CHAPITRE 1/10 - LA MORT

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La vie est injuste. Elle nous prend ce qu'on a de plus chère au monde, et nous laisse nous en sortir tout seuls. Le pire c'est que cela arrive au moment où, on s'y attend le moins. Je crois que c'est sûrement cela le pire. On est heureux,  on vit bien jusqu'au moment où on se rend compte que ce genre de chose n'arrive pas qu'aux autres. Que ce la Mort peut embarquer même ceux que l'on penser les plus coriaces. C'est ce qui m'est arrivé...

Dans ma famille tout le monde aimait Maya. Elle était le rayon de soleil qui illuminait la vie de mes parents et la mienne. Seulement on nous la prit. Sans même nous demander notre avis. Elle a disparu du jour au lendemain sans nous prévenir. Tout allait bien, nous étions heureux, le soleil brillait dans nos vie et nous vivions au jour le jour. Et puis tout à coup, nous pleurions sur sa tombe et sous un orage sans fin, autan dans le ciel que dans nos coeurs. Nous qui vivions en pensant que demain n'existait pas, ce dernier venait réellement d'échapper à ma soeur.

Pendant une longue semaine je me suis posé des questions. S'était elle suicider ? Avait elle était obligé ? Étais ce un accident ? La police avait fermé le sujet si rapidement. Les agents semblaient tellement incompétents. Ils ont déclarés un accident. Un accident...

Un accident ?

Sous-entendaient ils que la mort de ma soeur n'était qu'un simple accident ? Que tout cela était sur la même longueur d'onde qu'un accrochage de voiture ? Sur le coup, je me souviens mettre énervé de tout mon être ! Qui étaient ils pour clore l'affaire si rapidement ? Pourquoi éviter ce sujet ? Nous vivions dans une petite ville et les accidents y étaient rares. Alors pourquoi ne pas avoir enquêté plus sur cette histoire de mort ?

Personne ne le saura jamais...

Les jours ont passés et puis deux semaines après la subite mort de ma soeur, quelqu'un sonnait à la porte. Mister Wedhington, son professeur de biologie et principal. Il m'a tendu une pile de cahier, un uniforme et des fleurs. Puis il m'a adresser ses plus sincères condoléances avant de s'en retourner dans sa petite voiture rouge à poids orange qui faisait rire tout le lycée lors de ma période d'étude.

Je me souviens avoir pleurer toutes les larmes de mon corps, cette nuit là. Je ne sais pas si je faisais enfin mon deuil ou si, inversement je nourrissait cet espoir de la retrouver mais je me rappelle avoir dormis dans son lit ce soir, au milieu de toutes ses peluches ridicules qu'elle continuait de garder même à dix sept ans.

Puis trois semaiens après l'annonce du décès, Maman m'avait demander de l'aider à trier ses affaires. Une chose pénible pour moi. Devoir jeter tous ces petits trucs. Autrefois cela m'aurait fait le plus grand des plaisirs, jeter ces vieux objets sans importances ne m'aurait pas déranger. Seulement maintenant c'est petit bibelots ridicules me rappelait nos bons moments ensemble. Et devoir choisir lesquels je mettrai à la poubelle fut une tâche impossible à relever.

Les playmobils idiots que ma grand mère lui achetait tout le temps, les poupées barbie que Maman lui avait léguer et toutes ses peluches. Je me souvenais de l'histoire de chacune d'elle. Le lapin roses venait de son anniversaire de cinq ans, c'était son amoureux qui le lui avait offert. La vache violette venait de sa meilleure amie, le chien à qu'il manquait une oreille était la vieille peluche de Papa et le tigre blanc était son préféré entre tous. Papa et Maman m'avait dit de lui donner le jour de sa naissance. Je me souviens avoir brailler car c'était ma peluche et que je refusais de la donner à une étrangère. Puis avec le temps je me suis rendue compte que le plus important était qu'elle soit heureuse.

Les jours passants, j'en suis venu à une conclusion. Je ne pouvais pas laissée cette histoire de côté. Ma soeur venait de mourir et je me devais de savoir pourquoi et comme les agents ne semblaient pas disponibles à résoudre ce problème, j'allai m'en charger moi même. J'étais prêt à tout pour comprendre... mais ce que j'ai finis par découvrir m'a dépassé... jamais je n'aurai pu penser que cela lui était tombé dessus. Et qu'enfin pire, elle ne nous en avait jamais parler...

Si vous lisez ceci, si vous aussi vous avez perdue une personne que vous aimez plus que tout, alors sachez que cette histoire est faites pour vous. Seulement accrochez vous, car la vie est loin d'être toujours rose...

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Me revoici pour une nouvelle fiction concernant le harcèlement. Qui que vous soyez dans le monde, sachez que vous n'êtes pas ici pour rien. Qu'importe à quelle échelle vous vous trouvez, vous êtes un héros.
Merci de me lire.

Ali😊

Pour l'honneur de ma soeurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant