Le jugement dernier

15 0 0
                                    

J'étais encore plus vu comme le diable depuis que je picolais comme un trou, mon avocate n'avais malheureusement rien trouvé qui pourrait joué en ma faveur, ceux qui étaient derrière tout ça étaient bien déterminé à me faire plonger. Je suis arrivé à peu près sobre au tribunal. Mes voisins étaient présents ainsi que mes collègues de boulot, par chance je n'étais pas un mec à problèmes donc je comptais sur leur soutien, un à un ils ont été appeler et mes sale connards de voisins ont été raconter que je me prenais souvent la tête avec ma femme et que j'étais très strict avec ma fille, mes collègues de boulot ont été dire quant à eux que je picolais comme un trou sur mon lieu de travail, bref tous des langues de pute, j'étais déjà au fond du trou et ces bâtards m'ont envoyé une pelle pour que je creuse encore plus profond, j'ai alors été appeler à la barre et interrogé par mon avocate :

"Monsieur Bartel où étiez vous et que faisiez vous lorsque votre femme a été assassiné ?"

"J'étais chez moi attaché à une chaise par les vrais coupables qui cours toujours pendant que l'on m'accuse !"

Je répétais toujours la même chose mais rien à faire, la justice est vraiment trop limitée pour me comprendre. Après quatre longues heures le verdict est enfin tombé. En tapant avec son marteau le juge a déclaré:

"Monsieur David Sleyard Bartel je vous déclare coupable du meurtre de votre femme, madame Taylor Kaylee Bartel Momfrey, ainsi que de la séquestration dans un lieu inconnu et du meurtre présumé de votre fille mademoiselle Vanessa Rose Bartel, vous serez emmené à la prison de haute sécurité pour purger votre une double peine de prison à perpétuité."

J'étais tellement anéanti que je n'arrivais même plus à bouger, tout mon corps s'est paralysé, les flics m'ont alors chopé pour me mettre les menottes et me traîner jusqu'à la bagnole qui me conduirait droit en enfer, en descendant les marches du palais de justice j'ai vu toutes ces ordures de journalistes qui me demandais pourquoi j'avais fais ça, mais dans cette foule j'ai aperçu une jeune journaliste brune aux yeux bleus qui avait l'air de me croire innocent. Une fois dans la voiture ces connards de flics m'ont tabasser de sorte à que mes blessures ne se voient pas. Après trente minutes j'arrivais en enfer et les flics m'ont jetés à terre, les gardes m'ont ramassés et j'ai passé les porte de la prison.

Déscente aux enfersOù les histoires vivent. Découvrez maintenant