Quelques petites pensées passagères

Pour un jeu, les échecs me font pas rire !

Ah chère Atlantique, froide, glaciale et antipathique

Tu as osé me séparer de mon amour adoré.

Tu as cru bon de nous éloigner et de nous priver

de notre destinée pourtant méritée.

 Atlas était supposé nous supporter

et toi, qui représente sa mémoire

tu tiens vraiment à nous abandonner ?

Sache que tu n'en tires aucune gloire.

Mais pourquoi ?

Pourquoi tant de haine ?

Pourquoi m'enlever ma reine ?

Pourquoi m'affubler d'un tel échec ?

Aurais-je eu un sourire de trop ?

Aurait-ce été trop beau ?

Je te trouve très cavalière

de faire ainsi fie d'hier

D'abandonner deux êtres

qui ensemble, ne voulait qu'être. 

Me voila donc seul au sommet de ma tour

à appâter les éternels vautours.

Notre relation frappe ainsi sa fin

et appose un mat à mon destin...