Je longeais la rue south san city pour me rendre chez mon amie Aschley. Ce quartier était vraiment propre. L'un des plus propres de la ville. Normal il y'avait beaucoup de riches par ici. Parmi eux mon amie Aschley. Elle vivait dans une belle demeure à holyday city. Un château je dirais même. Son père possédait l'une des plus vastes chaînes de production de voitures du pays et sa mère travaillait pour une organisation à but humanitaire. Donc elle voyage beaucoup.
Je me souviens de la première fois qu'on s'étaient parlées elle et moi. Ce jour là, ma mère et moi allions pour m'inscrire au lycée de cleverley. J'étais assise sur le banc d'attente tandis que ma mère était dans le bureau du proviseurs. j'avais onze ans. C'est alors que je vis une dame mince,cheveux bruns aux allures de mannequin,très belle, qui approchait avec sa progéniture une fille. Arrivée à ma hauteur elle me saluèrent tous deux d'un ton aimable. Je dois avouer que Aschley dans sa robe fleurie et ses cheveux soyeux ressemblait plus à une Princesse sortie tout droit de Disney.
-Dis Aschley ,tu m'attends ici
C'était sa mère. -OK maman. -Alors comme tu t'appelles Aschley dis-je quand sa mère se fut éloignée. -Oui et toi?
-Agatha.
-Toi aussi t'es en première année ? Demanda t'elle.
-Oui et en plus je suis nouvelle dans le pays. T'es plutôt jolie dis donc.
-Merci mais bon
-Quoi ? C'était juste un compliment. Rien de bien méchant.
-Je sais. C'est juste que je ne prête pas trop attention à ce genre de détails. C'est ma mère qui s'en charge et je dois dire que j'aime pas trop ça.
-De quoi tu parle?
-Je parle du chauffeur, des domestiques ,les répétiteurs... Bref tout ce bric à brac donc on me surcharge.
- Tu n'as qu'à dire à tes parents que tu n'en veux pas.
-Plus facile à dire qu'à faire.voilà ma mère qui reviens.
En effet sa mère revenait, chargée d'un plastique à la main . Ma mère sortit au même instant et je me levais.
-Allons-y.
Je me tournais vers Aschley.
-Au revoir.
-Je souhaites que nous soyons dans la même classe, avait-elle dit.
-Moi aussi.
Et je suivis ma mère qui s'éloignait déjà.
-Je vois que tu t'es faite une nouvelle amie.
-Oui. Elle est très sympa.
A la rentrée des classes, j'avais été heureuse de voir que Aschley et moi étions dans la même salle de classe comme nous l'avions espéré. Je m'étais aussi très vite aperçue qu'elle était très intelligente. C'était même la plus brillante de la classe. Nous bavardions, partagions nos repas et visitons la famille de l'une et de l'autre. Ce qui m'avait permis de faire la connaissance de sa mère, sa soeur Éva et de connaitre ma mère, Boby et Aïcha deux cousins à moi qui venait souvent passer quelques jours à la maisons. Bref toutes nos activités avaient renforcé notre amitié.
Mais bon. Je m'étais perdue dans mes pensées. Je tournais maintenant à droite et longeais le trottoir de la la rue Buckingham. Des lampadaires installés de chaque côté bordaient la rue, séparés par des intervalles réguliers. Seul le bruit que faisaient les voitures brisait le silence qui régnait dans le quartier. Ce quartier était réputé pour ses belles et grandes villas. Avec ses rues toujours propres et bien entretenues.
J'arrivais enfin devant le portail d'Aschley. Sincèrement, les dimensions de cette maison m'etonnerons toujours. Tel un hôtel, non un château avec sa forêt de pins, ses piscines et son terrain de golf. La première fous que nous avions parlé ensemble Aschley et moi, je ne pouvais pas imaginer qu'elle vivait dans un tel luxe. Elle était très simplement habillée, pas arrogante comme certains et c'est ça qui me plaisait chez elle.
-Tu sais je t'envis beaucoup, lui disais-je souvent.
-Pourquoi ?
-Tu vis dans une belle maison. Tu as toutes sortes d'activités à ta disposition.
-Tu dis cela trop vite je t'assure. Vivre dans une maison où tu ne peux pas sortir de dégourdir les jambes ou jouer avec d'autres enfants n'a rien d'excitant. Sois disant que tu n'es pas de la basse société. On se croirait au 17ème siècle. En plus je suis toujours accompagnée d'un chauffeur. Comme si j'en avais besoin. On dirait que j'étais un oeufs.
Du coup, après ses discours, je me disais que je suis mieux qu'elle.
Je sonnais. Un instant plus tard la voix d'Aschley retentit dans le micro.
-Qui est ce?
-Moi. Agatha.
-Ah! Attends j'ouvre.
Je reculais, sachant très bien ce qui allait se passer. Un déclic se fit entendre et les portes s'ouvrirent seules en pivotant sur leurs axes. J'entrais.
-Jr n'étais pas sûre que j'allais te revoir de su tôt dit-elle.
-Eh bien, je suis rentrée de chez ma grand-mère hier. Et tes vacances comment étaient-ils?
-Pas mal. Nous avons fait un moi aux Etats-unis, au Brésil. Puis un petit détour au Maroc et nous voici de retour.
-Eh bien!
- Et toi?
-L'Égypte. Et je t'assure les pyramides sont magnifiques. Le Cameroun. Tu devrais y aller un jour. Les peintres y sont doués, leurs construction aussi. Que dire de ce château là... J'ai oublié le nom du propriétaire. La plage aussi. Et enfin la France.
-Allez viens.
À peine j'entrais, qu'eva sautait sur moi.
-Doucement dis-je en souriant.
-J'avais tellement hâte de te voir s'empressa t'elle de dire.
-Moi aussi eva. Alors tes vacances?
-Merveilleux.
-Moi aussi. Bonjour mrs schonley.
-Bonjour agatha. Comment tu vas?
-Bien. Je me portes bien.
-Tant mieux. Je n'aimerais pas que quelque chose t'arrive reprit-elle resplendissante dans sa robe, un sourire accroché aux lèvres.
Cette femme m'avait toujours parût très jeune. Malgré qu'elle frôlait déjà la quarantaine. Elle était aussi jeune et souriante, resplendissante dans ses robes qu'une fille de vingt-cinq ans.
J'allais m'asseoir à côté d'aschley et eva.
-Qu'est ce que vous faites ? Je demandais.
-Nos devoirs furent-elles en chœur.
-Vos devoirs ? Mais les classes n'ont même pas encore recommencé
-Justement, maman nous a déjà payé tout un tas de répétiteur. Dit aschley.
-Mais c'est pas vrai.
-Si. C'est vrai me dit eva.
-Moi je profiterais encore un peu de mes vacances. Et puis je passais pour qu'on puisse aller se balader un peu.
-Désolé. Dit aschley. Tu va attendre encore un peu. Le temps que je les finisses ces devoirs.
-Pas de problème. Prend tout ton temps. Après tout. C'est super. Pendant que tu souffres sur tes devoirs. Moi je visionne. Ça me semble une bonne idée.
-C'est ça. Profite de cet instant.
-Tu l'as dit.
Je m'éloignais d'elles et allais m'installer dans un énorme fauteuils près de la télévision. La mère d'aschley m'apporta des caramels, de petits gateaux et tout autre chose à grignoter. N'avait rien d'intéressant à la télé. Je me contentais d'un documentaire sur les dragons. De temps en temps je m'approchais d'aschley pour voir où elle en était et pour savourer mes gâteaux devant elle.
-Enfin j'ai fini. Dit eva.
-Moi de même dit aschley. Mais j'ai un bricolé.
Elle monta changer de vêtement avant de redescendre.
-Allons-y dit elle.
-Pas si vite.Mrs schonley était apparue. Vous mangez d'abord.
-On mangera à notre retour. Dit aschley.
-Non. D'ici la nourriture refroidira.
Mrs schonley, insista et l'on resta pour manger. Le repas était si délicieux. J'étais pleine après avoir fini. Nous restâmes encore un peu avant de partir.
-Où est ce que miss part. Avait demandé Gilbert le chauffeur.
-Pas la peine Gilbert. Nous marcherons.
-Mais...
-T'inquiète maman est au courant.
-Faites attention.
-Compte sur nous.
Nous sortîmes à l'extérieur. J'apercevais toujours Gilbert qui nous suivait du regard. Le pauvre, il tenait tant à son travail. Bous prîmes la direction de substation drive, vers la forêt interdite. Nous marchions pendant une demi heure parlant de tout et de rien. nous discutions sur notre avenir. Les projets qu'on avaient en tête. Moi particulièrement, je souhaitais être architecte, car la construction me fascinait. Les gratte-ciel. J'aimerais en construire un un jour. Quant à aschley, sa passion c'était la médecine. Elle aimerait sauver des vies quand elle sera plus grande. Ça l'embêtait de voir quelqu'un de son entourage souffrir d'une maladie grave. Nous arrivions enfin aux abords de la forêt. La forêt interdite pour être plus précis. Cette forêt était particulièrement lugubre. Les gens n'aimaient pas s'y aventurer de trop près. L'on raconte même que tout ceux qui y entrent n'en ressortent pas. Sans doute des conséquences de vieux contes destinés à faire peur aux enfants.
Sortie de mes pensées, je me rendis compte que nous étions allées un peu trop près
-on devrait rentrer. Je disais, à aschley.
Elle secoua la tête en guise de réponse.
Un papillon blanc lançant des airs mélodieux passait à ce moment. Il ee dirigeait vers la forêt. Il semblait nous inviter à le suivre. "Inviter" n'est pas le mot. Il nous obligeait à le suivre car pendant une brève période de temps je ne contrôlait plus mes jambes. Une sorte d'aimant caché nous attirait vers la forêt. Le papillon continuait de lancer ses airs.
Soudain j'étais au sol. Le contrôle de mes jambes m'était revenu.
- Que se passe t'il ? Demanda aschley
-Je n'en sais rien. Je suis aussi confuse que toi.
-Le mieux serait de faire demi tour.
Trop tard. Dans ce qui avait semblé être une fraction de seconde, nous étions déjà dans la forêt et une brûme épaisse commençait à se former. Je sentais les gouttelettes de sueur perler dans mon dos. On s'était mises à avancer à pas lent. Ne sachant vers où nous nous dirigions. Nous avions juste pris le chemin opposé à celui de notre entrée.
J'apercevais au loin ce qui me semblait être la sortie... Non les contours se dessinaient. C'était une maison. "oh bon Dieu!où sommes nous ?" je m'écriais dans mon cœur.
C'était une vieille maison. Elle semblait abandonnée. Je me demandais ce qu'elle pouvait bien faire là. Au milieu de tout ces arbres. La brûme était devenue de plus en plus épaisse. Nous n'avions aucune issue pour sortir de la forêt.
-on ferait peut être mieux d'y jeter un coup d'œil. Dit aschley en pointant du doigt la maison.
-Tu as raison.
Nous n'avions vraiment pas le choix. Soit nous entrions en attendant que la brûme disparaisse soit on essayait de trouver une sortie et on tombait sur des animaux sauvages. Le première option était la meilleure.
On entrait. On se retrouvait dans ce qui avait pu être le salon. La pièce était sombre. À ce moment là, je rermerciais aschley d'avoir prise la peine de venir avec son téléphone portable qui nous procurait un peu de lumière. Les fauteuils étaient miteux. Le sol en plancher bois était moisis. Les rideaux étaient mangés au mites et l'on pouvait sentir les champignons au bout des doigts lorsqu'on effleurant le mur. Certains rideaux étaient comme immatriculés de sang. Quelle horreur. Notre attention fut captée par un bruit qui venait de derrière une porte à l'autre bout de la pièce. Lorsqu'on s'approchait de plus près, je me rendis compte que tout avait pu vieillir dans cette maison sauf cette porte. Elle semblait avait été installé là il n'y a pas longtemps. Son poignée était en or.
-Cette porte m'a l'air toute neuve dit aschley. C'est bizarre.
- Je l'avais remarqué. J'ai cru entendre un bruit venait d'ici.
Je m'apprêtais à mettre la main sur la poignée lorsque aschley s'écria.
-Tiens ces lettres viennent d'apparaître où je rêve !
Je levais la tête. Effectivement je ne me rappelais pas avoir vu ces écrit aux lorsque nous nous sommes pointées devant cette porte. Je l'aurais remarqué si cela avait été la cas. Les lettres brillaient de tout éclat.
Un autre bruit se fit entendre et je sursautais. J'ouvris la porte doucement. Grande surprise, il n'y avait rien ni personne dans la pièce si ce n'est la table qui s'y trouvait au milieu avec une sorte de sablier posé dessus. Le sable y coulait avec une lenteur incroyable. Seul cette pièce de la maison était éclairée avec des fenêtres qui claquaient de temps en temps. C'était sûrement ça le bruit que nous avons perçu étant de l'autre côté.
Vu de l'extérieur cette pièces étaient faites en planches délabrés, mais à l'intérieur c'était tout autre chose. Elle semblait entièrement faite de marbre orné de pierres précieuses. Elle ressemblait à ce genre de piece de château qu'on peut voir à la télé. Un bruit se fit entendre. Je me retournais machinalement vers les fenêtres. Elles n'avaient pas bougés. Un deuxième claquement, puis un troisième. Ce n'était pas les fen...
-Aaaah !
Je me retournais brusquement. C'était aschley et devant elle se tenait... Je ne saurais le dire exactement mais ça me semblait être "un fantôme". Je m'étais mise à crier à mon tour. Je fermais les yeux et les reouvris. Ce n'était pas une hallucination. Il était bien présent. Son corps était transparent. Je pouvais voir à travers. Il était squelettique avec des yeux creux et sombre. Il s'avancait vers nous avec un couteau à la main. Aschley fit quelques pas en arrière pour me rejoindre. Moi je ne bougeais pas. J'étais comme paralysée une seconde fois dans la même journée. Je sentais la main d'aschley s'enrouler autour de la mienne et me tirer en arrière
Le fantôme s'arrêta un moment et nous dévisageais longuement. Il ecarqilla alors les yeux et se mit à marmoner des paroles inaudibles. Et il disparu. Non pas sans avoir lancé un coup d'œil au sablier. En parlant du sablier, le mouvement du sable s'était arrêté. Il s'éleva dans les airs. La table basculait alors sur la gauche. Le sablier se mit à tournoyer de plus en plus vite. Une lumière blanche jaillit.
-Oh merde sortons d'ici. Ça craint. Aschley me regardait les yeux terrorisés. À cet instant, on fût projetées en arrière par une rafale de vent qui sortais de je ne sais où. De grosses gouttes de sueur commençaient à me couler dans le dos.
Un homme jaillit alors de la lumière blanche. Ce n'était pas un homme. C'etait un être dépourvu de chair. Un squelette. "Oh merde". D'abord un fantôme et puis ça. Je devenais folle. C'est sûr j'étais folle. Le squelette en personne tenait une épée à la main. Il avait la tête enflammée.
-Que faites vous sur le lieu du portail sacré ?
En plus il parlait. Pas étonnant si il marchait combien de fois parler.
-Nous étions de passage. La maison nous semblait très belle et comme il n'y avais personne, on a voulu visiter. Tenta Aschley.
-Menteuse, cria t'il. Mais tout compte fait, vous servirez de repas à mes hommes
J'avalais ma salive. Je ne l'avais pas remarqué mes d'autres êtres comme étaient aussi apparu.
-Euh par repas. Qu'est ce que vous...
Je n'ai même pas eu le temps de parler qu'il avait crier
-Emparez vous d'elles.
_Aschney je te conseille de courir
La porte se trouvait derrière eux. On se dirigeait alors vers les fenêtres. Aschley sauta la première. L'orque je voulu passer à mon tour. L'un d'eux m'attrapa le pied gauche. Je lui donnais alors un coup en plein dans la figure avec le droit. Il me lâcha. Le brouillard n'était pas totalement dissipé. J'avais du mal à distingué la silhouette de aschley qui se trouvait devant moi. Mais je pouvais clairement voir ces ombres de la mort qui étaient à nos trousses.
-Tiens ma main. Dit aschley.
Elle prit la mienne. Nous nous sommes mises à courir. "Plus vite, plus vite, plus vite" je me disais au fond de moi même. Nous avions déjà fait une bonne centaine de mètre et on ne voyait toujours pas la sortie de la forêt. Nous n'étions même pas sûr si nous nous enfoncions ou si nous allions dans la bonne direction. Pendant ce temps, eux, ils étaient toujours derrière nous, infatiguables. Ils avançaient avec une telle aisance et sans faire de bruit qu'on avait l'impression qu'il ne touchait pas le sol et qu'ils passaient à travers les arbres. J'étais sur le point m'arrêter quand une épée passa près de mon bras droit et alla se figer dans l'arbre juste à côté. J'accelerais le pas.
J'avais de plus en plus de mal à respirer. Je me fatiguait ou plus nous nous fatiguions. Mais ils étaient toujours là. On prit la résolution de se cacher dans un tronc d'arbre mort tout près. Ça semblait la cachette idéale. Et puis j'étais toute trempée et épuisée.
-Tu es sûre qu'ils ne nous retrouverons pas ici ? Je demandais à aschley.
-Je ne sais pas. Mais on ne peut pas continuer à courir sans savoir où on va. Attendons...
Elle n'avait pas fini de parler qu'une tête enflammée avec des yeux sombres nous fixait. "Ils sont là". Un moment j'ai cru que c'était la fin. Je pensais à la mère et à ma sœur. À tout ce monde qui avait compté pour moi. Mais à mon réveil, j'étais dans un lit bien douillet et des draps bien chauds. Aschley était là aussi.
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Agatha Christie
General FictionLorsque le sable ce fut écoulé le sablier commença à s'...