SA - Chp. 17.1 La Proposition

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Part 1



Antonio est nerveux... Il se retrouve maintenant en France avec une Angella émotionnelle – elle a hâte de revoir ses chers parents ! Ils se retrouvent devant la maison de Maria et de son époux Frantz Duqai. Antonio sort de sa voiture de location et ouvre la portière d'Angella. Elle l'embrasse et l'observe.

« Je n'en crois pas mes yeux ; toi, leader incontesté d'une mafia puissante, a peur de deux adultes normaux ? Mes parents en plus ? » Angella est amusée par cette situation.

« Comprends-moi... Je n'ai jamais fait cela avant. Et puis, je veux leur plaire... C'est si important pour moi mon amour. » Antonio n'a jamais semblé aussi sérieux.

Angella hoche la tête. « Ne t'inquiète pas, mes parents sont amusants, et je suis certaine qu'ils diront oui tout de suite à ses vacances ! »

Après ces propos, Angella marche en tenant fermement la main d'Antonio. La porte s'ouvre et une femme a la peau foncée et aux cheveux bruns sort en souriant.

« ANGY MA CHERIE ! FRAAAAANNNNTZ, ELLE EST LA NOTRE FILLE EST LÀ ! AVEC UN BEAU MEC EN PLUS, VIENS VOIIIIIR ! »

Antonio ne contient pas son rire et regarde Angella câliner sa mère de toutes ses forces. Maria embrasse son front à plusieurs reprises, et au-dessus de son épaule se trouve un grand homme noir vêtu d'un bermuda beige, une chemise à manches longue rouge, et un chapeau blanc. Il sourit tendrement en rentrant dans le grand câlin familial, puis s'arrête pour observer Antonio. Et voilà...

Angella embrasse son père deux fois et recule pour entrelacer ses doigts a ceux d'Antonio. Elle le sourit puis prend la parole :

« Maman, papa... » Elle pousse Antonio devant les parents. « Voici Antonio Benedicto, mon prétendant. Antonio voici mes parents, Maria et Frantz Duqai. »

« Tout le plaisir est pour moi Mr. Duqai» Antonio étend sa main mais commence à stresser quand devant tout le monde, le père fixe sa main comme une plaie dégoutante.

Un silence assez stressant se met en place, et Antonio veut tout de suite courir vers sa voiture et partir...avec Angella bien sûr.

« Arrête avec ton charabia mon fils et vient par la ! Enfin, elle nous apporte un homme décent ! » Antonio s'étouffe dans l'accolade masculine que lui inflige Frantz.

Les deux autres femmes rient et Antonio surprend Maria avec un baiser dans le dos de sa main.

« Tu peux le garder, ma fille, je l'aime déjà » chuchote Maria a sa fille qui sourit énormément.

Antonio prend la main d'une Maria qui devient un peu timide de ce geste, et embrasse le dos de sa main. « Madame. C'est un plaisir de faire votre connaissance. »

Maria rit, et Frantz serre son épouse. « Ah non hein ! Tu ne vas pas non plus essayer de me prendre ma belle épouse ! »

« Non mais Frantz ! » Les deux se regardent et s'embrassent, oubliant leurs invités.

Angella tousse, et ils se reprennent. « ENTREZ DONC MES ENFANTS ! » Frantz dit en ouvrant la porte. Il prend le pot de fleurs déposé au sol, et ferme la porte.

Ils rentrent tous dans la petite maison sympathique et on peut y entendre de la salsa qui joue. Les Duqai conduisent Antonio vers le jardin; 'prépare-toi a l'interrogatoire Tony !'

*Soumis a l'Amour*Où les histoires vivent. Découvrez maintenant