lemons X lewis hamilton

one

Il était dans les environs de vingt-deux heures, en Angleterre, le pays d'Aby, elle trainait à côté du circuit de Silverstone. Elle adorait aller là-bas, vous savez, Aby, elle cherchait l'amour, mais elle aimait plus faire la fête et les coups d'un soir était devenu une habitude pour elle. Alors, dans les soirs de grande solitude, elle se promenait aux alentours de la piste. Oui, Aby pouvait, son père était le directeur du circuit, alors elle y entrait sans réellement de problème. La nuit était tombée sur Silverstone et sur toute l'Angleterre et elle savait qu'elle aurait un peu de répit au circuit, car il n'y avait que très rarement du monde. L'Anglaise s'asseyait dans les tribunes VIP, et regardait l'obscurité, sans réel but. Sa vie était morose, en ce moment. Elle continuait de regarder dans le vide quand un bruit de pas se fit entendre. Étrange, il n'y avait jamais personne et s'il y en avait, son père l'a prévenait toujours.

- Y'a quelqu'un ? cria t-elle.

- Ouais. ajouta une voix inconnu.

L'homme inconnu se dirigea à côté de la jeune femme, et elle se recula, automatiquement.

- Je suis Lewis, Lewis Hamilton. Qu'est-ce que tu fais ici ?

- Je traîne, mon père est le directeur du circuit. J'suis Aby.

- Mhh. Ok.

Aby se tourna vers son interlocuteur, et essayait de le distinguer dans le noir, mais bien sûr qu'elle le connaissais. C'était le pilote de Formule Un. Elle le dévisagea, prenant le temps de détailler son visage. Il apportait la confiance. Son minois était loin d'être déplaisant. Il avait la peau matte et de beaux yeux foncés, ses cheveux bouclés un peu en pagaille le rendait incroyablement sexy. Mais la chose qui interpella le plus Aby, c'était ses lèvres. Elles avaient l'air si douces, elle avait envie de les goûter. Elle se mordilla se lèvre inférieure, comment avait-elle pu penser ça automatiquement. Elle avait envie de croquer cet homme. Mais elle ne pouvait pas, alors pour ne pas se donner d'autant plus envie, elle décida de partir.

- Je rentre chez moi, au revoir Lewis.

- Attends ! Je te raccompagne, tu dois habiter loin, j'ai ma voiture.

- Merci.

Elle accepta sans faire de chichis, c'est vrai que sa maison n'était pas tout près et que c'était vraiment mieux de se faire raccompagner par un mec super sexy. Elle monta en temps que passager dans la Mercedes du pilote, à peine installée, Lewis entra à son tour dans la sportive. Il posa la clé et alluma la voiture. Il s'arrêta net dans son geste.

- Y'a quoi ? demanda Aby.

- Y'a ça.

Il se mit à sauter sur les lèvres d'Aby, elle fut d'abord surprise, mais son baiser était tellement incroyable.

- Je suis désolé.

- Ramène-moi maintenant.

Ce que Lewis ne savait pas, c'est que dans la maison d'Aby, il y avait une atmosphère, une tension, ce qu'il ne savait pas c'est qu'elle attendait pour lui rendre la pareille. Il se gara là ou le gps indiquait.

- J'ai peur du noir, tu peux m'accompagner ? elle trouva l'excuse la plus pétée mais elle marcha.

Ils avancèrent tout les deux dans le noir complet, un moment, Aby s'arrêta et Lewis se retourna vers elle. Elle captura ses lèvres et demanda accès à sa bouche, ce qu'il accepta sans trop discuter, ses mains commençaient à passer sous son t-shirt pour caresser ses abdominaux bien formés.

- Suis-moi. dit Aby.

Elle l'emmenna derrière la maison, où se trouvait une piscine et la baie vitrée, ils entrèrent par cette dernière et l'anglaise se retrouva directement contre le mur. Elle repassa ses mains sous son t-shirt pendant qu'il continuait à l'embrasser. Il enleva sa jupe et son chemisier, puis son soutient gorge de la main la plus experte. Elle n'avait plus que sa culotte. Les bisous mouillés de Lewis descendirent jusqu'à son cou. Il le mordilla afin d'y laisser une trace violette. Aby, enlevait le t-shirt du Britannique, elle descendit jusque son pantalon. Elle l'enleva rapidement et s'agenouilla juste devant lui, elle fit sortir son pénis de son boxer Calvin Klein. Elle leva les yeux vers lui, il souriait. Elle commença a faire de doux va et viens.

- Aby bordel.

Elle fit quelques bisous tout doux sur le bout de son sexe, et elle commença à la lécher avec délicatesse. Elle était tellement douce, pensa Lewis.

- Mhh, putain.

D'un coup assez brutal, il lui attrapa la nuque et l'a fit remonter jusqu'à lui, il posa ses lèvres si douces sur les siennes et l'attrapa pour l'emmener dans le canapé d'à côté. Il enleva rapidement le dernier bout de tissus qui restait. Il commença à lui faire des bisous doux sur tout le visage et il descendit jusqu'à la nuque, puis encore jusqu'à sa belle poitrine. Il mordilla le bout de ses tétons, et sa tête partit en arrière.

- T'es un mauvais garçon, très mauvais garçon Hamilton. Oh gosh.

- Je sais bien Aby.

Il descendit vraiment jusqu'à son sexe où il joua avec son clitoris. Elle ne pouvait s'empêcher de gémir, c'était tellement bon, il était tellement bon. D'un premier coup de rein ils ne firent qu'un. Leurs respirations étaient saccadées. Il le fit de plus en plus vite en continuant d'embrasser Aby. Il finit le travail d'un coup de rein bien plus violent que les autres et elle gémit très fort.

- Putain de merde, on a foutu quoi bordel ?

- Je sais pas Aby, mais t'étais le meilleur coup de toute ma vie.

- Si tu savais.

- Bonne nuit bébé.

- Bonne nuit mauvais garçon.

Il lui souriant avant de l'embrasser sur le front. Ils s'endormirent, nus, collés ensemble.

C'était vraiment la meilleure journée d'Aby.