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>soleil couchant couleur vermeil, lent dans sa douleur éclatée, teintée de sang sur le sable et l'eau d'un horizon mourrant,semblable aux draps sombre blanc déposés à même la douceur de rigides pâles et vives moelleuses, rappelant sans cesse ces c...

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>soleil couchant couleur vermeil, lent dans sa douleur éclatée, teintée de sang sur le sable et l'eau d'un horizon mourrant,
semblable aux draps sombre blanc déposés à même la douceur de rigides pâles et vives moelleuses, rappelant sans cesse ces croissants brusquement carressé par d'autres semblables si différent, eux si grincant, blessant les si premiers perdants, torturés par ce sentiment aux douces griffes décharnées d'un ivoire rose;
diable cœur angélique brisé par les coups de tes plumes sombrement lumineuse, mon être repoussé sur ton corps de fer, mécanique de ce que tu as détruit, de mon oubli dans l'incroyable renaissance qui naquit à tes pieds, piétinant les roses vertes de tout ce que je t'ai donné.
offrandes inutiles puisque trop utilisées, usées jusqu'à la carapace pourtant si faible qu'il t'aura suffit d'effleurer de ta tendre main destructrice, d'évanter pour l'éparpiller en milles morceaux uniques et jumelés, cent bouts de papiers irisés battant tes yeux glaçant ma peau disparue, mon seule et multiple bouclier avant que ne s'échoue mes cris de silence strident dans ce calme assourdissant;

va-t-en, laisse moi,
laisse nous vivre folies raisonnées pour oublier ton passage frappé à l'indélébile, éloignes toi de mes cicatrices sanglantes, pansées par ta poigne mutilée que tu ne cesse de rejeter, dégoûté par tes propres actes si honnêtement mal attentionés;
va et reste dans ma tendre souffrance, contaminé demain, désormais tu ne peux plus t'échapper de cette cage aux portes déployées;

ton saint pêché mérite ces pleurs secs dévalant tes chairs explosant du plaisir que tu t'es donné, à me voir me noyer dans mes coussins de soie, m'étouffer dans cette eau, bénite par un être plus humble que toi, terrible chérubin innocent aux pensées fidèles au grand déchu flamboyant.

va et laisse moi dans cette transe mortelle dont tu as essayé de me sortir sans oublier de m'y enfoncer, ne réalisant pas qu'elle te possédait toi aussi, petit à très vite;
car ma présence est et l'aura toujours été, poignantes pensées de paradis au sein de ce monde dévasté par le confort de la beauté, enivré de plaisirs diversifiés dans lesquels tu te seras laissé jeter à coups de canons intense dans mon repos à présent enterré trois pieds sous ciel.

car il aura fallut que par ton innocence et ta pureté, tu te fasses porter par ces douces redoutées, que tu te laisses tenter par le possible dégoûtant, mais impuni pourtant, à ta main porté; est-ce pour celà qu'à ce jour règne l'impureté?

voleur de nuit éblouissante, profiter ainsi de mon handicap spirituel, de mon heure de liberté, me priver ainsi d'un jour retrouver confiance en la fourberie maladive de l'inconscient était-il ton souhait?

ocre est aujourd'hui la couleur de mes vies, noire est ma lumière et blancs sont mes pêchés; rouges est mon repos tandis que bleus sont mes démons; tendre diable, t'avoir laissé sans craintes chambouler mon existence si pitoyablement exquise est sûrement le plus doux de mes regrets.

car je t'ai aimé, je t'haine et je t'oublierais;

mais jamais je n'oublierais ce qui a été fait,

jamais ne disparaîtront ces plaies de tendresses que tu as laissées.


puisqu'aujourd'hui,

marquée,
souriant à larmes glacées,
on n'a cessé de me répéter,

"c'est jolie comme couleur, le violet."

si quelqu'un m'entend,me comprend,qu'il oublie ma hainema peinecar je le supplie de me venir en aide

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si quelqu'un m'entend,
me comprend,
qu'il oublie ma haine
ma peine
car je le supplie de me venir en aide

et d'achever mon cœur battant.

je ne désire pas donner de sens à mes mots,puisqu'il faudrait avant tout que j'en donne à ma vie;

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je ne désire pas donner de sens à mes mots,
puisqu'il faudrait avant tout que j'en donne à ma vie;

je refuse de vivre.








-s.












(je corrigerais (peut-être) mes fautes plus tard)
(de toute façon personne ne lit)

i slept w/ my deathOù les histoires vivent. Découvrez maintenant