The Black Year (french)

Chapitre 2

-------••CHAPITRE••DEUXIÈME••-------

À mon réveille, le soleil est toujours aussi radieux. Je sens une présence dans ma chambre. Je lève doucement les yeux et je vois Guillaume qui dort sur le fauteuil de ma chambre. Il est tellement craquant avec c'est petit cheveux qui dépasse de son front vers son oreille, c'est cils qui ne sont ni trop long ni trop court asser ondulés son si parfait sur lui et c'est sourcils sont asser epais mais asser fin d'une couleur foncés tirant vers le clair avec c'est petit yeux en forme d'amande qui ressorte un peu. Il a l'air d'un ange. Mais que fait-il dans ma chambre? Et qu'est-ce-que je fais à le dévisager ainsi!

Quelque minutes plus tard, c'est petit yeux rouge de fatigue s'ouvrent tranquilement, tout en réalisant qu'il est dans ma chambre je l'entend murmurer quelque chose que je ne peu distinguer..

- Bon matin! Lui dis-je.

- Bon matin! Me souria t'il.

Quelle joli sourire.. Non de dieux Pay, ressaisis toi!

- Que fais tu dans ma chambre si tôt le matin? Lui demandais-je intriguée.

- Je.. Euh'm. Béggailla t'il. Je voulais t'emmener déjeuner à la cafetériat..!

- Ah oui? Tu crois que j'ai le droit? Demandais-je.

- Je pense bien que oui vu qu'hier tu pouvais. dit-il avec un sourir charmeur.

- Bon et bien allons-y ! Lui souriais-je.

Il me retourna le sourir alors que je me leva de mon lit. Ma tête tourne un peu mais c'est surement dut à la fatigue. Je marcha de mon lit tranquilement jusqua arriver jusqua la porte, la où est Guillaume. Nous marchons et discutons tranquilement dans les corridors jusqu'a-ce-que je glisse sur le placher et sans me rendre compte, je pris la main de Guillaume et je l'entraina au sol avec moi. Il tomba sur moi. Qu'elle visage merveilleux. Asser carré mais asser rond, avec des petites faussettes. Ok Payton, Guillaume est sur toi mais qu'as tu fais?!

- Oh je.. Désolée.. Répondis-je gênée.

- Ce n'est pas grave. Dit-il en souriant.

Wow.

Il se leva et pris ma main délicatement en m'aidant à me lever tout doucement.

Et puis, des infirmières arrivèrent en trombe pour me demander si j'allais bien.

- Ça-va?

- As-tu de la douleur quelque part?

- Qu'est-il arriver? Me demandent t'elles.

- Oui je vais bien, non je n'ai pas de douleur et rien, le plancher étais légèrement mouillé c'est tout. Répondis-je exaspérée de l'attention qu'elle me porte.

Elles me mirent tout de même un brassard pour prendre ma tension, mon bras me sert un peu mais c'est supportable et elles prirent aussi ma température.

Guillaume ne m'a pas encore lâcher la main donc je ne l'enlèverai certainement pas. Les tuiles sur lesquelle je marche sont de couleur beige tirant vers le gris, asser fade. Mais qu'est-ce-que j'espérais, nous sommes dans un hopital! Par la faute de ma chute, tout les passants et les personnes âgés nous regardaient bizzarement. Ou c'est peut-être dut au fait que la main de Guillaume est entre la mienne..

Je me fatigue souvent c'est temps si. Nous nous sommes donc assis sur un banc de l'hopital près d'une femme et de son petit garçon. Il a l'air jeune, je dirais vers les six, sept ans. Il est mignon avec c'est grand yeux vert. Il n'arrête pas de nous fixer, c'est bizzard. La main chaude de Guillaume est toujours entre la mienne lorsque la femme se leva pour aller se chercher a boire près des distributeurs, le petit garçon s'approcha de nous et nous fixa de c'est grand yeux vert.