Reality Is A Prison

Une dernier lettre

Je doit écrire se que je ressent, juste écrire.

Je m'avance près de mon bureau il n'est pas loin de minuit ma mère n'est toujours pas rentrer, j'entends le délicat bruit de la pluie tapée contre les carreau et le vent souffler.

Il fait noir je n'est simplement allumer qu'une et unique bougie pour pouvoir écrire, je met mon téléphone a charger.

J'attache rapidement mes cheveux dans un chignon décoiffer avant de m'asseoir un stylo a la main.

"Par ou commencée, je n'est jamais étais très douer pour exprimer mes sentiments.

Qui que tu soit tu a entre tes mains les dernières mots d'une fille, ses dernière pensée, ses dernières vérité.

Si tu tien cette fameuse lettre c'est que je ne suis plus de ce monde, que j'ai finalement sauter dans le grand bain sans retours arrière possible, mais ne soit pas triste je vais bien, maintenant je ne ressent plus rien.

Tout d'abord a tous ce que j'ai aimer désoler, je suis tellement désoler je vais surement en faire souffrirent quelque un mais se n'est pas mon but.

Je veux juste me sentir libre ne plus être attacher à cette souffrance qui me suis nuit et jour depuis tant d'année a cette solitude que je me traîne, mon cœur me fait mal tellement mal et j'ai tout tenter mais je ne vois qu'une seul façon d'arrêter cette douleur...

J'ai eu envie de pleurer de crier d'hurler, d'appeler à l'aide de me mettre dans un coins et que l'on vienne me voir me consolée me rassurer mais à la place je ne faisait que sourire pour ne pas vous inquiéter.

J'ai fait mon choix un triste choix, peut être même le mauvais mais après toute ses année à me forcer a sourire devant la glace, ses année a pleurée seul dans l'obscurité de ma chambre cela ma sembler être mon unique porte de sortie.

J'espère que vous vivrais heureux sans moi, sans mes problèmes, je n'étais qu'un poid je m'en rend bien compte, je me suis toujours demander se que ça vous ferrais si je disparaissent après tout je ne suis pas irremplaçables, tellement de personne sont mille fois mieux que moi, je suis chiante, généralement de mauvaise humeur, je ne suis pas de bon conseille, tout pour plaire quoi.

J'espère que personne ne va pleurer pour moi je ne le mérite pas on me la dit tant de fois.

Vous ne comprenez peut être pas mes choix n'y se qui ma pousser a en arriver la, mais je ne suis pas la pour me faire juger j'écris juste pour me libérer de se fardeau qui m'encombre ou pour laisser une dernière trace  je ne sais pas trop.

A mes amies, hum se mots me fait rire des "amies", ses soirées que vous organiser sans moi, ses Semaines, ses mois sans que vous ne m'adresser la parole sans aucune raison, ses insulte déguiser en blague, ses rumeurs que vous rependre en mon nom et oui je s'avais que c'était vous mais je laisser bêtement passée... Je me disais t'inquiète aller soit forte tout va se régler il doit y avoir une explication. Des amies se mots me répugne au plus au point.

Je n'est pas croiser les bonne personne au bon moment, je n'est pas su parlée m'exprimer, je n'avais pas d'épaule sur lequel pleurer.

Je ne suis pas assez forte, je ne les jamais étais encore mille et une fois je m'excuse de ne pas avoir su régler mes problèmes pas moi même, mais la seul façon de trouvé ma libertés et de rejoindre les anges.

Maman tu a perdu ton marie l'année dernière a la même date et se soir tu perd ta petite fille ça doit être dure mais sache que je t'aime je savais que tu ne pourrais pas régler mes problèmes déjà que tu avais du mal avec les tien sans moi ta vie serra plus simple et puis déjà que tu ne faisait pas attention a moi a partir de cette instant je te libert de tes devoir de mère tu et libre je ne t'encombre plus, tu peut devenir qui tu veux.

Papa mon petit papounner je t'aime tellement, aujourd'hui et le jour de nos retrouvailles.

Ps : A toi qui a lu ses mots jusqu'à la fin, je te souhaite de vivre heureux et de ne jamais faire se que j'ai fait, je ne suis pas un exemple, seulement une jeune fille triste et perdu qui n'a pas su s'exprimée

A toi Merci d'avoir prie le temps de lire jusqu'à c'est dernière ligne."

Je pause mon stylo, délicatement je recule ma chaise pour me diriger vers mon téléphone qui charger pour lancer une musique la simple mélodie d'un violon accompagné d'un mélodieux piano.

Adieux a vous, je vais m'endormir sans ne jamais me réveiller.