La cloche venait enfin de sonner.... C'est les VACANCES !!!
J'allais pouvoir être tranquille pendant 2 mois !!
Mais... L'année prochaine ça sera le brevet... de longues révisions,mais bon... mieux vallait en profiter.
Je m'appelle Énora, j'ai 14 ans. Ado ayant les cheveux bruns s'arrêtant au bas du dos, avec les yeux verts et de taille moyenne.
Je suis dans un collège d'excellence de Paris, où il n'y a que des riches pourris-gattés.Mais j'ai ma meilleure amie : Laurine. Toujours sûr d'elle et elle en a du charactere. J'ai aussi mon groupe de 7 amis.
Ce jour là, le chauffeur ne venait pas me chercher comme les autres jours, on m'avait prévenu, donc j'avais mes dispositions: Je devais faire la moitié de route avec Laurine.
Comme à mon habitude, je me levais de mon bureau avec un soupir bruyant, mais cette fois, il était accompagné d'un sourire de satisfaction. Je réajustais mon uniforme noire, cravate rouge. Je l'avoue, cette tenue n'allait pas me manquer: Mes chaussures noires était une vraie abomination.Je resserais ma queue-de-cheval, pris mon sac à main et suivais Laurine qui me racontait comme toujours ses histoires à dormir debout. Arrivées à un tournant, elle partit en souriant. La route était plutôt ennuyante, personne ne prêtait attention à personne. Les visages étaient sans expression et la météo n'était pas superbe non-plus: le soleil pointait rarement le bout de son nez.
Ma maison n'était plus qu'à 2 deux rues. J'allais retrouver mon lit douillet,mes livres,mon ordi,ma télé et tout le reste.
Arrivée devant la gigantesque barrière de chez moi,je m'arrêtai net. Des hommes,trois, en longues tuniques noires me fixaient...Je ne rêvais pas, ils s'approchaient.Je fouillais dans mon sac à la recherche de mon trousseau de clés mais je ne trouvais rien.Ils étaient maintenant quelques mètres de moi. C'était plus le moment de chercher. Je commençais à courir puis je tournai dans dans une ruelle sombre. Mon idée était très simple : faire un détour. Je ralentissais quelques fois pour chercher mes clés. Je continuais ma course en allant de ruelles en ruelles. Une fois ce que je cherchais en main, je me décidai alors de sortir de la ruelle dont j'étais et de courir en ligne droite jusqu'à chez moi. J'en suis sûr, ce manège à duré de deux minutes maximum. J'ouvris vite le portail et le fermai en quelques secondes seulement. Je me mis à courir de nouveau, traversais l'allée, montais les marches 4 à 4, ouvrais la porte, la fermais et m'assis au sol. En reprenant mon souffle, je remarquais que mes parents étaient aussi dans le vestibule, à me regarder. Mon père, en costard noir, ses chaussures cirés, ses cheveux coiffés avec du gel, avait toujours cet air impassible. Ma mère avait un tailleur noir, une chemise blanche, des talons aiguilles noires et un chignon impeccable.
"Ma fille, commença t-il, pourquoi avoir fuis ?"
Sa voix n'avait plus cette assurance...Elle était tremblante. Je le sentais, il avait peur... Mais de quoi ?
"Ma choupette, ma mère prit la parole avec une pointe de tristesse, je...nous sommes désolés..."
Mon père partit sans un mot dans la salle,nous laissant seules.
"Nous devions te le dire...Nous avons faient une erreur.
- Maman ? Il ce passe quoi ?!
- Ma fille, dit-elle en regardant l'heure, lève toi ..."
Je me levai en silence, attendant la suite .
"Bien..., reprit-elle en me prenant le deux mains, il est trop tard pour tout expliquer... "
Je l'avais vu, cette corde violette qui m'entourait les poignées. J'essayais de me défaire de ça, mais impossible de faire un seul mouvement avec mes mains. Je ne comprenais plus rien. D'où venait cette corde ? Pourquoi ma mère a fait ça ? Que me cache t-on ? Et surtout, que font les mêmes hommes derrière ma mère ?!?
"Maman !! Il se passe quoi ?!? Gardes les loin de moi ! "
Devant le silence de ma mère, je sentais les larmes monter. Tandis que deux des hommes me prirent chacun un bras, je me débattais tant bien que mal. Ils m'entraînèrent dans le salon, derrière le troisième homme, devant le regard impuissant de mes parents. L'homme qui était devant,se mit en face du miroir qui était au fond du salon. Je n'ai jamais vue aucune utilité avec lui. Il avait l'air ancien. La glace était propre, grâce aux servantes qui le nettoyaient tous les jours. Les bordures ressemblaient à de l'or massif. L'homme disait des choses incompréhensible. Et moi, je continuais de me débattre sans résultat.
Après la corde venant de nul part, c'était le tour de la glace qui se change en espèce de portail. J'essayais toujours de me défaire de leurs emprises. J'en voulais à mes parents de n'avoir rien faient. Je fus comme, hypnotisé par le portail...Ils m'entraînaient dans le portail malgré mes efforts. J'eu une sensation de douleur au cœur. Je crois que c'était ça qui me fit perdre connaissance.
Et c'est comme ça que je me suis réveillée dans une chambre qui n'était pas la mienne...Dans une chambre de l'autre monde.
VOUS LISEZ
L'autre monde...
FantasyJ'ai peur de lui... Je ne le connais pas... Je ne connais rien de lui... Il me fait peur.... J'ai peur de l'autre monde....