Voici le premier extrait écrit par Camille Eymard .(aucune reproduction n'est autoriser si l'oeuvre et l'auteur n'apparaissent pas, je vous met quelque ligne et vous laisse découvrir la suite sur le site.
Untitled 5
Ce vendredi incertain, le regard des gens était froid, mais les peaux paraissaient brûlantes, la rue ressemblait a un cirque idiot, ou presque un cinéma borgne, les immeubles étaient avachis, les maisons en éruption, les usines mortes, les lampadaires échasses de la ville cassée, le béton des magasins désarmé, les portes de la cathédrale industrielle ne me sourient tant elles sont saccagées, les terrasses de café en rafale, on pouvait même remarquer les taxis a contretemps, les vélos en arrêt comme sur une image, les voitures de police a la jambe de bois en folie, on apercevait même pas une trois quarts blonde ou des hommes titubants se promenant sur le trottoir divaguant avec la pression de leur pénitence sciée, l'ambiance pesante de la ville me bouchait presque les artères, on pouvait voir la lumière dans une bille, plus incroyable que les monstres sous mon lit, les gens appelaient cela un réveil illusoire, alors que la veille la ville ressemblait a un arbre en sommeil, le soleil paraissait invincible comme un ciel de feu, et la nuit représentait un grand écran étoilé c'était comme dormir dans un rêve.
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Les Heurts Propices
PoesíaC'est ouvrage n'est pas une histoire mais un recueil de poésies, cette année je suis en seconde dans un lycée de Corse, au cours de cette année notre professeur de français, qui était en contact avec un de ces proches amis qui c'est lancé dans la...