J'explore cette ville sympathique en soi. Je me retournais souvent pour voir ou les autres étaient. Je m'amusais bien dans cette ville. De plus, la fête commençait et on si dirigea.
Je passais une parti de la soirée à jouer à action ou vérité, quand Héra est passée pour me dire que l'un des jumeaux avais foutu le camps. J'afficha alors un sourire, me disant que enfin l'un d'entre nous craquais et fuyais.
On se retrouva sur le pas de la porte et je chercha des yeux ma camarade au portail, mais rien. Je regardais autour de moi, quand soudain je la vis se débattre près du puits on l'entendais cire à l'aide et donner des coups, comme les autre je réagis rapidement pour aller la sauver, mais le temps d'arriver il était trop tard, sans vraiment savoir pourquoi ou comment, elle avais déjà disparu. Un silence pesant régnait alors. On se regarda tous une minute, en nous demandant ce qui venais de ce passer. Personne ne réagissait comme si on était tous dans un rêve où nous allions nous réveiller. Ce n'était pas possible de disparaître ainsi dans un puits, elle était trop agile pour tomber dedans. Le puits et tellement profond que personne ne pouvais en sortir, alors, pourquoi se débattait-elle ? Et avec quoi ?
Soudain, l'onde de choque passer on ce mit tous a paniquer, c'est le jumeau qui parla le premier d'une voix calme, le genre de voix que les gens on dans les films d'horreur. Vous savez quand ils ne réalisent pas ce qui est entrain de se passer et où ils commencent à devenir fou:
<< - C'est pas vrai hein ? Elle nous fais une mauvaise blague! Elle c'est cacher derrière le puits! C'est bon sort de là Ariana...
Je le vie partir vérifier derrière le puits, mais elle n'y était pas, on avais tous vue la même chose, Ariana avait était attiré dans le puits par quelque chose, il fallait se l'avouer.
Son jumeau Atlas commença à péter un plomb et on le regardait impuissant face à la situation que, nous même avions du mal à imaginer. Soudain Héra pris la parole :
- désoler les gars, il se fait tard, je doit rentrer ma mère va s'inquiéter.
- Quoi ?! Tu rigole! tu vas pas abandonner Ariana!! Cria Atlas, comme un fou en pleine panique.
Je la regardais s'éloigner de nous, alors qu'Atlas la retenait en lui jurant dessus. Héra ne souhaitait pas affronter la situation. Moi j'étais effondré sur le sol les bras ballant ne sachent pas quoi faire, c'était un cauchemars. Soudain Atlas qui criait toujours, paniqué dans tout les sens se prie une claque et cela le calma, quand a Héra elle se fit attraper par notre chef qui s'adressa a nous :
- C'est pas bientôt fini c'est jérémiade ? Non, mais vous croyez quoi? Qu'on va laisser notre pote comme ça, dans la merde ? Reprenez vous le gars on et une bande, on est venu à 5 on repars à 5 ou on y reste points. Y'a pas à réfléchir sur la situation. On se reprend, Genki lève toi, TOI TU RESTE ICI, et Atlas TU TE calme.
Sur ces mots, je senti une vague de courage me traverser. Je me suis relever et on c'est tous regroupé. On se laissa un moment de silence et on regarda autour de nous, pendant un moment, ce lieu qui nous paraissait sympathique auparavant, mais qui à présent me parait plus lugubre et froid. La fête était loin derrière nous et semblait avoir disparu. Je ressentais un sentiment de mal aise, quelque chose nous épiais, j'en étais certain. Un frisson me parcourus et je jetais des coups d'œils sans arrêt derrière moi. On s'avança, groupé, dans la ville à la recherche d'un moyen de descendre. On arriva devant la bâtiment qui semblais être l'office de tourisme, au vue du panneaux sur la devanture. La maison était assez délabré. Des planches étaient sur le point de tomber, les vitres était presque toute briser.
On rentra prudemment dedans, et cette impression d'être observé persistait. Dans le bâtiment on repéra, accrocher au mur, une carte de la ville, déchiré et délavé. On s'en approcha un peu plus et on l'examina. On remarqua qu'en dessous de la ville il y avais de nombreux passage, surement des catacombes, et on repéra une entré dans une grotte. Nous pouvons aussi voir que le puits menait aux catacombes.
Assez inquiet, on sorti du bâtiment et nous observions une nouvelle fois, les lieux comme pour s'assurer que rien n'avais changer. Je me souvient qu'une vague d'angoisse m'avais saisit à ce moment et que mes pieds me suppliais de quitter cette endroit. Mon corps voulez rentrer à la maison, mon âme souhaitait quitter ces lieux, mais ma raison, plus grande que mes autres sens m'obligeais à aller chercher notre ami.
On arriva devant la fameuse grotte, si sombre, si profonde... Je me sentais aspirer par cette endroit. Quelque chose m'attirais malgré moi, à l'intérieur et le plus surprenant était ce regard qui ne me lâchais pas.
<< - Bon sortez vos lampes torche, je passe en premier ! >>
Nous informa le plus courageux de la bande. Je le considérais comme un frère pour moi il nous avais toujours protégé et encouragé à suivre nos rêves. Je lui fais confiance et j'ai moins peur quand il est là.
On avança tous calmement. Je vis Atlas du coin de l'œil, il était nerveux, ça se voyait, mais il gardait son calme comme il pu, pour pas nous inquiéter. Je senti le sol sous mes pieds qui descendait et nous suivions tous le chemin sans savoir ce qui nous attendais? J'avoue que cela m'angoissais énormément, et comme pour appui sur notre peur le regard avait disparu à l'instant même où nous étions entré. Comme si la chose qui nous observais avait eu peur de nous suivre en ces lieux. Mes yeux commençaient peut à peut à s'habituer à l'obscurité de ces lieux. Au fur et à mesure de notre descente, mes amis se détendaient et commençaient a discuter. L'atmosphère, bien que pesant, était calme. Moi j'étais trop occupé par mes pensées et sur le fait de rester sur mes gardes pour écouter leur conversation. Je me demandais pourquoi on était venu là. Pourquoi on avais pas écouter la mise en garde ? Qu'est-ce-qui était arrivé à notre ami ? Pourquoi elle ? Pourquoi nous ? Pourquoi nous étions si curieux au points de venir dans une ville déserte, lugubre, sans prévenir personne, le soir d'Halloween ? Tous cela tournait en boucle dans ma tête et je n'avais aucun réponse. On aurez mieux fait de continuer à raconter des légendes au petits comme chaque année au lieu d'écouter ce vieux.
D'un coups, je revins à la réalité, en sentent que le sol ne descendait plus, mais qui restait plutôt constant et droit. Je vis qu'il ne faisait plus noir, mais qu'il y avais au loin une légère lueur.
On était enfin arriver aux catacombes après une bonne heure de descente, mes amis sautaient de joie, mais moi je n'étais pas du même avis. En effet, la lueur qui emmena à une sorte de couloir me faisait plutôt paniquer intérieurement, car cela voulais dire que quelqu'un d'autre était présent et nous attendais, sinon pourquoi il y aurait-il de la lumière ?
<< - Eh Genki! Vient ou on pars sans toi >>
Me cria Bastien, le chef de bande alors qu'il avait déjà entamé le pas vers l'étrange couloir. Je respira profondément les yeux fermés, sera mes points pour me donner le courage nécessaire et leur emboîta le pas.
On arriva et cette endroit ne m'inspira pas confiance et je me rapprocha du groupe. Le jumeaux commença a se plaindre du mal de pieds qu'il ressentait. Au fur et à mesure de notre avancer, le couloir se sépara où il y avait des portes. Sans être certain du lieux, on avança encore tout droit jusqu'à tomber dans une étrange salle ronde où plusieurs couloir affluaient et où le puits menait. On observa cette endroit immense, cependant il n'y avais aucune trace de notre ami. On regarda partout dans la salle. On hésita un moment à explore les couloirs, quand l'un d'entre nous trouva un morceaux de papier à l'endroit où notre ami aurait dû se trouver. Il le prit dans la main tremblante de peur de ce qui pouvait se trouver sur ce papier. Il l'emmena à la hauteur de ses yeux et commença à lire dans sa tête, son visage ne reflétait aucune émotion.
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Sadland
Horreur* Pourquoi sommes nous venus déjà ? Moi même ne suis plus sûr de rien en ce moment. Par sa faute, nous sommes piégés dans ce jeu morbide. Pourtant je refuse de partir sans l'avoir retrouvée. En même temps, nous ne l'avons pas écouté. Dire que l'on d...