une Warrior

chapitre 08

Je pris mon portable et décrocha, c'était un numéro inconnu, d'habitude je ne répondais pas à des gens que je ne connaissais pas.

- Allô ? C'est qui à l'appareil ? Demandai je pressé.

- Bonsoir. Vous êtes bien Angèle STYLLES ?

- Oui c'est moi. Il y a un problème ? On se connaît ?

- non, on ne se connaît pas, je suis Carlos MARTEAU, j'ai été absolument abasourdi par votre talent musicale et je voudrais vous rencontrer, j'ai aidé plusieurs stars de la chanson à entrer dans le monde du spectacle. Je peux vous assurer que vous avez un réel talent.

- Euh merci. Mais je ne suis pas sure d'avoir tout capté. D'abord vous m'avez entendu chanter où ?

- Lors d'un vol en avion, un jeune homme qui était abord du même avion que moi regardais une vidéo dans laquelle une jeune fille chantais avec une guitare, J'ai écouté cette vidéo avec lui, il s'appelle Chris si je m'en rappelle bien et c'était vous dans la vidéo d'après ce qu'il m'a dit. Je lui ai demandé votre contact et voilà.
Vous devez être confuse, je vous propose une rencontre avec moi samedi prochain pour mieux vous éclairer. Je vous enverrai le l'adresse et l'heure par email, sur ceux bonne soirée.

- OK je verrai. Bonne soirée aussi monsieur. Dis je en raccrochant.

Je n'arrivais toujours pas à en croire mes yeux. Un producteur de musique, Carlos MARTEAU, veut me rencontrer. Suis-je entrain de rêver ? My God. Je vais peut-être réalisé mon rêve sans avoir levé le petit doigt et tous ça grâce à cette vidéo et à Chris. J'étais à la fois surprise, contente et confuse. Oui,confuse parce que je ne savais plus là où j'en étais. L'école ? La musique ? Mes parents !

Ma mère, je savais comment la parler, mais mon père, je n'arrivais même pas à être dans la même pièce que lui sans être lasser. J'aurai besoin de leurs accord pour signer sûrement des contrats ou papiers avec ce producteur.
J'étais dans la merde.

J'étais rentré chez moi toujours confuse vers les environs de 18h. J'étais enfermée dans ma chambre entrain de réviser les cours d'aujourd'hui. Mais je n'étais pas vraiment concentré sur ce que je faisais, je me posais mille et une question sans avoir de réponse. Mon téléphone clignota, cela voulait dire que j'avais reçu un message.

Je me levai et pris le téléphone qui se trouvait sur mon lit. J'avais reçu un message de Chris apparemment.

Je souris instantanément, c'était grâce à lui si Carlos MARTEAU m'avais contacté. Je devais le remercier pour ça.

- Salut vilaine ! Ça va ?
C'est ce qu'il m'avait écrit.

- ouais et toi ? J'espère que tu n'as pas encore trouvé de nouveaux amis pour nous remplacés !

- ça va aussi. T'inquiète, on ne peut pas vous remplacer, plus ouf que vous tu meurt ! Dit-il en riant.

- n'importe quoi. Tu reviens quand, tu me manques trop !

Il ne me répondit pas tout de suite, j'ai du attendre quelques minutes plus tard.

- ce n'est pas sûre que je revienne, mes parents sont bien ici et n'ont pas de regrets. Ne t'inquiète pas, je trouverai le moyen de venir vous voir pendant les grandes vacances. Et l'école ? T'a une idée de ton prochain rivale ?

- non. Je n'étais pas vraiment concentré sur les cours d'aujourd'hui et je n'ai remarqué personne capable de me rivalisé. En plus c'est le premier jour , j'ai tout le temps pour ça. Je voudrais te remercier à propos de Carlos MARTEAU, c'est grâce à toi si il veut me rencontrer. Merci Chris.

- je t'en prie ma vilaine. Il va falloir que je te laisse, tu dois sûrement réviser. Salut moi les autres et Lyla pour moi. Bisou.

- passe une bonne soirée mon psychopathe.

- ton psychopathe ? Depuis quand j'en suis un ?

- depuis maintenant. Maintenant bouge. Bye.

- bye.

...

J'étais à la bibliothèque de l'USS, je lisais mon cours d'svt pour tout à l'heure. On était déjà jeudi. Eh oui trois jours ce sont écoulées.

D'après ce que j'avais compris, on avait une interrogation dans cette matière aujourd'hui. Je trouvais que c'était un peu précipité mais ce n'est pas moi le professeur.

Donc je révisais tranquillement dans mon coin, quand quelqu'un pris place devant moi. Devinez qui c'était ? MILLER.

- tu cherches quelques choses ou quelqu'un ? Si c'est Yasmine, elle n'est pas ici, me précipitai-je de dire.

- je ne cherche rien, je veux juste révisé comme toi. Y a un soucis ?

- Oui oui. Le soucis c'est toi !  Y a des places vides ailleurs, Pourquoi c'est ici que tu viens, laisse moi révisé en paix tu veux ?

Il me regarda longuement avant de me sourire narquoisement.

- À ce que je sache, tu ne possède pas L'USS la bourge.

-  À ce que je sache aussi, t'es un bourge aussi, donc arrête tes embêtements à deux balles.

- te mets pas dans tous tes états babe, calmos.

Je roulai des yeux, rassemblai mes affaires et me levai. Je pris le chemin de ma classe. Mais quelqu'un attrapa violemment ma main,  ferma ma bouche avec sa main. Je fus plaqué violemment contre le mur d'une salle de classe du lycée.  Je pus m'apercevoir que c'était ce clown de Gabriel.

Encore lui ! Putain je ne vais plus pouvoir le supporté.

- tu me promet de ne pas crier ? Si j'enlève ma main ?

J'hochai la tête positivement en signe d'approbation.
Il enleva doucement sa main de ma bouche. Je m'assis par terre pour reprendre mon souffle.

- non mais t'es malade enfaîte. Tu veux quoi encore ?

Il me regarda et s'approcha de moi. Il passa sa main dans ses cheveux avant de passer sa langue sur sa lèvre inférieure. Je mordis ma lèvre inférieure à la vue de ses gestes. Je commençais à avoir chaud, très chaud.
Est ce que c'est lui qui me met dans tous ses états là ?

- Euh ! Excuse moi pour t'avoir perturbé. Je suis désolée si ça t'a mise sur les nerfs.

- c'est ce que tu voulais me dire ? T'avais besoin de faire toute cette mascarade avant de le dire ? Non ! J'en peux plus.

- j'ai pas l'habitude de m'excuser en plus pour une fille. Alors je veux pas le faire en public.

Il m'agacais encore une fois.

Je m'approchai de la porte et voulu l'empoyer, mais elle était bloqué. Je repris encore et encore mais c'était le même scénario !

Je me retournai et le foudroyai du regard. J'étais prise de panique, je ne supportais pas de rester enfermé pendant longtemps.

- qu'est-ce que t'as encore fait !  Les cours vont bientôt recommencés, et on est enfermés.

- calme toi, on va trouver une solution ensemble.

- me calmer ? T'es malade ! On a une interrogation dans la matière la plus importante de l'année et tu me demande de me calmer ? Si on ne sort pas d'ici avant cette interrogation, je t'en voudrais pour longtemps. Tu m'entends !

J'étais en pleine crise de nerfs, j'appellais au secours, mais personne ne venait nous ouvrir.

À suivre...

Coucou c'est moi. Désolé pour l'absence, j'étais occupé avec les examens, mais c'est fini, shui de retour avec une inspiration d'enfer !

Votez et commentez 💋❤