Première lettre

41 4 1
                                    

À toi qui lit cette lettre,
Voici 42 jours que je suis partie de nôtre comète. 42 jours que je suis sur Terre. Je ne me lasse pas d'étudier ces bipèdes sexuer que sont les Hommes.
Je sais que tu t'en doutes, si je t'écris c'est pour une raison bien particulière.
Installe toi confortablement sur l'atmosphère de nôtre comète. C'est bon, tu es prêt ?
Voici maintenant 3657 secondes que j'ai versé ma première larme. Elle a coulée le long de mes joues jusqu'à mes lèvres. Son goût salé reste comme un souvenir amer.

Ma première larme a été pour l'injustice.

Comme je te l'avais dit dans ma précédente lettre, j'observe les humains dans une maison des émotions. Sur Terre ils appellent sa une "Clinique". Dedant il y a plein de bipèdes, ils souffrent tous d'un mal inconnue pour nous: le mal être.
Ils souffrent de vivre, alors ils ont développé des stratégies pour rendre ce monde inviable, viable.

 Certains boivent pour oublier. D'autre ce drogue pour, le temps d'un instant échapper à la réalité.
Ils y en a qui arrêtent de manger pour ce faire le plus petit possible, jusqu'à disparaître.
Ils y a ceux que ce mutilent. Et ceux qui ne vivent avec qu'un seul désire : mourir.

Je sais que c'est dure pour toi d'imaginer cela. Chez nous nous n'avons pas de raison de souffrir autand.
Mais ne t'inquiète pas, la majorité des Hommes ne souffrent pas de ce mal.
Certains humains ont juste une sensibilité différente, une sorte de super pouvoir ; si ils apprennent à l'utiliser correctement.

Il y a de cela quelques jours j'ai rencontré une jeune femme qui venait d'arriver dans cette maison. Un des humains en chemise blanche m'avait demander de faire le tour des pièces pour vérifier que tout les patients étais la avant de fermer les portes pour la nuit.
Tout le monde étais la. Sauf une, la nouvelle.
Il ne restait qu'un seul endroit ou je n'étais pas rentré, la salle de bain.

La porte étais fermer à clé. Je toquais trois fois. Rien. A l'aide de mon passe j'ouvrit la porte.

Dans la baignoire remplie d'eau se mélangeait du sang. Le corps de margaux gisait, inanimé.

Tout c'est enchaîné. Les secours sont arrivé, l'ont intuber et son partit sirène hurlante.
Le sang coulais inexorablement sur le sol immaculé de l'ambulance. Gouttes après gouttes. Lentement. Mais bien trop rapidement pour ce petit corps si frêle.
Elle respirait.

Je n'ai pas eu de nouvelle durant un temps qui m'a paru infinie. Jusqu'au jour ou on m'annonça que Margaux était morte suite a ces scarifications. Elle c'étais suicider.

À cette instant je compris l'ampleur de son désespoir, et la souffrance qui animai tout les patients.

J'en serais mort si dans mon champs infinie de tristesse ne c'étais pas mit a poussé la graine de la colère. Plus forte que tout elle à rapidement prit la moitié du champ.
Du mélange de ces graines est apparue le sentiment d'injustice. Comment une jeune femme pouvait-elle mettre fin à sa vie ?! De quelle droit un désespoir aussi profond touchait-il une personne ?!

C'est alors que c'est mit à coulé ma première larme.

Elle est venue arroser mon champs d'injustice.
Alors ce sont mit à pousser de nouvelles graines ce mélangeant au anciennes.
Elles s'appelaient, Empathie, Respect, Solidarité, Compréhension, et ma préféré, la petite dernière....Amour.

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Oct 12, 2018 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

L'étranger sentimentale Où les histoires vivent. Découvrez maintenant