Mon Passé m'a rattrapé ...

deuxième partie

Un jour, Karelle emmena son copin au campus, dans notre chambre commune.
Je l'avoue, il était mignon et doux comme une fleur de lotus, il était de teint noir, ce qui faisait ressortir ses petites lèvres roses et ses dents d'une clarté impressionnante.

En entrant dans la chambre, il me regarda un instant, d'un regard foudroyeur avec de petits yeux surmontés de longs cils.
Ô mon dieu! Je n'étais plus la même! Je me suis maintes fois retenue devant un homme, mais je ne sais pas pourquoi devant lui, je ne pouvais me retenir. Son seul regard me troublait énormément. Je baissais les yeux à chaque fois que nos regards se croisaient. Je ne pouvais le regarder dans les yeux sinon il allais peut-être voir à quel point je craquais pour lui...soudain, la voix suave de mon amie se fit entendre.
-bonjour fatim, je te presente mon copin dont je te parlais si souvent, Jordan, fit-elle toute heureuse en lui baisant la joue, avant de continuer .
- Jordan, je te presente ma meilleure amie, fatim.
Il s'avança à pas lent et feutré, d'une démarche élégante. Puis, il me serra la main et posa une bise sur ma joue. D'une voix rauque et douce à la fois, il me dit:
-bonjour Fatim, enchanté!
Waooo!!! Je sentis la douceur de sa paume et son parfum si doux qui embaumait déjà l'air.
Mon corps se mit à trembler, mon coeur se mit à battre, je ne sais pas trop pourquoi. J'avais même du mal à m'exprimer normalement.
- euh... Bonjour...ravie de faire votre connaissance, jor...jordan. Karelle me parle tout le temps de toi...
- vous êtes très belle, Fatim, m'interrompit-il en me fixant longuement, en se mordant les lèvres.
Je rougis.
- merci, fis-je timidement.
L'atmosphère commençait à ne pas trop plaire à Karelle alors, elle nous interrompit.
- euh... Fatim, tu viens avec nous, on va déjeuner dehors.
- euh... Non non, je vais rester pour finir mon devoir. Merci!

Je les regardais sortir de la chambre. Je restais donc seule. Je pensais pouvoir me reconcentrer mais erreur! Je le revoyais, son sourire, sa demarche, son petit visage... Ah! C'était un véritable ptit chou! Puis, je repensais au compliment, il craquait déjà pour moi? Non, je ne pense pas, pfff...il aime Karelle et ce n'était qu'un simple compliment. Même si au fond, je commençais à craquer pour lui...

Après, ce fut des visites répétées de jordan, souvent même en son absence. On parlait de tout et de rien, puis après il s'en allait. Et au retour de Karelle, je lui précisais la visite de son copin.

Puis un jour, il était venu comme d'habitude alors qu'elle était absente. Ce jour là, j'étudiais comme toujours et je portais une petite robe rose , bras mince qui mettait vivement en relief mon gros fessier et mes rondeurs de femmes africaines.

Je lui servis à boire et tout en buvant, il n'arrêtait pas de me contempler. Je me sentais un peu gênée . je me saisir d'un pagne étalé sur mon lit, je voulu me recouvrir quand il s'écria:
- Mais qu'est-ce que tu fais! Tu veux te couvrir? Mais pourquoi donc, cette robe épouse si bien ton corps et ça me plaît beaucoup. Je te decouvre sous d'autres onglets.
Au fait, c'était la prémière fois qu'un homme me regardait avec autant de desir et me faisait ce genre de compliments. Mais au fond, c'était ce que je voulais, qu'il remarque que je suis plus belle que Karelle avec des rondeurs qui ne laissait personne indifferent.
Soudain, il se leva et m'attira vers lui, plus proche que jamais. Je pouvais entendre même sa respiration saccardée. Alors , Mon coeur se mit à battre à un rythme incontrôlé. Je voulu le repousser mais son étreinte était trop forte. J'avais peur, car c'était ma premiere fois. Il le sû et me chuchotta:
" n'ai pas peur, je vais prendre soin de toi, fais moi confiance, bébé..."
J'étais enivrée par sa voix et son charme irrésistible et je le fis confiance puisque je l'aimais et je le désirais malgré tout. C'était plus fort que moi.
Il m'embrassa délicatement en glissant ses mains sur mon fessier. Il enleva ma robe et me fit coucher sur mon lit. Il me contempla et j'eu honte car j'étais nue devant un homme, c'était ma premiere fois. Il retira sa chemise et j'eu l'occasion d'admirer ses abdos , ses bras musclés et son joli ventre.

Peu après les préliminaires , il me pénétra lentement. Je gémissais. Puis, il accélera quelque peu le mouvement de sa hanche entre mes jambes. Je criais, je pleurais de plaisir et de douleur en même temps, car, c'était ma premiere fois. Je ressentais ce plaisir au plus profond de mon âme. Je me suis tellement laisser emporter par mes désirs que je ne me rendis pas compte que le collier qu'avait confectionné ma mère s'était coupé et traînait déjà au sol. Eh oui!  Sans m'en rendre compte, j'étais en train de faire une grande bêtise...

A suivre...