Les moteurs résonnaient tellement fort à l'arrière du train que pour les résidents il était désormais impossible de définir ce qu'était le vrai silence. Et encore,le silence n'est pas quelque chose d'envisageable en collectivité. Ici pas de cabines , pas de coin à soit ou à sa famille, ici à l'arrière du train on survit.tous ensemble.
« Et Bell lâche nous ce carnet tu veux ! Et écrit plutôt une histoire sur moi !» s'écria mon collègue et partiellement mon meilleure amie John Murphy. Je ris puis arrêta d'écrire et sortit de mon lit pour atteindre mon meilleur ami en bah. A l'arrière il y a beaucoup de gens et très peu de place alors nous avons un couloir unique et des sortes de boxes créant des petits étages ne possédant assez de place que pour y mettre un lit simple.
« Une histoire sur toi serait chiante à mourrir Murphy » répondis je du tac au tac. Je sautais du dernier échelons de l'échelle pour atterrir en face de john qui m'accueilli avec un sourire en coin.
« Tu as finit les plans ? » me Demanda Finn qui arriva vers nous.
« Pas encore. il me manque des informations »
« J'en ai marre ! D'attendre» soupira John avec une pointe d'agacement dans la voie.Je n'eu pas le temps de lui répondre que l'alarme retenti même si j'étais plutôt respecter ici, tous le monde se précipita vers l'avant du compartiment en nous bousculant au passage. C'était l'heure du ravitaillement et du comptage. Ici, à l'arrière , on est traités comme du bétail. On s'alignent, les gardes comptent les rangés histoire de voir si on est toujours vivant , nous distribue notre bouffe et s'en vont.Dans le train ce qui ne devait être qu'un voyage temporaire le temps que les températures baissent c'était transformé en voyage sans fin et les places qui n'était que futiles sont devenue des classes sociales : économiques,la business et la 1ère classe, à l'avant.Chaque compartiment est fermés par des portes automatiques.Il n'y à aucun moyen pour personne de monter et changer de classe on peux juste descendre.
Les portes s'ouvrent une par une nous laissant voir des gardes arrivés armés les uns après les autres.
« Comptage.» informa un garde à un autre.
« Ok »Cela était devenu banal pour eux de nous voir comme ça. Une routine. Après tout nous étions en 2030, 13 ans déjà ...
Le garde souffla puis commença « on se recule, assis par terre, ok ..1..2..3...»
Les rangs s'abaissait au fur et à mesure qu'il comptait les gens s'asseyant à même le sol attendant qu'il est finis pour enfin avoir leurs ration.
« 5...6...plus vite ! ..7 ..8 .. aller !»
Les clics du compteur me rendait fou. Tandis que mon rangs était entrain de se baisser et que les rangés suivante aussi , je rester debout,concentré.
« Toi,là assis.» me dis sèchement le garde en commençant à poser ça main sur son arme.
« Bellamy, tu attend quoi !» me chuchota Murphy,lui agenouiller comme tout le monde
Je ne lui répondis pas concentré à regarder les portes automatiques se refermer une par une, elles ne restaient qu'une dizaine de seconde a peine, il me fallait savoir combien. Le garde qui s'était avancé devant moi brandit son armes
« Assis toi. J'ai dit assis toi !» s'énerve t-il.
Je fis un de mes plus beau regards noir, le défiant puis m'assis lentement fixant la dernière porte qui venait de se fermer.
« Qu'est ce que tu foutais putain de merde.» continua de chuchoter Murphy.
« Je compte. » lui répondis je fixant toujours là dernière porte qui venait de se rouvrir.Tandis que Murphy s'obstinait à chuchoter, je parler moi à voix haute, de toute façon avec le vacarme du train et les toussotements de certains pas de raison de s'en faire.
« Et tu pouvais pas compté assis plutôt que de risquer de se faire descendre! » répliqua sarcastiquement mon meilleur amis
« Ferme la. Je réfléchis »Un garde venait d'entrer et discuta avec ce qui nous avaient compter pour finalement ce retourner vers nous, toujours assis, tel des prisonniers qu'on envoie au bagne.Quoique ceci était un euphémisme nous étions déjà en prison dans ce cercueil sur rails.
« Ok tout le monde. Est ce que parmis vous il y a un violoniste qui assure ? Vous levez la main.»
N'ayant pas de réponse il reposa ça question en mimant les gestes car même si l'anglais était la langue choisit dans le train certain surtout à l'arrière ne l'avait pas apprise.
« Un...V.I.O.L.O.N.I.S.T.E qui assure »
Le chariot où se trouvait nos rations arriva en même temps.
« On se lève, on approche » nous fi signe un autre gardesMurphy en se levant remis avec nonchalance ses mains dans ses poches.
« un violoniste?! Ils sont grave !On est pas leur esclave à ses connards de l'avant !» dis sèchement Murphy visiblement agacé tout comme moi de la situation.
Nous continuâmes à discuter tandis que nous nous mettions en file indienne pour enfin pouvoir manger.
« Ça bouffe du steack, sa écoute de la grande musique, puis quoi encore ?!» s'indigna Murphy. « Je suis sur qu'il ne tiendrais même pas une journée chez nous !»
« Quand on sera à leur place tous sera différents...»Murphy pris son carrée de gélatine qui faisait office de portions. C'était vraiment répugnant mais voilà 8 ans que nous ne mangions que ça car apparemment les dorés commencés à ce faire rare et que ceci contenait tous les nutriments dont nous avions besoin.
« Je veux un steack » grogna murphyNotre discutions se fit interrompre par Henri et sa femme qui venait à la rencontre du garde juste à côté de nous.
« monsieur, ma femme et moi avons jouer au fil harmonique de Boston. J'étais premier violons.»
Le garde scruta les deux personnes âgées d'un air incertains
« vous savez encore jouer ? »
« bah bien sûr ces choses là ne s'oublient pas ! »
« Ok montrer moi vos mains. »Il examina les plus propres et pointa Henri
« toi viens avec moi et laisse tes affaires on ne veux que tes mains. »
Il regarda sa femme et la pris pas les épaules
« qu..quoi pas les deux ?»
« si tes deux mains.» répondit le garde en se retournant blasé
« Ma femme Daurice, joue à merveille, mieux que moi je dirais !» Tenta une dernière fois Henri
« Ils ne veulent qu'une personne » répondit froidement le garde qui commencé à s'agacer.Henri parut hésiter puis se repris. Releva la tête et tourna les talons avec sa femme
« et bien qu'ils la trouve ailleurs !» dit il fermement
Malgré les avertissements de chacun le couple ne vis pas le garde se précipiter sur Daurice pour lui donner un coup de crampe dans la tête la faisant tomber à terre sous les cris de Henri et avant qu'il ne puisse faire quelque chose un autre garde écrasa les mains de la veilles dame,qui hurla à la mort.
« tous à terre ! Assis à terre !» cria un autre garde qui brandissait son arme sur la foule.
Je m'assis immédiatement mais cette fois c'était Murphy qui voulait jouer les héros
« Assis toi !» lui ordonnais je
« Mais on peux pas les laisser comme ça ! »
« Assis !»Il souffla puis s'assis à mes côtés ne pouvant que regarder la scène comme tout le monde.
« C'est fils de pute !» soupira t-il
« C'est pas encore le moment »lui dis Je froidement.
« Et c'est quand le moment ?!»J'attendis quelque secondes avant de lui répondre. Je savais que même si notre conversation était privée , les gens autour de nous ne perdait pas une miette de mes paroles et je ne voulais pas les enflammer pour rien. Murphy lui me regarder avec insistance.
« Bientôt. » fut les seules mots qui sortirent de ma bouche.
J-5: le plan est en marche
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The Snowpiercer - [ Bellamy Blake ]
Action" - 2017, la Terre a atteint un seuil de non retour au niveau du réchauffement climatique . -Bonjour nous sommes le 1er juillet 2018, il est actuellement 6h et nous sommes en direct du dernier aéroport au monde qui s'apprête à lancer CW7 - Ce pro...