VI - Regence

233 13 5
                                    

Mai 1553
Saint-Germain-En-Laye
France.

Cela fait déjà quelques mois qu'Henri a quitté la France pour entrer à nouveau en guerre avec Charles Quint.

Il m'a donné la régence du royaume, ce refusant de l'accorder aux Guise, et j'ai la chance d'avoir l'ami de mon époux à mes côté pour m'aider, il s'agit du connétable Anne de Montmorency.
Mon époux n'a que très peu de moyen et me demande dans une missive d'intervenir à Paris, et de parler au peuple.

« Chère Catherine,
Je n'ai guerre eu le temps de vous écrire, un bon nombres de nos hommes sont mort, Charles refuse de signer une paix. Je vous demande d'allé à Paris, et de demander de l'argent pour financer ma campagne face à Charles Quint! Ma tendre épouse, je serait bientôt vers vous. Notre bébé doit être née, je ne cesse de pensée à vous et à nos enfants, une fois la guerre terminer, je vous promet d'agrandir la famille.
Pour ma Reine.
Henri II. »

Cette missive venait elle réellement de mon époux, bien sûr. Mes garde prépare mon attelage pour allez à Paris, mon septième enfant et troisième fille viens de naître, je les nommé Marguerite, mais ses frères et sœurs préféré l'appeler Margot.
Le temps que je quitte le château, c'est Anne qui est au commande. Une fois arrivé je rencontre des généraux, et des nobles, qui accepte un marché équitable, le duc de Lorraine me propose que son fils épouse Claude, ainsi j'aurais suffisamment assez d'or pour la compagne d'Henri, je n'avais besoin de rien d'autre, je conclu ce marché sans l'accord du roi, étant donné que j'étais au commande. Ma Claude sera donc l'épouse du futur duc de Lorraine, une fois l'accord signé, me voilà reparti avec l'or, et un accord.
Une fois de retour, j'écris une missive à Henri est j'envoie un homme sur pour que l'or et ma lettre arrive près d'Henri qui est actuellement dans l'est du royaume.

« Mon Roi,
Henri, j'ai que de bonnes nouvelle pour vous, le Duc de Lorraine, va financer votre campagne, mais il avait une condition, il m'a proposé que nous marrions sont fils à notre fille Claude. J'ai bien évidemment accepté. Je prie dieu pour que vous ne m'en vouliez pas. Sue dieu vous garde mon époux.
Catherine. »

Une fois la lettre et l'or envoyée, le conseil royale, se réunit, il me recommande certains choses à faire pour le royaume et beaucoup d'affaire à traité.

-Majesté! Que comptez-vous faire pour les armée qui sont restée ici et celle qui est avec le roi?
-Nous allons réapprovisionné nos hommes, et leurs redonnés de armes.
-Mais madame Les caisses du royaume sont presque vide?
-Je prendrait celle de ma famille, ce qu'il me reste de mon père, notre royaume survivra à Charles Quint, envoyée ce qu'il faut pour nos armée.
-Bien votre Majesté!

Je part me reposer dans mes appartements quand j'apprends que le Roi est de retour, je pensait que nous allions avoir un moment rien que nous deux, mais il est parti donné une fête avec Diane, il me laisse donc seule. Margot pleure, je la berce dans mes bras puis elle s'endort, il est tard, Henri viens rencontré ça fille pour la première fois, il est ému.

-Catherine, puis-je la prendre?
-Oui, vous êtes le roi.
-Elle à votre regard, mais elle a mon nez et les joues des Valois. Je voulait vous remercier de ce que vous avez fait pour le royaume, vous avez sacrifié beaucoup c'est derniers mois.
-Oui, mais c'est mon destin, celui d'une Reine, sans époux!
-Que voulez-vous dire?
-Au lieu de me retrouvé comme vous me l'aviez promis, vous êtes allé avec Diane! Cette catin a toujours sa première place dans votre cœur!
-Catherine! Je ne vous permet pas, elle est ma maîtresse que cela vous convienne ou pas! Maintenant allez dormir, je vous rejoindrait.
-Je n'ai aucune envie de vous voire.
-Taisez-vous et partez!

Sur ordres de sa majesté je part dans mes appartements, il endort Margot, elle la met dans son berceau. Je suis allongé dans mon lit pleurant ce qu'il me reste de larmes pour lui! Il entre et claque la porte, me fessant sursauté, il me retire ma couverture, enlève ses habit, il m'écarte les cuisses, prend mes poignet d'une force que je ressens une terrible douleur dans les bras, il entre en moi, j'ai envie de hurlais, mais aucun mot ne sort de ma bouche, je tremble, une fois qu'il a terminé, je m'éloigne de lui, ne pouvant que très peu marcher, il me regarde d'un air méchant et ténébreux, il viens à moi et me murmure à l'oreille. (Ma tendre amie, ne me parler jamais plus comme vous l'avez fait, n'oubliez pas que je suis le roi, et que malgré mes sentiments pour Diane, je suis liés à vous pour l'éternité!)
Il retire ses mains qui serrait les bras, et pars s'allonger dans ses appartements.
Je l'entend dans le couloir crier contre quelqu'un, c'est Diane, elle lui fait une scène!

-Vous êtes encore allez la rejoindre!
-Oui, mais elle est ma femme, et surtout la mère de mes enfant et la Reine!
-Je pensait que j'étais votre seule amour?
-Des demain vous quitterais Saint-Germain-en-laye, repartez à Chenonceau. Je vous rejoindrai dès que possible!
-Elle vous manipule Henri, c'est une sorcière!
-Elle est votre souveraine veillez à la respecté en tant que telle!

Cette dispute me réjouissait au plus au point! Depuis la mort de mon fils Louis, j'ai veiller a ce qu'elle soit loin de moi et de mes enfants.

A SUIVRE...

Catherine de Médicis : La vie d'une Reine.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant