1er chapitre : début de lycée

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"- À ce soir maman je rentrerai un peu tard, je vais passer à la bibliothèque.

- Dès le premier jour ? Annonce-t-elle d'un ère surpis

- Oui t'inquiète pas je n'en aurai pas pour longtemps." Lui disais-je en balbutiant

"- À ce soir

-Bisous "

Je partais en direction du lycée à pieds quand soudain je croisa une connaissance que je n'appréciais que quand celui-ci n'étais ajun. On s'est salué puis chacun repris sa route.
Quand j'arrivais dans ce nouveau lycée, je m'avance vers le tableau de désignation de classe, quand je distingue mon nom des autres je m'aperçois que je suis tombé dans la classe de David, David spark, on s'est jamais vraiment apprécier. À peine franchi la limite de la porte que j'entends :

"- Cheveux noir ténébreux, corps amaigri supportant la tête d'un colosse, bras similaires à une rallonge électrique, des jambes de la même taille qu'un chêne ancien, habillé tout en noir comme un voleur, c'est forcément toi, Will Berg !"

Malgré cette description grotesque, en effet c'est bien moi.

"- Ah, c'est toi, Spark , triste de savoir que tu fais encore parti de ce monde. "

Oui malgré mon gabarit le sarcasme étais mon meilleur ami

"- Je vois que t'es enchanté de me voir will ."

Ensuite l'enseignante d'histoire qui était notre professeur principal, fais l'appel, après quelques mises au point, puis entama le cours sans ne plus tarder.

"-WILL,WILL, WILL lâche-le je t'en supplie lâche-le !!" Me dit-elle en me tirant le bras d'un ère acharné et désespéré.

"-ORDURE TU VAS CREVER ENFOIRÉ." Lui dis-je en le frappant, à sang, il ne bougeait presque plus, harassé il se laissa s'écrouler sous le poids de mes coups. Quand soudain j'entends

"-MR WILL BERG" me hurle l'enseignante d'histoire en frappant à grands coup sur ma table pour me réveiller.

"-Oui madame veuillez m'excuser de m'être assoupi " lui dis-je d'un ton ensommeillé.

"- Jeune homme ce n'est pas un comportement à adopter en classe je vous signale que......"

Je faisais que hocher la tête de haut en bas pour faire mine que je lui prêté attention, sans pour autant comprendre un seul mot de ce qu'elle me balançait. Au moment où la cloche retentit, je me lève et m'oriente vers la cantine

-"Il est déjà l'heure du déjeuner ? Combien de temps ai-je dormi ?

Arriver à la cafétéria je vois directement les divers classes sociales, sur la plus grandes tables, les populaires, ensuite les classes moyennes, les gothiques, les no-classe c'est à dire moi et puis la sous-classe, je les hais tous autant qu'ils soient, ils sont tous là à se noyer dans la médiocrité simplet de leurs entourages, je ne suis rien de tous ça mais je me hais aussi.

Une fois assis, en train de manger en écoutant de la musique à plus de 2000 décibels que j'aperçois quelqu'un qui vient s'environner près de ma table, à le voir, je pense qu'il doit être comme moi mais en plus coincé. À peine qu'il dépose son plateau..

"- DÉGAGE ! je ne veux pas de toi ici " m'exclamai-je d'un ton glacé en frappant du poing sur la table

"- Sa-sa-salut.. excuse m-moi je m'appelle har-ry et je ne s-sais pas...

"- J'en ai strictement rien à cogner de comment tu t'appelles je veux que tu dégage et dépêche toi avant que je t'aide.

"C'était peut-être un peu excessif, mais je n'ai fais que lui rendre service car on peut compter que sur soi-même et lui il ressemble à un nouveau né, après j'aurai pu faire un effort il est dans ma classe il aurait peut être pu me servir"

Les cours de l'après midi fut fatigant, banal, long et interminable. En arrivant à la bibliothèque il n'y avait aucune place où il n'y avait personne, il y avais une seule table où il y avait une seule fille, je n'avais donc pas le choix (ironie du sort si vous voyez ce que je veux dire) je m'approche et demande :

"- Salut miss, excuse moi je peux m'asseoir s'il te... ?" Lui dis-je d'un ton suspicieux.

"-Non je préfère être seule merci, regarde il y a une place libre la bas près de ces 4 lycéens" me suggère-t-elle en me coupant la parole

"- Super, si il y a une place tu peux y aller " lui dis-je en forçant un sourire d'un ère arrogant et hypocrite tout en m'asseyant.

"- Non mais regarde la, elle se prends pour qui cette petite conne, bon n'empêche qu'elle est grave mignonne, hein mais je raconte quoi moi ? Elle est arrogante, enfin moi aussi, bon cette fille est une source à problèmes on s'est juste embrouillé et je sais même pas pourquoi j'y pense encore."

L'obscurité s'abat, c'est l'heure de rentrer, au moment où je me lève, la fille en face de moi en fait de même on se regarde et... :

"- T'as un problème à me fixer comme une bête curieuse ?

- Pff salut, t'es vraiment con !

-Tu me dis "salut" ? Que c'est mignon " lui dis-je d'un ton sarcastique

Puis elle s'en alla, et je contemplais son départ en lui fixant comme un brittany ferries s'éloignant au large.

En rentrant chez moi épuisé de ma journée, je prends ma douche et pars me coucher, par fatigue le sommeil ne tarde pas à m'assommer, la nuit s'avance le royaume impur de la nuit arrive, et les terreurs nocturnes commence..

Dur à oublié Où les histoires vivent. Découvrez maintenant