Cette amie obscure clarté
La douceur de ses courbes
Mon amour pour désirer
Mais une retenu bien lourdeSon corps était à porté de main
Pourtant je ne pouvais l'atteindre
Perdu dans mon imaginaire
Je voyais son corps inerteJe me retrouvais alors à caresser
Cette douceur comme la brise de l'été
De ses courbes parfaitement dessinées
Mais je désirais plus que ce simple touchéJ'enlevais un à un chacun de ses habits
Avec un peu plus chaque fois cette envie,
Comme une vive infantile gourmandise,
De découvrir un peu plus son corps embelliQuel plaisir pour un humain
De se retrouver face au destin
A savoir un corps dénudé
Une source d'inspiration innéeSeulement voilà le rêve avait pris le dessus
Sur un sursaut je me réveillais déçu
Elle était toujours aussi prêt mais prête
J'étais toujours aussi loin mais en vain...