout que je ne veux pas appartenir à ce genre de personnes qui s'amusent à balancer tous leurs problèmes dans leur minable vie, ça me rend vraiment fou et c'est pour cela que je préfère m'exprimer à l'écrit, et dire que j'ai parlé de ce qui me rongeais le moins, je sais pas si un jour j'aurai la force de pouvoir raconter tout ce qui m'horrifie jusqu'à vouloir penser à une fenêtre ouverte.
