Chapitre 4

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Peut-être que je les voyaient sans me rendre compte qu'ils étaient mort. Oui mais pourquoi je n'ai pas vue mon grand-père après sa mort. Il n'y avait sans doute rien qui l'empêchait de partir. Mais partir où? Et mon père pourquoi n'a-t-il pas ce don? Et si quelqu'un me voyais parler avec les mort il me prendrais pour une folle une schizophréne.
Mon père était partit.
Mais lui qu'est-ce qui le retiens? Je ne comprends pas. Houla zen Mégane respire arrête avec toutes ces questions.
Je suis de nouveau seule dans ma chambre. Toujours branchée, toujours mal au crâne j'aimerais bien me voir. Est-ce que j'ai changeais? Est-ce que l'accident à laisser des marques? Et pourquoi est-ce que j'ai oubliée ma vie?
Seule dans ma chambre j'écoute le tic-tac de la montre. Le temps passe lentement comme au ralentit il est 11h. Toujours pas de frère en vue. Pas de visite je penses que l'infirmière ne les laisseraient pas rentrer de toutes manière. D'ailleurs Sévrine rentre et m'annonce qu'elle va débrancher la poche de nutriments et d'antidouleurs.
Attendez j'étais sous antidouleurs me dis-je en moi même. Ça c'est très mauvais très très mauvais. Ça explique le mal de crâne en faite je suis drogué.

" Tu vas pouvoir recommencer à manger seule et nous te donneront des antidouleurs si c'est vraiment insupportable et que tu sens que tu ne tiendra pas. Déclara-t-elle"

Elle débrancha également l'électrocardiogrammes dont les capteur étaient placer sur ma poitrine. Elle retira l'aiguille de mon bras, la qu'elle me donnée nutriments et médicaments.

"L'effet de l'antidouleur se dispersera d'ici 2 a 3 heures. Dit-elle

- Sévrine.

-Oui ?

-Est-ce que je pourrais me voir?"

Ma question n'avait pas l'air de la surprendre. Au contraire elle se leva et alla dans ce que je penses être une salle de bain. Puis elle revient un petit miroir à la main. Un miroir basique le cadre en plastique blanc rectangle. Elle me tandis le miroir. Je le pris et la... Je me redécouvrais. Toujours petite et frêle. Mes cheveux bond coupés dégradés jusqu'aux épaules. Ils ont nettement poussés. Puis je m'atarde sur mes lèvres d'une pâleur. Pâleur de maladie. Mes oreilles sont percées je n'en ai pas souvenir. Deux trous au niveau du lob sur l'oreille gauche et un trou au même niveau du côté droit et un piercing dans le cartilage. Le premier trou de chaque côté je me souviens j'avais 7 ans. Je voulais le faire mais j'avais peur. Alors pour me rassurer mon frère avait fait un trou sur l'oreille droite avant moi. C'était tellement touchant et maintenant plus rien. La tristesse m'en serra le cœur. Les deux autres je ne sais pas. J'étais affreusement pâle. Moi d'habitude qui est le teint un peu  halé. Là il était d'une couleur que je ne lui reconnaissait pas. De légère marque comme des griffures par endroits striées mon visage. Comme on me l'avait dit le pare brise avait explosé ses marques sont donc née de cet accident dont je n'ai aucun souvenir. Je m'étais assez regardée alors je rendis donc le miroir à Sévrine.

"Quand pourrais-je me levais de nouveau?

-Je demanderais au médecin s'il t'y autorise mais d'abord il va devoir t'ausculter."

20 minutes s'écoulèrent et un jeune homme entra. Je penses que c'est un médecin. Et effectivement il me dit qu'il va m'ausculter. Je me laisse faire j'ai vraiment envie de me lever. Je m'ennuie vraiment dans ce lit a rien faire. À écouter le tic-tac de la montre.

À la fin le médecin lève la tête et me dit que nous allons faire une radio pour observer la réparation de mes côtes casser.

"Alors je peux me lever ?

-Non tu te lèvera juste une fois arrivé à la salle. Nous t'emmènerons dans ton lit jusqu'à la salle. On ne peux pas prendre de risque inutilement."

J'étais dépitée et à la fois heureuse car j'allais me lever mais seulement pour quelque minutes.

Arrivée devant la salle c'était le moment de se lever je me suis tournée sur mon lit puis assise. Le médecin s'est mis à mon côté. J'ai pousser sur mes mains pour glisser sur le sol. Mais pieds sont devenue gelée au contacte du carrelage. Et j'ai d'abord avancé mon pied droit pour le reposer puis le gauche et au fur et a mesure je retrouvais mon équilibre. Il à ouvert la porte. Nous sommes entraient dans le vestibule ou l'on ôte les vêtements comportant du fer car c'est dangereux fasse au rayon X. Je le sais car j'ai déjà fais des radios. Mais la pas besoin de s'arrêter car je suis nue sous ces grandes chemises d'hôpitaux. Elles sont fait pour. Mais je trouves ça quand même assez gênant malgré le fait que eux sont habituer et ça ne les dérange pas le moins du monde. Alors on passe dans la pièce suivante la où la grosse machine va m'envoyer ses rayons pour scruter mon corps. Le médecin me tiens toujours par précaution je suppose car j'ai retrouvée mon équilibre ou presque. Un grand écran blanc devant lequel se trouve une machine qui bouge son dans la pièce et sur le côté des ordinateurs et une sorte de vitre pour les protéger les rayons néfaste auxquels je vais être exposé. Une dame se tient derrière. Elle est grande, fine. Elle est rousse et à une multitude de tâche de rousseur sur le visage le cou les mains et les bras. Elle me souris et de légère fossettes se dessinent alors je lui réponds faisant de même et lui sort un de mes plus beau sourire. Elle à des lèvres fine, les dents biens alignée et les yeux noisette. Elle devrait faire mannequin. Elle me dit de me placer devant l'écran blanc. Elle règle la machine à la bonne hauteur et la machine commence à m'envoyer ses ondes qui me transperce sans aucune douleur. Puis je ressort de la pièce avec le docteur et retourne sur mon lit comme il m'y incite. Je retourne dans ma chambre. Et attends les résultats de ma radio. Le médecin vient me faire d'autre teste au niveau des jambes regarder si je pourrais marche un peu sans trop de risque. Mais jambes sont toute amaigrie et faible.

"Comment vous vous appelez ? La question est sortis toute seule de ma bouche.

-Jeune fille je m'appelle Phillips dit l'homme au cheveux noir en relevant la tête.

-Et comment s'appelle la dame qui m'a fait ma radio? A sa mention son visage s'est éveillé et un léger sourire est apparue sur ses lèvres.

-Elle s'appelle Constance.
La je sentais un truc entre eux est-ce qu'il a souris car la question l'amusait ou parce qu'il y a plus profonds de cacher.

-Et bien Constance devrais devenir mannequin elle est bien trop belle. Il souris et rigole gentiment.

-Je ne penses pas que c'est ce qu'elle veuille.

-Quand saurais-je si je peux aller gambader?

-Tu le sauras demain mais a mon humble avis tu devrais s'abstenir de courir dit-il avec un sourire railleur. Si seulement tous les médecins était sympa comme lui. Je lui réponds d'un sourire et capitule."

Il sortis et je regarda l'heure 12h30. Ils faudrait qu'ils pensent à m'amener de la nourriture. Je meurs de faim. C'est là que Gaspard rentre toujours aussi craquant et Sévrine le suis avec mon plateau repas. Bon potage poisson pané avec des haricots fromage pain et compote. Comme si je pouvais engloutir tout ça. Mais je repensés plus que une heure et demi avant que l'anti douleur de fasse plus effet. Gaspard s'installe et je commence à manger. Là une femme rentre. Elle n'ai pas normal. Je ne la connais pas. Elle à le cou violacé et elle est toute pâle la mine déconfite elle marche dans ma chambre.

"Mais que faites vous là ?....

***
Coucou à vous ceux qui attendent la suite. Je sais que ça fait au moins un mois mais j'attendais vraiment des réponses de votre par que je n'ai pas eux donc je l'ai écrit comme je le sentais quand je pouvais et que j'étais inspiré. Celui- ci est un peu plus long que les autres j'espère qu'il vous plaira. J'attends vos retours.

Bise
Mystigrie

Ma vie cette étrangère...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant