Poème 1

13 5 2
                                    

Ce poème date de cette année :

La façade du théâtre, reine qui veille depuis déjà longtemps,

La fontaine déversant ses larmes de joie devant les passants en émoi,

Qui laissent flotter un léger sourire sur leurs lèvres glacées de froid,

Les pavés, usés par le passage du temps qui efface les souvenirs,

Les cafés bondés d'hommes et de femmes attirés par la délicate odeur de plaisir,

Les oiseaux, ombres passagères, piaillant au-dessus de leurs yeux émerveillés,

Mais voilà l'heure du réveil qui arrive et me sort de ce monde coloré.

Bubulle

Rant book d'une BulleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant