Il fait déjà nuit, un peu froid. La perspective de traverser la ville par ce temps d'hiver ne m'a pas réjouit, mais j'en avait pas eu le choix. Une brume humide volait au dessus des rue déserte. Sur le béton, les lampadaires formaient des cercle lumineux que je traversais les uns après les autres comme un pions parcourant le jeu de l'oie. A la dernière case, une petite victoire m'attendait.
Je traîne, comme un enfant que l'on mène contre son gré mais j'ai pas le choix, je doit continuer à marchée sans me retourner.
Le vent frais du soir siffle dans mes oreilles. J'essaye de me réchauffer, tant bien que mal. Mon ombre est ma seul compagnie en cette nuit bien noir.
Alors que je continuai à marcher, seulement deux mots se répétait en boucle dans ma tête comme un vieux CD griffé: venge là!
C'est vrai que jetait forte pour sa. J'apprécie le fait de voir les criminels agoniser. La plupart des criminels ne sont pas ou peut punis, alors j'impose justice. Mais après tout c'est pas à cause de moi si je suis devenu comme sa. Si la police ferait bien sont travail je n'en aurait pas à m'en charge.
Je nai jamais vraiment connu l'amour, ma mère était une prostituer et mon père est décédé quand je n'était encore qu'un gosse. J'ai voyagé de foyer en foyer jusqu'à ma majorité, mais mes tuteurs légaux m'hébergeait juste pour les assurances qui leur ferait gagner pas mal de sous. Dans quelque foyer je dormais à même le sols comme un chien dans une niche. Je suis née dans le noir, j'ai vécu ou plutôt survit dans l'obscurité et je mourrai dans le néant. Bref assez parler de mon enfance je suis enfin arrivé à son domicile.
J'entre sans frapper, je commence à avancer, il n'est pas dans le hall. Je continue toute les pièces du bas en terminant par la salle à manger mais il n'est pas là. Je monte à l'étage avec un rage aussi grande que vous ne pourrez l'imaginer. J'entre dans la première pièce, c'est un bureau et il ne s'y trouve pas, seconde pièce c'est une chambre mais il ne s'y trouve toujours pas. Je commençais à perdre patience.
Arriver devant la porte de la troisième pièces, j'entendis l'eau de la salle de bain couler. J'enfonça la porte avec mes pied et il était là, en train de se brosser les dents comme une personne civilisé mais moi je sais ce qui lui a fait. Et je vais la venger.
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J'espère que là vous plaît, je met la suite dimanche
