J'eus à peine finit ma phrase que je me reçois une énorme gifle. Je mets directement ma main sur ma joue, elle était brûlante.La gifle était tellement puissante que ma tête a failli se séparée de mon corps. J'avais super mal à la joue mais cette douleur physique n'était rien comparé à la doulour mentale que je ressentais. Les larmes menaçaient de couler une fois de plus, sois forte. Je ne craquerais pas. Je lève les yeux vers lui. Je partais quand une fois de plus, il me retient par le bras.
- Ellia, je suis désolé, je voulais pas.
- Ne me touche pas. Crais-je presque. Heureusement que tu n'as jamais partie de ma vie. Tu es un lâche. Ne t'approche plus de moi ni de ma famille. À partir d'aujourd'hui je te considère comme mort.Je détourne ensuite le regard avant de me dirige vers l'ascenseur. Je monte enfin à l'intérieur. À peine la porte de l'ascenseur fermée que je m'éffondre. Pourquoi est-ce qu'il a fait ça ? Il m'avait assez fait de mal comme ça. J'avais tellement souffert à cause de lui.
C'est comme si on venait de me tirer une seconde balle dans le coeur. Corentin était la cause de la première et cet homme était la seconde. Cela m'avait tellement fait du mal de lui parler ainsi, c'était déjà bien assez difficile de seulement le voir.Je pleurais. J'évacuais toute cette souffrance. J'étais au plus bas, je ne voyais pas ce qu'il pourrait m'arriver de pire. Je me retourne et vis ma tête sur le miroir accroché. Mon maquillage avait coulé, j'avais du mascara qui dégoulinait sur mes joues. J'avais les yeux rouges et gonflés. Je n'avais même pas envie d'essayer de ressembler à quelque chose. J'avais les mots de Corentin qui raisonnaient dans ma tête, les mots qui m'avaient déchirés le coeur.
L'ascenseur s'arrête et je sors de celui-ci. Je me dirigeais vers la sortie et je voyais les gens qui passaient à côté de moi me regarder comme-ci je venais de sortir d'un zoo. Je n'y prête pas attention et continue mon chemin. Je sors de cet hôtel et vois une foule de paparazzis. Les flash des photos se mirent tous en même temps à me bombarder. J'étais aveuglée, j'essayais de me diriger tant bien que mal vers ma voiture tout en essayant de me couvrir le visage. Il n'y avait pas mes gardes du corps avec moi ni même la sécurité.
J'arrive enfin à ma voiture après avoir essayer de m'extirper de la foule. Je la démarre, j'allais m'en aller quand la fameuse foule de paparazzis se mit tout autour de celle-ci. Ils m'avaient encerclés et poussaient tous la voiture de tout les côtés. On me secouait violemment. J'entendais crier mon prénom avec des insultes. J'étais dépassée par la situation.- Laissez moi s'il vous plaît.
C'était la seule que j'avais réussi à dire. Je ne pouvais pas avancer, je ne pouvais rien faire. Les larmes roulaient sur mes joues, j'étais prise au piège. Je pose ma tête sur le vollant et essuie mes larmes. Je décide de prendre mon téléphone pour tenter de contacter quelqu'un. La situation était très dangereuse à tout moment un paparazzi pouvait entrer à l'intérieur. On continuait à m'insulter et à frapper sur ma voiture. J'étais terrifiee tandis que tous ça les amusaient.
***
La sécurité me raccompagne chez moi, je les remercie et entre chez moi. Je vais m'asseois dans la cuisine et je repense à la tornade que je venais d'affronter seule. Le bruit de la gifle resonnait encore. Je me lève violemment, prend une assiette qui était posée et la jette au sol.
J'avais l'impression d'être abandonnée par tout le monde. J'étais tombée tellement bas. Pourquoi ?
Je me sentais encore en danger, j'imaginais cette foule qui tentait de me faire du mal. Je prend cette fois-ci un verre que je balançais à travers la pièce.
Je venais de voir toute ma vie s'effondrer comme un château de carte. La vie pour laquelle je m'étais battue. Je n'étais plus rien. Corentin pourquoi tu m'as fais ça ? J'étais folle amoureuse de toi.- Je te déteste. Dis-je en hurlant.
Je hurle de toutes mes forces et je prend le vase qui était posé sur la table et le lance violemment contre le mur. Celui-ci s'écrase contre.
Je souffrais tellement. Je lui faisais une confiance aveugle. C'était mon premier vrai amour. Une personne que j'avais tellement aimé. Pourquoi j'ai été naïve à ce point ? Je m'en voulais d'être tomber amoureuse de lui. Je m'en voulais de continuer à l'aimer après tout ce qu'il m'avait fait subir. Je m'en voulais de continuer à attendre son appel pour qu'il me dise qu'il m'aime. Je dois voir la vérité en face. C'est terminer, il me dira plus jamais "je t'aime" parce qu'il ne m'aime plus. Oh mon Dieu, j'ai tellement mal.
Je prenais tous les objets que je trouvais sous la main et les lançaient. Ils se brisaient tous en mille morceaux exactement comme mon coeur. Je devais extérioriser tous ça. La colère, la tristesse, la souffrance.
Je continuais à lancer tous ce que je trouvais. Les objets volaient dans la cuisine.
- Mais qu'est ce qui passe ici ? Ellia ça va ?
C'était ma mère, elle regardait tout autour en me questionnant du regard. Je me dirige vers elle.
- Maman, je veux partir chez tante Jannah en Australie.
- Chez Jannah ? À l'autre bout du monde ?
- S'il te plaît maman. Ma voix se brisa.J'éclate en sanglot dans ses bras. Je ne pouvais plus me contrôler.
- Calme toi ma chérie. C'est d'accord.
Elle me carressait le dos pour tenter de m'apaiser.
" J'ai frappé un mur, je ne suis jamais tombée si bas, si bas
Comme une chute d'eau, mes larmes coulent au sol
Elles laissent une piscine de crimes salés,
Oh, que pourrais-je faire pour te faire changer d'avis?
RienJe me prépare à la douleur et je laisse aller
J'utilise toute ma force pour sortir de ce trou.Ouais j'ai frappé un mur, j'ai prié que je puisse m'en sortir,
Je ne peux survivre à une vie sans toi.
Je me prépare à la douleur et ensuite je laisse aller."Voilà le chapitre 15
Dites moi ce que vous en pensez.
Dites moi si vous avez pleurer en le lisant.
Oh c'est juste maintenant que je viens de remarquer que toutes les photos que je mettais elle s'affichaient pas
Je vais voir si j'essaie de les remettre ou si je laisse comme ça.Sinon Bisous et prenez soin de vous. 😘😘
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Mad Love // Corentin Tolisso
Hayran KurguSe faire prendre à son propre piège. Perdre sa partie d'échec. Son coeur était scellé, elle ne voulait pas développer de sentiments amoureux pour quiconque. Elle ne voulait pas d'amour. Elle était jeune et voulait profiter de sa jeunesse sans avoir...