Voici le premier extrait écrit par Laetitia Abrino (aucune reproduction n'est autoriser si l'oeuvre et l'auteur n'apparaissent pas, je vous met quelque ligne et vous laisse découvrir la suite sur le site.
Untitled 3
Au cœur de la ville, un vendredi incertain, un homme titubant sur un trottoir divaguant se dirigeait en direction d'une cathédrale industrielle près des immeubles avachis regardant les arbres en sommeil.
Sur cette usine morte en béton désarmé, le ciel de feu cachait le soleil invincible et les lampadaires échasses sur grand écran étoilé ressemblaient à une lumière dans une bille.
Alors que dans cette rue, le taxi à contre temps à travers les artères passait sous une porte qui ne sourit plus, il y avait ce cinéma borgne au regard froid projetant un vélo en arrêt sur image.
Pendant qu'une trois quarts blonde à la peau brûlante dû faire pénitence sciée à la terrasse d'un café en rafale.
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Les Heurts Propices
ŞiirC'est ouvrage n'est pas une histoire mais un recueil de poésies, cette année je suis en seconde dans un lycée de Corse, au cours de cette année notre professeur de français, qui était en contact avec un de ces proches amis qui c'est lancé dans la...