V- Adieu Louis..

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Juin 1550
Blois, France
⚜️

En ce mois frais de Juin, je mit au monde mon cinquième enfants et troisième Fils, que nous avons prénommée Charles-Maximilien, il naît un an et huit mois après sont frère aîné Louis, duc d'Orléans, mais Louis est très faible, et j'ai bien peur qu'il ne survive pas.
Mary Stuart est arrivé à la cour, elle a huit ans, mon époux me demande d'être à ses côtés comme si j'étais sa mère, elle est promise à mon Fils aînée François, cette alliance avec l'Écosse nous ai bénéfique, mais je pense que envoyé nos armés là-bas nous rendrais faible et vulnérable aux yeux de nos ennemis. Henri ne veut rien entendre, temps que la petite Reine est en sécurité et que notre fils et elle s'amuse, m'a t'il dit!
Quant à Claude elle ne sait rien de ce qui est prévue pour elle, nous tentons de trouvé un époux pour Elisabeth, mais je persiste à vouloir qu'elle épouse le Roi d'Espagne Philippe.

24 Octobre 1550

Ce nuit là! Un froid glaciale hantait le palais, Charles dormait paisiblement, mes filles Elisabeth et Claude ainsi que la Reine Mary venait de s'endormir, François lui veillait, il ne trouvait pas le sommeil puis...Nous entendit une sage femme hurlait, je prend la main de mon fils et part rejoindre la chambre de Louis, mon fils étais dans les bras de Diane, les oreilles et du sang sortait de sa bouche, François pleurait, alors j'appelais les gardes, demandant à ce qu'il couche le Dauphin François et qu'il parte ainsi chercher le Roi, en urgence, je prend mon fils des bras de Diane, elle n'a même pas de larme, la sage femme a peur de subir ma colère, je l'envoie rejoindre mon fils François pour l'aider à s'endormir. Une fois le roi ici, je lui montre notre fils et lui dit ce que je pense...

-Henri, notre bébé, notre fils, Louis, il n'est plus, je l'es trouvé en sang dans les bras de Diane...
Meurtri je tombe dans les bras d'Henri, nous pleurons tout deux notre fils, Henri se lève et regarde Diane.
-Diane, je te demande de quitté le palais sur le champ, tu n'y reviendra que qu'en j'en aurait décider.
-Henri tu aura besoin de moi, cette femme ne crois que ce qu'elle voit!!
-Catherine est notre reine, elle est ma femme, donc rentre à Chenonceau, garde!

Sous mes yeux Henri renvoie sa catin, je sert mon fils de toute mes forces mais rien n'y fait, il n'est plus, et j'ai de cesse de hurlait et de pleuré, j'aimerais tant qu'il soit encore en vie, Henri et moi avions pour projet de lui offrir le titre de Dic D'Urbino, étant donné qu'il n'est plus parmi nous cela ne sert à rien, le titre de Duc d'Orléans revient à mon dernier fils née, Charles.

Février 1551
Château de Fontainebleau
France.

Cinq mois ce sont déjà écoulée depuis la disparition de mon fils Louis, Henri voit Diane en cachette pour m'éviter une souffrance. Il espère que je lui donnerait d'autre enfants, et je le ferait.
Mon époux me demande mon avis sur les guerres de religions, je pense que nous devrions réprimer ce culte, nous sommes un pays catholique, je ne veut pas les empêcher de faire leur culte mais qu'il ne tuent pas des innocent pour que leur foi soit reconnu et que le pays entier oublie la foi catholique, jamais cela ne se produira, j'essaye de cacher des histoire macabre à mon époux et Roi, des catholiques tuent des protestants et des protestants tuent des catholiques...Notre pays sombre et je ne sait que faire!
Ce mois-ci je n'ai pas eu mes douleurs, ni de sang, je ne panique point et réalise peu à peu, qu'il est fort possible que je soit enceinte, depuis Janvier je n'ai pas eu mes écoulement de sang, donc je m'empresse d'aller consulté mon médecin de la cour, qui est aussi mon astrologue Nostradamus, qui m'examine et constate, et c'est évident, j'attend à nouveau un enfant, je lui demande le secret le plus absolu, alors que nous fêtons une petite victoire sur les anglais, je me permet de prendre parole devant nos loyaux sujet et membre de la noblesse et de la famille royale.

-Mes loyaux sujet, ma famille, mon Roi, nous pleurons depuis maintenant cinq mois la disparition de feu mon fils Louis. Aujourd'hui nous festoyons notre victoire sur les anglais, et j'en suis fortement aisée. Henri, j'ai l'annonce la plus formidable à vous faire, je suis à nouveau enceinte.

Mes yeux était rempli de larme, les invités nous félicitent, et Henri verse une petite larme, et dit.

-Voyait vous cette femme, elle a su me donner ce que aucune femme dans ce monde ne peut m'offrir, le confort, une famille, un amour et une solidarité sans pareille. Catherine vous serait éternellement Reine de France, que dieu sauve la Reine!

C'est parole m'ont réconforté, mais je sait fort bien que c'est pas tout à fait la vérité, il aime Diane, est cela ne changera jamais, je lui donne juste des enfants, et une stabilité, je suis une Médicis, et c'est pour cela qu'il ne pourra jamais me renier, quand pourrais-je enfin percer les secret de son cœur...

A SUIVRE...

Catherine de Médicis : La vie d'une Reine.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant