criminel a 13 ans

chapitre 4

20 ans plus tard

Je suis toujours Mathias Coussano et j'ai maintenant 33 ans mais ma vie ne se résume plus à mon nom et mon âge, je suis beaucoup plus que cela maintenant ! Par ou devrais-je commencer ? Je suis mafieux, oui. Sans pitié ? Oui. Crains de tous ? Oh oui ! Jusqu'a presque mon père adoptif, Alban. Maître du jeu, Maître de toute mafia d'Europe. C'est lui que tout le monde respecte. Je suis toute fois aussi connu que lui ! Mais.... Plus puissant ! On dit que les jours du vieil Alban sont compté... Bien que cela m'attriste au plus au point car après c'est lui qui m'a aidé à me relever, je suis tout de même assez content de pouvoir récupérer l'empire qu'il a créé. Je réfléchissais à mon futur empire quand on toqua à la porte de ma chambre. Trois coup sec que je reconnais entre mille :
La femme que j'aime.
-Entre ma belle Jane, ne sais-tu pas que cette chambre est à toi ?
Elle ouvrit doucement laissant apparaître son doux visage. Des cheveux brun de soie, de long cils qui surplombait ses prunelles bleu ciel et des courbes... Divines ! Sur lesquels j'ai pu ( plus d'une fois !) Passer mes mains expertes.
-Bonjour ohh bel homme de mes rêves ! Dit-elle ironiquement.
Je souris à cette remarque et demande
-que veux-tu ma belle ?
Elle s'asseya sur mon lit. Ce qui annonce une nouvelle assez lourde... Pourtant elle semblait rayonner de joie, et si c'était ce que je pense... J'aimerai tant...
-Je suis... Enceinte ! Annonça-t-elle en sautant de joie je me releva de stupeur, enceinte !? C'est impossible !? OUI !!!!  JE VAIS ETRE PAPA !!!Jane me sauta dans les bras et m'embrassa amoureusement, ce baiser si doux me poussa à la mettre dans mon lit mais on nous stoppa dans notre ardeur par un toquement... Je lâcha à contre cœur ma belle et parti ouvrir. C'était Sonia, elle était toujours aussi belle, malgré la vieillesse qui ridait son visage.
-Que ce passe-t-il ? Lui demandais-je à la vue de son regard emplie de tristesse.
Elle leva son regard embrumi de larme et murmura
-Alban n'a plus que quelques jours à vivre...
J'equarquilla les yeux à cette nouvelle, mes yeux s'embrumère de larme et mes jambes perdirent leur force et me laissèrent tomber à la renverse... Il etait malade depuis plusieurs années d'un cancer de la peaux... Malgré les nombreux traitement on savait déjà que notre père allait mourir, mais malgré tout ça, c'était mon père, seul homme qui m'a tendu la main pendant une noir, très noir période de mon existence... Un homme qui m'a donné son temps, son amour, et une énorme place dans sa vie pour moi... Et malgré le fait qu'il me lègue un grand héritage, je ne veux pas qu'il parte... Pas maintenant...
Alors que je me sentait pleurer comme jamais je ne l'ai fais, la femme que j'aime vint à moi et me caressa doucement les cheveux et me murmura des mots doux pour me rassurer... Quand je senti que mes larmes se calmèrent, je me releva avec difficultés et dis à Sonia
-Je vais le voir...
Je la poussa doucement pour avancer mais ça main attrapa ma manche je me retourna et lui demanda sèchement :
- Quoi !?
- Il se repose pour l'instant, laisse le Mathias...
Je baissa la tête pour réfléchir, malgré la confusion dû au trop plein de cocaïne dans mon sang sûrement... J'arriva quand même à tirer une conclusion, je dois le laisser pour l'instant... Peut être tout à l'heure ? Je verrai... Je fis "oui" de la tête avant de retourner dans ma chambre pour me coucher dans mon lit. Je ferma les yeux mais resta éveillé. J'entendis que Sonia était parti et que Jane était resté pour s'assoir dans mon lit et me caresser doucement les cheveux en me chuchotant des mots doux...
Je me réveilla en sursaut, Jane était partie chez elle sans doute. Je sorti de ma chambre, il n'y avait rien dans le couloirs, aucune servante, aucun servant, rien. Je pris l'ascenseur et descendis dans les appartements d'Alban. Je rentra dans sa chambre doucement et l'aperçu qui dormait paisiblement, il semblait déjà... Presque mort... "Comme sourirait un enfant malade.". Le dormeur du val de Arthur Rimbaud... Eh bien là description du soldat renvoie parfaitement à Alban, sauf le point rouge du côté droit. Il commença à doucement ce réveiller, quand il me vit, il fit un petit sourire... Un sourire malade, qui donne froid dans le dos...
-Que fais tu ici Mathias ? Me demanda-t-il en chuchotant
-Je viens te voir... Papa... Je murmura ce dernier mot comme un mot interdit. Il sourit pourtant à ceci et posa ça main froissé par l'âge sur mon visage.
-Tu le sais Mathias, je vais bientôt mourir... Mais j'aimerai que tu me fasses une faveur...
- Qu'es que c'est ?...
-Tue moi... Je ne veux pas être rongé par la maladie comme mon père...
Je resta abasourdie à cette demande, mon "père" me demande de le tuer !?
-je... Je ne peux pas Alban !
-Si tu peux... Te souviens-tu du nombre de personnes que tu as tué si froidement ?
-Non... Je ne m'en souviens pas...
-Eh bien dis-toi que je suis une de ces personnes...
-Mais c'est impossible ! M'ecriais-je, je ne peux pas !
Il murmura juste "fais le" et il me donna son fusil, il était magnifique, en argent avec le manche en bois sculpté. Je le visa et enleva la protection. Je rabaissa l'arme... Je ne pouvais pas le tuer ! ( NDA : rappelez-vous dans le chapitre dernier ( ou celui ci x)) il disait qu'Alban était comme son père ) Je le regarda dans les yeux et dis
-Je ne peux vraiment pas...
- Fais le Mathias... Ce n'est pas par pur égoïsme que je fais ça... C'est pour ne pas que toi, Sonia, et toute les personnes me portant dans leur cœur ne souffres !
Je versa une larme... Puis deux... Pour je ne les comptais plus... J'enleva de nouveau la protection et visa mon père de substitution et tira... En plein dans sa poitrine, son cœur pour être plus précis... Je m'ecroula alors devant son cadavre... Je suis... Un monstre !

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Voilà voilà ^^ ce 4eme chapitre m'a beaucoup inspiré ^^ j'ai fais un 1035 mots ce qui n'est pas à mon habitude, au prochain chapitre je reviendrai à un plus court ^^. Sur ce, bonne continuation à vous et... À plus taaaaaaaaaaard ! 😘😝