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- Atsuta ? Appela platement Ace. Dit moi que tes réveillé ?
A travers le peu de lumière qui paraissait dans l'obscurité de la pièce, il vit le drap de la jeune femme se froisser dans un mouvement à peine distinguable. Il en déduit qu'elle s'était silencieusement relevée pour écouter ce qu'il avait à dire.
- Depuis combien de temps... il te fait ça ?Questionna t'il maladroitement.
Pour seule réponse il entendit ses sanglots étouffées mélangeait à ses hoquets. Il se réprimanda intérieurement avant de se demander comment aborder le sujet sans réveiller son potentiel traumatisme pas qu'il se souciait réellement d'elle après tout il rester un pirate mais voir une personne souffrir comme cela ne le laisser pas indifférent c'était plus fort que lui.
- Je n'te jugerai pas je sais que tu n'étais pas consentante... Clamait-il les joues parsemées de feu aux souvenirs de la poitrine rebondit de l'ébène. Il remercia l'obscurité de le camoufler aussi bien.
- J-je.. je... Ace-kun. Arriva t'elle à prononcée en couinant bruyamment.
- ... Ne te fait plus de soucis je suis certain qu'on sortira bientôt d'ici ! Disait-il prit de court par le ton suppliant d'atsuta.
Franchement ? Avait t'elle besoin de sa pitié ? Atsuta détestait paraître vulnérable surtout devant un homme même s'il s'avérait être le frère de luffy néanmoins elle devait avoué que l'Ace étrangement soucieux était réconfortant : Qu'est-ce qui avait changeait ? Elle se mordit férocement la langue pour ne pas pleurait lorsqu'un violant choque la traversa et la ramena brutalement à la réalité. Ace la fixait maintenant perdu au fin fond de ses pensées avait t'elle toujours eu ce petit ventre ?
- Bbwwhg...
- Qu'est-ce qu'il t'arrive ? S'affolait Ace en entendant le song peu gracieux qu'elle venait de produire. J'ai dit quelque chose de mal...?
Tout à coup il aperçut l'ébène se ruait sur le récipient qui servait de poubelle au directeur en chef. Elle mit sa bouche pâteuse au-dessus en prenant de grande bouffée d'air qui semblaint étrangement douloureuse elle sortit ses tripes et retourna tout son estomac dans le vidoir cette action se répéta plusieurs fois même quand son estomac n'avait plus rien à éjecter et se perdait dans son vide en se tordant de façon malsaine. Haletante Atsuta s'essuya négligemment avec le dos de la main avant de tomber d'épuisement au sol.
- Atsuta... ! Qu'est-ce qu'il te prend... hé répond moi... le brun se tortillait pour pouvoir la voir.
Entouré par les minerais de granits marins ace ne put lui porter assistance. Un sentiment d'anxiété l'envahissait et il passa la nuit sans savoir comment l'ébène se portait, enfin on ne peut pas vraiment appelé ça passer la nuit. Il n'a cesser de se remémorer la discussion qu'il avait eu précédemment, de se questionner sans trouver de réel réponse : qu'est-ce que sengoku pense que barbe blanche son père pourrait bien trouvait d'intéressant chez cette fille ? Elle ne possède pas de fruit du démon sinon elle n'aurait pas était capable de se déplacé avec fluidité vu les fers sur ses poignées.
Elle a mentionné avoir des capacités de sirène et encore il n'est pas sur que se soit vrai, les sirènes ne sont pas censée avoir des capacités humaines étant sirènes. Et puis d'accord elle a la peau blanche comme la neige est elle est belle comme boa hancok. Possède une grosse poitrine aussi mais ce n'est certainement pas suffisant pour attirait barbe blanche. L'ardent eu le visage rouge et fumant : depuis quand était-il devenue un voyeur ? Makino aurait sa mort s'il elle l'apprenait.
Quelque heure plus tard. L'ébène se réveilla avec la sensation d'être dans les vapes elle se souvenait vaguement de la veille et se sentait assez honteuse et répugnante voir même sale. L'envie de nausée ne la quitter plus, elle décida de se terrait dans ses draps est de ne plus en sortir à pars pour se genre de besoins.
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Atsutace [One piece] en pause pour réécriture
FanficElle regardait silencieusement les murs moisirent et virer vers des couleurs maussades. Assise simplement sur le béton froid de sa cellule de fers noires. Seule et engourdie par la froideur de l'air putride qu'elle ingérait chaque heures, chaque mi...