9. I love you

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J'avais pris une douche, je m'étais coiffée et habillée. J'avais presque fini de me maquiller, il ne me reste plus qu'à appliquer mon rouge à lèvre mâte. Je prenais bien le temps de bien l'appliquer avec soin car selon moi c'est l'une des parties les plus importante d'un make up réussi. J'avais presque fini jusqu'à ce que Corentin fait son entrée dans la pièce, je me retourne directement vers lui et dépasse avec mon rouge à lèvre jusque ma joue. Super, mon maquillage est ruiné. Il était vêtu seulement d'une serviette autour de la taille et avait les cheveux tout ebourifiés. Je crois qu'en fait ça valait tout de même la peine. Il est trop musclé, ses abdos sont carrément mieux dessinés que mes sourcils.

- Tu aimes ce que tu vois ? Fais moi plaisir Ellia, arrête de baver en me regardant.

Il fait trop la star lui, on a compris qu'il avait un corps taillé comme un rubis cube, moi aussi j'ai un beau corps hein mais je l'exhibe pas à chaque occasions.
Je lève les yeux au ciel et reporte ma concentration sur mes lèvres, j'essuie ce qui a déborder et me lève pour me diriger vers lui.

- Je vais descendre, rejoins moi quand tu auras finis.
- Ok.

Je l'embrasse avant de descendre. Ça fait bizarre d'être en couple, je ne l'avais jamais vraiment été avant. Je vais dans le salon et voit ma petite soeur Emy. J'ai bien envie de l'embêter. Je lui met un coup derrière la tête.

- Oups, j'ai pas fais exprès. Dis je avec un sourire provocateur.
- Ouais ouais, c'est ça tu l'as fait exprès sale sorcière.
- En effet, il se pourrait peut-être que je l'ai fait exprès.

Elle se jette sur moi et on commence à se battre comme des gamines. C'est pas comme ci, on avait 19 et 17 ans. On continuait à se battre jusqu'à ce que je mette un coup de coude dans le vase préféré de ma mère qu'elle avait apportée du Venezuela.

- Yeeen le vase préféré de maman. T'es mal là.

Elle dit en riant. Comment dire que je vais me faire enterrée vivante. Corentin entre dans la pièce.

- Il se passe quoi ici ?
- C'est Ellia, elle vient de casser le vase de maman. Dit elle toujours en riant et en criant.
- Chut ! Emy cries pas, elle va t'entendre. Pour commencer je vais dissimuler les preuves en attendant que j'en commande un autre. Ni vu, ni connu.
- Si un jour, je commets un crime, je t'appelle direct Ellia. Proposa Corentin.
- Attends Ellia, oublie pas qu'il y a un temoin. Je vais tout aller lui raconter maintenant.
- Tu veux balancer ? T'es sûr ? C'était pas toi qui avait organiser une fête ici quand maman n'était pas là ? Ce serait dommage que quelqu'un lui apprenne qu'une chèvre se baladait dans sa maison et qu'une pizza était collée sur son plafond. D'ailleurs, je me demande comment elle a fait pour atterrir là bas.
- Elle est déjà au courant de ça. C'est même toi qui lui avais dis, t'étais trop énervée contre moi quand j'avais empreinter tes louboutin préférés sans te demander la permission et que j'ai cassée le talon.
- Ah ouais, c'est vrai. Je m'en souviens. Tu veux quoi en échange de ton silence ? J'ai seulement 200 dollars sur moi. Dis je en lui tendant les billets.
- Mon silence coûte un peu plus cher. Dit elle en prenant tout de même les billets.
- Tu veux quoi d'autre ? Dis- je désespéré.
- Je veux bien ta veste en fourrure, tu sais la grise. Dit elle avec un sourire narquois sur les lèvres.
- Ok, c'est bon.
-Merci, Ellia t'es la meilleure des soeurs. Notez son ton ironique.
- Ouais ouais c'est ça.
- Franchement Ellia le chantage, c'est pas ton fort. Déclare Corentin qui avait assister à la scène.
- C'est parce que c'est une vipère, le chantage c'est son domaine.

Il rit tandis qu'Emy se contente seulement de me jeter un regard noir. J'avoue, c'est moi qui ait cherchée cette fois ci donc ramasse les bouts de verre sans me plaindre pendant qu'Emy et Corentin sont partis dans la cuisine. Je suis contente que Corentin s'entende aussi bien avec ma famille.

***
Nous étions à table, nous venions de finir de déjeuner.

- Dépêche toi Emy, on doit partir. - Mais il est tôt encore.
- Oui mais mieu vaut être trop en avance qu'en retard et je ne veux pas risquer de perdre ce contrat.

Peu de temps après, elles partirent. J'etais assise sur le plan de travail de la cuisine et Corentin était en face de moi.

- Tu sais que t'es beau toi.
- Oui, je le sais. Il dit en passant sa main dans ses cheveux. Et j'ai aussi un corps de rêve. Je lève les yeux au ciel, arrogant le petit.
- Je peux toucher ton corps de rêve ? Dis je en l'embrassant.

Notre baiser devient de plus en plus profond et langoureux. J'ai chaud. Corentin enlève son haut et prend mes mains pour les poser sur ses abdominaux en béton. Il m'enlève mon t-shirt et commence à me faire des bisous dans le cou. Je l'arrête et lui prend la main pour l'emmener à l'étage. Je ferme la porte et Corentin me plaque contre celle ci pour m'embrasser. Je le repousse et le fait tomber sur le lit puis commence à lui faire des bisous sur le torse. Je m'arrête et deboutonne son pantalon avant de l'enlever. Il se redresse et cette fois c'est lui qui est sur moi, il se débarrasse ensuite de mon jeans et continue à me faire des bisous partout sur le corps. Je n'avais jamais ressenti cette sensation auparavant. À chaque fois qu'il me touche, à chacuns de ses baisers, à chacunes de ses caresses je ressentais cette boule de chaleur dans mon ventre. Le désir se faisait ressentir de plus en plus, la pression montait et la chaleur était à son apogée.

- Tu es tellement belle, mon amour.

Il chuchote ces mots au creux de mon oreille ce qui me fit sourire, je vais fondre.
Une fois débarrassés de tous nos vêtements, Corentin entre en moi et commence ses vas et viens. Nous avions tout les deux la respiration saccadée. Ses vas et viens allaient de plus en plus vite. Cette boule de chaleur ne faisait que de s'accroître davantage. C'était intense comme sensation, j'attrape les draps et les serres. Il continue jusqu'à ce que nous arrivions tout les deux à l'orgasme. Ce qui a laisser s'échapper un gémissement ultra sexy d'entre ses lèvres tandis que moi, je serre davantage les draps et ma respiration s'était accélérée. Il s'écroule sur moi, épuisé.

On était couchés tout les deux, nous étions enlacés sous les draps. Corentin se mit face à moi et prit la parole.

- Ellia, je ... hmmm
- Oui ?
- Je ... voilà quoi. Je te hmmm.
- Coco, tu sais pour un footballeur tu vas pas droit au but.
- Je t'aime, Ellia.

Euuuh.

" Sa doit être le parfum que tu utilise ou l'eau dans laquelle tu te baignes

Mais chaque petit chose que tu fais me paraissent être des exploits

Tu m'as embrassé cette nuit Comme ci ce fut le dernier jour de ta bouche

Chaque fois que je souviens, je sens en moi le poids d'une pierre

Ce sont tes yeux marrons avec cette veine verdâtre

C'est ton visage d'enfant et ce rire nerveux

Je suis accro à toi parce que ta peau est un vice

Bébé, je suis accro a toi, je veux que tu me laisse t'aimer"









Vooilà le chapitre 9, jlaime trop même si j'ai galérer un peu à l'écrire.

Dites moi ce que vous en pensez et ce que vous aimeriez qu'il se passe.

Sur ce je vous tchao pour bientôt un nouveau chapitre.

Faites attention a vous les enfants. Bisous.

Mad Love // Corentin TolissoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant