*Le noir complet, aucune chaleur, aucune lumière, rien qui ne m'inspirait confiance. Seul ce panneau était éclairé ; Voie E. Les autres voies ne l'étaient pas, seul elle était éclairée. Un vent glacial passa au dessus de ma tête. J'avais peur, mais ce panneau illuminé me donnait un léger espoir.
Un train entra en gare, qui fit éclairer l'ensemble du quai. Il n'y avait qu'un petit garçon, qui attendait sagement que la porte du train s'ouvre pour pouvoir monter.
La neige commença à tomber, et le ciel devint blanc. Je couru me mettre à l'abri, mais toute les portes étaient fermées. Que faire ? Je suis seul, sous la neige, dans le froid, et par dessus tout ; j'avais peur... 20 minutes c'étaient écoulées, seulement 20 minutes...
Un jeune homme s'approcha de moi, et me demanda de le suivre.
Pourquoi devrais-je accepter ? Vais-je mourir ? Va-t-il me torturer ? Ou encore, me violer ? Peu m'importe, je suis déjà loin de lui.*J'entendis une petite voix me dire "vient, suis moi". Pourquoi devrais-je l'écouter ? Malgré que je sois terrifié, j'avais arrêter de l'écouter. Il y avais beaucoup trop de petites voix autour de moi qui chuchotaient, certaines disaient "1,2,3 je vais t'ouvrir le bras, 4,5,6 en utilisant ma scie, 7,8,9 je t’ôterais le cœur." pendant que d'autres disaient "jamais tu ne rentrera, tu es à moi pour toujours ! Ton âme est mienne maintenant".
Le diable tourne autour de moi, je le sais, je le sens.*Je traversais ce champs à une vitesse folle. J'étais seul, et pourtant j'avais l'impression que quelqu'un, ou quelque chose, me suivait, alors je jouait avec cette chose qui me poursuivait.
Je souriais, mais j'avais peur.
Il est 15h30, elle ne m'a pas encore trouvé mais je continuais à courir.
C'est trop tard, elle m'a retrouvée. J'allai mourir ici, tel un chien que l'on maltraite.*Samedi 23 Mai. Ce chiffre me poursuit depuis mon adolescence. Comment m'en débarrasser ? C'est impossible, il occupe déjà mes pensées. C'est une déchirante odyssée dans la paranoïa, une des plus horrifiantes métamorphoses que l'on puisse connaitre. Ça représente les 23 actions de la géométrie de Die.
Le corps humain est composé de 46 chromosomes, y en a 23 de chaque parents. 2÷3 ça fait 0,666, le chiffre du diable. L'horloge est à 11h12 exactement, 11+12=23, anniversaire 23, permis de conduire, numéro de fixe, toujours 23. Ce nombre, qu'est-ce qu'il signifie !
L'enfer t'attend avec ce chiffre. Il l'entraîne dans une parano inexplicable, car personne ne s'en souvient après. Soit ils sont placés en hôpital psychiatrique, soit ils meurent.*C'était le Vendredi 13 du mois. Jack n'avait plus de visions, et nous étions en plein automne. Les feuilles orange/marron tombèrent au sol délicatement.
Mais évidemment, ce jour ne pouvait être tranquille. Une 10ène de morts ont étaient retrouvé chez eux, dont Jack, retrouvé mort dans sa baignoire, les veines ouvertes.*Ce soir c'est la pleine lune. Aller, encore une soirée sans dormir. Comme chaque soir de pleine lune j'essayais de fermer les yeux, mais le sommeil ne vient pas. Que faire, sortir faire un tour ? Pourquoi pas. Je mis mes chaussures et sortis. La lune est si belle, elle éclairait toute la ville, c'est magnifique. Mais les nuits comme celles-ci ne sont pas tranquilles, car ce sont les nuits de purges.
*31 Octobre 1986.
C'est mon 20ème Halloween dans ce monde complètement stupide. Aller, sort et fait peur eux enfants, c'est peut être ton dernier Halloween Edward.
Je suis dehors, avec ma camionnette et ma hache à la main. Je me gare en plein milieu du centre ville, et j'attends.
J'attends quoi me demandes-tu ? Que les enfants passent à côtés de moi, pour pouvoir arracher leur organes et les pendre au fond de mon camion, et me remplir l'estomac de leur sang, en cette belle soirée d'Halloween.* Tu veux être mon ami Célia ? Mais ce n'est pas possible. J'ai des tendances psychopathes et meurtrières aussi. J'aurai trop envie de t'attacher sur une table d'opération, de préparer mes instruments de torture sous tes yeux. Ensuite, je placerais une 10ène de lames de rasoirs devant ton visage pour y extraire ta laideur.
Alors si tu veux être mon amie, écoute moi et ferme la : on va jouer à un jeu. Ta vie n'a était que mensonge. Voici venu ton heure de vérité. En tant que drogué et malfaiteur, tu as profité de la gentillesse des autres, pour alimenter ton addiction. Aujourd'hui, nous allons exposer ta laideur au grand jour. Alors si tu veux rester en vie, tu vas modeler ton visage, à la laideur de ton âme.*Je vais te dire, ce n'est pas une bonne idée que l'on reste amis.
Pourquoi ? Parce que je ne suis pas fréquentable. J'ai étais en prison pendant plus de 10 ans pour meurtres. Certes, j'ai changé, mais je ne veut pas prendre de risque.
Ce que j'ai fais ? J'ai torturé des gens, comme jamais tu n'as vu quelqu'un être torturé. J'ai enfermé bien des personnes dans une cave, je les ai attachés, torturés, fait pleurer ; certains en sont même devenus fous, et sont enfermés en Hôpital Psychiatrique à l'heure où je te parle. J'ai attaché des adolescentes de 13 à 19 ans sur une chaise, avec des lames de rasoirs au niveau des poignets, car elle voulaient mourir. J'ai violé à mort des enfants de 6 à 8 ans. J'ai effectué plusieurs tests sur des êtres humains encore en vie, pour voir jusqu'où le corps humain et son organisme pouvait aller, mais seulement 3 personnes sur 20 ont réussi ces tests. C'est fou la façon dont l'homme peu penser, réfléchir et agir quand la mort lui ouvre les bras, alors qu'il l'a appelé lui même. Tout ceci c'est passé il y a 10 ans maintenant, mais j'ai aimé faire ces tests sur l'homme, et je ne dirais pas non pour pouvoir recommencer. Alors non, ce n'est pas possible de rester amis ; à moins que tu veuille devenir le cobaye de mon prochain jeu. Mais je ne pense pas que tu veuilles t'exposer à la mort.*A partir de ce jour, il a était mon pire cauchemar. Je n'arrive pas à le sortir de ma tête, pourtant, c'est juste mon imagination, mais non, il ne veut pas sortir de mes pensées. Il me hante, me rend complètement folle, mais je ne veut pas me faire aidée. Je me sens bien avec ce démon en moi.
*Je m'appelle Jon, Jon Becher. J'ai été assassiné le 31 Octobre 1967. Je n'avais que 18 ans. Ma mort n'a pas était l'une des plus tranquilles. Je rentrais chez moi, comme a mon habitude, je me suis arrêté chez ce vieil homme pour prendre une pomme. Mais il n'y avait pas seulement le pommier qui m'attendait, il était là, caché derrière les sapins, et il m'observait. Il m'a suivi jusqu'au parc qu'il y a à côtés de mon domicile, et à cet instant, il m'a couru après avec sa hachette a la main, et me l'a enfoncé dans le dos. Puis il m'a coupé les 2 jambes, les 2 bras et ensuite il m'a coupé la tête. Après cette horrible boucherie, il a disposé les différentes parties de mon corps dans le jardin de mes parents, et dans celui de ma copine. Et chaque soir d'Halloween, il tue à nouveau une personne, et se baigne dans son propre sang.
*Ce soir là, je suis rentré chez moi au alentours de 3h du matin. Mon fils était couché depuis 21h30, et ma femme aussi. Je monta discrètement et alla me couchée au près de ma bien aimée. Je ne me rappelle pas avoir bu, pourtant Jack et Henri, mes 2 copains d'enfance, morts d'un accident de voiture, étaient avec moi ce soir là... Je voulu me rapprocher de ma femme, mais le téléphone sonna ; c'était l'hôpital du centre, pour annoncer à ma tendre épouse que je venais de perdre la vie dans un accident de voiture en partant du bar.
*Non, je suis pas comme tout le monde. Je suis complètement dérangé, je ne le nie pas. J'ai souvent pensé à torturer physiquement et mentalement quelqu'un, j'ai souvent rêvé de voir une personne me supplier de la relâcher, de me supplier de ne pas la tuer parce qu'il a une famille, de me supplier de la laisser partir en me demandant quelle somme d'argent je voulais.
J'ai même rêvé d'enlever un oeil à quelqu'un, et de l'enfermer dans un bocal avec de l'eau et de le rajouter à ma collection. Mais je n'ai jamais osé le faire. Non par peur du sang, tout simplement parce que je n'ai jamais trouvé LA bonne personne à torturer. Pourtant, je l'imagine, j'en rêve, mais je ne le fait pas. Mais chaque fois que j'y pense, je sourie ; je me sens bien en y pensant.
Non, ce n'est pas une addiction, je dirais plutôt un plaisir personnel ; un peu comme une drogue. Oui c'est ça, une drogue dont je suis devenu addict.
Une drogue tellement forte, que s'en est difficile d'en sortir. Oui, j'ai besoin d'aller voir un psychologue et un psychiatre, mais eux même deviendraient fou.
Alors les médecins ne me diagnostic pas, ils ne me donnent même plus de rendez-vous pour comprendre ce que j'ai.
Pourtant je suis partie en Hôpital Psychiatrique, mais les médecins de l'hôpital sont devenus aussi fous que moi.
J'aime torturer, j'aime faire souffrir, j'aime que mes victimes me supplie de les relâcher.
Je suis devenu addict à la torture, je ne peu plus m'en passer.