Désolé...

Je ne sais pas par ou commencer. Parceque en vrai à quoi sa me sers de t'écrire cette lettre ? Je m'en veut. Je m'en veut de t'avoir lacher. Je revois encore ton doux sourire. J'entend encore ton rire... ton si joli rire qui dans ma tête résone encore et encore. Tu es morte. Morte à cause de moi. Morte à cause de nous. Tu étais différente des autres. Différente ? En vrai non. Tu étais normal. Tu avais comme nous deux yeux, deux bras, deux jambes, un cerveau...Et pourtant tu entendait à longeur de journée des insultes, des gens qui te disaient que tu était juste une sale lesbienne. Nous t'avons tuer petit à petit. Depuis le jour ou tout le monde ta vu à la sortie du lycée, toi et cette fille en train de vous embrassez. Rien de mal. Pourtant c'est la que tout à commencer. Le lendemain sur ton casier été ecrit en rouge vif  " GROSSE LESBIENNE". Tu n'a rien dit. Je n'ai rien dit. J'étais pourtant ton amie , mais quelque chose entre nous avez changer. Je me senstais mal à l'aise avec toi. J'ai donc suivi le mouvement. Suivi les autres, sans savoir que cela été grave. Tu as cherché mon regard, en classe quand personne ne te choisissais pour se mettre par groupe, à la cantine, quand tout le monde te jeter de la table ou tu voulais t'assoir, où dans le bus ou tu n'avais nul part ou t'installer. J'ai été bête, je n'ai rien fait parceque j'ai eu peur. Je pensais que c'était rien, que cela aller passer. Après tous nous n'avions que 16 ans. Des histoires de gamins. Des histoires qui passent, des petites insultes, rien de bien mechant. Seulement sa à continuer après 6 mois. Ils voyaient bien que tu t'en foutais, que cela ne t'atteingnait pas. Tu étais bien trop forte. Je n'aurais pas eu cette force moi. Je le sais. Tu n'as prevenu personne. Ni tes parents, ni le CPE, ni les professeurs... Tu étais seule, et ta petite amie t'avais lacher parceque elle en avait marre d'être insulter avec toi. Elle ta laché elle aussi. Tu n'étais pas différente. Je t'assure. Tu aimer les filles ? Et alors ? Tu étais comme nous tous... Puis c'est arrivé... Après une séance de sport on à toutes étaient aux vestiaires. Tu es entrée et les filles ont commencer à hurler. Je dois t'avouer que j'ai cacher ma poitrine, je penser que tu était comme les mecs du coup. J'ai été encore une fois entrainée et j'ai hurler comme les filles. Tu n'a pas compris, tu es donc restée, et la deux filles se sont jétés sur toi. L'une te frapper la tête, l'autre te donner des coup de pieds dans le ventre. Puis trois autres ont suivi , elles te tiraient les cheveux, te griffer... Du sang sortait de ta bouche et tu pleurer. C'est la première fois que je te voyai pleurer depuis le début de l'année, depuis le debut de l'enfer que tu vivais... Je regarder ce qui se passer devant moi mais je n'ai rien dit, rien fait. J'ai regarder ce qui se passer et je n'ai pas bouger. Les filles ont arrêter et elles sont sorti. Tu avais du sang qui coulaient sur ton visage, des plaies près des yeux, des bleus recouvraient ton ventre, tu ne pleurait plus. Puis tu as tourné la tête vers moi. Nous n'étions plus que deux. Tu m'a regarder dans les yeux et tu as dit " pourquoi"... Je suis sorti des vestiaires, te laissant seul allongé sur le sol froid. Je suis rentrée chez moi ce soir la, je n'ai pas manger, je me suis repasser la scène en boucle. J'ai revu ton air désespéré, et je n'ai rien fait...Le lendemain lorsque je me suis assise dans le bus tu n'etais pas la, j'ai cherché autour de moi dans la cour, mais je ne t'ai pas trouvé. Je me suis assise à ma pace en cours mais la place que tu occupée était vide. Puis le principal est arrivé. Il à commencer à parler de choses que  je ne comprenais pas, puis il nous à appris que nous te reverrions plus. Il s'est repris et nous à annocer que tu étais décédé. Personne n'a réagis. Il y a eu quelque chuchottement, puis des regards, des regard effrayés. Je n'ai pas compris tout de suite. Tu t'étais suicidé... Toi. Toi qui étais si forte, si jolie...tu étais parti. A cause de nous, à cause de moi... Désolé...